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Tout ce qui a été posté par Olivier
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Voilà, le téléthon 2003, c'est parti ! Vous participez à une action avec votre centre de loisirs, votre maison de quartier, etc. ? Faites-nous part de vos initiatives ! Pour donner, un seul geste : le 3637 ou encore cliquer sur la bannière téléthon en haut des forums. Bon week-end à tous.
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Chacun interprète les propos des autres en fonction de ce qu'il pense, c'est le propre de l'écrit et je suis désolé si j'ai interprété tes propos de travers. Je pense que malgré nos divergences de point de vue, nous ne fonctionnons pas si différemment que ça sur le terrain. Tu dis que tu combats les dérives et je dis que si je ne me rends pas compte que quelqu'un a fumé, il ne risque rien (puisqu'il paraît selon ce que tu dis qu'un joint permet de rester lucide). Et je ne vais pas les espionner non plus après le 5ème, je préfère dormir. On parle du cannabis mais bien sûr, j'agirais de la même manière pour l'alcool ou d'autres substances transformant la perception de la réalité.
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Samedi 06 décembre 2003 - 12h10 - Correction d'un bug dans le dépôt d'offres d'emploi qui permettait de déposer des annonces sans avoir créé de compte (et donc sans nom, téléphone, mail, etc.)
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Jeudi 04 décembre 2003 - 16h52 - Correction d'un bug dans le dépôt d'annonces qui permettait de déposer des annonces sans avoir créé de compte (et donc sans nom, téléphone, mail, etc.)
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Non Kams... 1) Je t'ai dit que ce n'est pas dans les textes, cela dépend des organismes, 2) J'ai encadré des centres de 120 enfants intégrant deux enfants handicapés et je peux te dire que deux personnes n'étaient pas de trop. L'une était adjointe sanitaire 2nd degré et l'autre assistante sanitaire 1er degré. C'est utile car on peut avoir besoin d'une personne supplémentaire sans vouloir qu'elle fasse partie de l'équipe de direction.
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Pour info : Envoyé spécial, Jeudi 4 décembre à 20h50 sur France 2. Au sommaire: «L'école et le pétard». Le cannabis semble s'être banalisé chez les jeunes, dont la moitié ont déjà fumé un joint à l'âge de 17 ans. Nombreux sont les adolescents qui se rendent à l'école après avoir consommé du cannabis, ou qui le fument même à l'école. S'ils savent que c'est interdit, ils ne comprennent pas pour autant pourquoi. Sondage Sondage à propos du cannabis en CVL accessible depuis l'espace animateurs et l'espace recruteurs du site.
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Si tu diffuses ces photos : - En cas de photos de groupe où l'on ne distingue pas chaque enfant, tu n'as pas besoin d'autorisation, - En cas de photos individuelles ou suffisament rapprochées pour qu'on reconnaisse les enfants, il est possible les diffuser, avec l'autorisation du représentant légal.
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Kams, on peut différencier trois fonctions différentes : - Le directeur adjoint pédagogique (ce que tu appelles DAP je suppose) Il seconde le directeur dans toutes les tâches et l'organisation pédagogique du centre. - Le directeur adjoint sanitaire (= assistant sanitaire 2nd degré) Il s'occupe du suivi sanitaire des jeunes. Il fait partie de l'équipe de direction (il est élève infirmier, en études de médecine, etc.) - L'assistant sanitaire 1er degré Il s'occupe du suivi sanitaire des jeunes. Il fait partie de l'équipe d'animation (il a seulement un AFPS) Bien sûr les nuances ne dépendent pas d'un texte de loi mais du fonctionnement d'un organisme. Vous ne rencontrez donc sans doute pas exactement les mêmes dénominations sur vos centres selon l'organisme pour lequel vous travaillez. Il s'agit de trois personnes différentes sur un gros centre mais pas sur un petit... Par exemple, en juillet 2004, je cumulerais les trois foncitons sur le centre où je bosserai.
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Sondage AnimNet.com réalisé du 1er au 30 novembre 2003.
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Vendredi 28 novembre 2003 - 15h03 - Ajout d'une interview de Marcel Rufo, pédopsychiatre accessible depuis les espaces animateurs et recruteurs. Avec l'aimable autorisation de la MAIF et de M. Maynard, photographe .
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Arf, tu n'as pas compris mon propos Mickl... je n'interdis ni aux anims ni aux ados de fumer mais de fumer ensemble, au même moment au même endroit. Car : - Un coin "fumeurs" est défini afin de ni polluer ni inciter les autres ados donc les non-fumeurs n'y ont pas accès, - Si j'autorise des anims à aller fumer avec les ados fumeurs dans ce lieu inaccessible aux non-fumeurs, je créé une relation privilégiée entre jeunes fumeurs et anims fumeurs, ce qui *peut* (j'ai jamais dit que c'était systématique) entraîner tout simplement une incitation pour les non-fumeurs ce qui est le contraire du but recherché...
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Mais si cet anim est discret et que comme tu le dis il ne semble pas "altéré" par son joint, il n'y a aucune raison que je m'en rende compte... Pour la salle, je parlais d'une salle réservées aux adultes, d'accès interdit aux enfants (aucun de tes trois points ne s'applique). Par contre il y a un raisonnement que tu exposes avec lequel je suis en total désaccord : si j'ai bien compris, tu es d'accord, s'il arrive quelque chose, pour considérer que le cannabis est un facteur (parmi d'autres ok) qui fait que ce quelque chose aurait pu être éviter et pour sanctionner plus gravement quelqu'un qui a fumé. Donc la pseudo-liberté que tu laisses à l'anim de fumer son joint après sa journée de travail est totalement hypocrite puisque s'il arrive quelque chose ensuite (un anim peut être amené à intervenir la nuit, la notion de "journée de travail" n'existe pas) tu sanctionnes plus gravement. Il me semble qu'il vaut mieux intervenir avant : interdire le joint, et si l'anim fume quand même, là tu as une raison de sanctionner plus sévèrement. Concernant tous les autres facteurs que tu cites, je suis d'accord avec toi pour dire que c'est un tout. Un anim qui veut être opérationnel doit avoir une hygiène de vie assez stricte, notamment pour le sommeil (et aussi tomber sur une équipe qui respecte le droit au sommeil...) Tu cites aussi l'anim accro au coca (on peut aussi citer le guronsan...), mais c'est à mon avis à mettre sur un autre plan, dans le sens où celui-ci pourra se "shouter" relativement discrètement et sans mettre ma responsabilité de directeur en jeu. (Je dis pas que c'est bien attention, ces personnes sont souvent énervées etc.) Attention à la fin de ton message, tu te rapproches dangereusement de l'apologie de la drogue... (Yannick Noah a gagné Rolland Garros après s'être shouté, JLDLR gagne plein de fric avec ses émissions et se shoute avant chaque émission... le lien pourrait être rapidement fait...) - ce ne sont pas des choses à dire trop fort...
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C'est marrant, en lisant ce sujet on finit par avoir l'impression que le directeur qui ne veut pas [du tout] de cannabis sur son centre est un vilain petit Sarkozy et que tout animateur souhaitant fumer son petit joint après sa journée de boulot devrait pouvoir le faire tranquillement... (le monde à l'envers...) Pour ma part, j'affirme haut et fort que: 1°) Je ne suis ni médecin ni assez qualifié dans ce domaine pour connaître les effets réels du cannabis, 2°) Je suis directeur de centre de vacances et je connais la réglementation : le cannabis est une drogue et la drogue est interdite, 3°) Je ne souhaite pas engager ma responsabilité en fermant les yeux à ce sujet (c'est mon choix ), 4°) Je le précise en réunion de préparation, 5°) Si je prends un anim à fumer un joint, je lui demande de démissionner. Pour la cigarette, c'est autorisé (mais ça me fait royalement ch...) donc les fumeurs fument sur leur temps de pause, dehors (rien de plus désagréable que d'entrer dans une salle enfumée ou puant le tabac froid), et hors de la vue des enfants.
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Alors petite mise au point sur les pataugeoires : Définition d'une pataugeoire : Les pataugeoires, petits bassins de faible profondeur ne pouvant dépasser 40 centimètres, construits ou installés sur les aires collectives de jeux, constituent un aménagement permettant aux enfants d'entrer dans l'eau. N'entrant pas dans la catégorie des équipements, au sens du décret n° 94-699 du 10 août 1994 fixant les exigences de sécurité relatives aux équipements d'aire collective, elles ne relèvent pas de ce texte. En revanche, la sécurité des pataugeoires doit répondre aux exigences de sécurité relatives à l'aire collective elle-même. Pour cet aménagement, le décret n° 96-699 du 18 décembre 1996, fixant les prescriptions de sécurité relatives aux aires collectives de jeux, recommande aux gestionnaires de tels espaces un certain nombre de précautions sous l'intitulé général « Jeux utilisant l'eau ». Pas de mention de surveillance par une personne diplômée dans les textes régissant les pataugeoires (moins de 40 cm). Il semble donc que ce soit Capélo qui se trouve dans le vrai :rolleyes:
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Tu as déjà posté ce message ici. Les questions par rapport au BAFD sont à poser dans le forum des dirlos. Merci.
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Mardi 25 novembre 2003 - 14h33 - AnimNet.com est désormais accessible également par les adresses suivantes : http://www.colonies-de-vacances.com http://www.colonies-de-vacances.org http://www.colonies-de-vacances.net
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Alors pour l'obligation de mettre des préservatifs à disposition, je n'ai jamais rien entendu de tel, cela me semble FAUX. Concernant la mise à disposition de préservatifs, il est passé un amendement qui précise que ceci ne peut être considéré comme une incitation (tant qu'il ne s'agit que d'une boîte à dispo à l'infirmerie). Je rechercherai les références du texte.
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AnimNet.com a franchi les 150.000 visites aujourd'hui à 16h. Merci à vous :blushing:
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Pour les certificats : - Stages théoriques : le certificat est envoyé par l'organisme de formation à la DDJS du lieu de formation qui le signe et le tamponne puis vous le renvoie à votre adresse personnelle. - Stages pratiques : l'organisateur ou à défaut le candidat envoie le certificat à la DDJS du lieu du stage qui le signe et le tamponne puis vous le renvoie à votre adresse personnelle. Lorsque votre formation est terminée, vous envoyez tous vos certificats (signés et tamponnés) à la DDJS de votre domicile pour passage en commission et délivrance du brevet. Pour le bilan de stage pratique BAFD : Tu trouveras un plan détaillé dans la banque de téléchargement. Le journal de l'animation a également consacré un numéro hors-série à la rédaction des mémoires BAFD et BEATEP. Vous pouvez les contacter à jda@martinmedia.fr.
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Oui, rappellons cependant que les normes HACCP sont des normes vers lesquelles on doit "tendre". HACCP en lui-même n'oblige à rien.
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Chère Linoo, je te cite le JPA pour ton histoire de marrons : "Peut-on consommer les produits des pêches, des récoltes et des cueillettes des enfants ? La consommation de poissons, coquillages et d'escargots est interdite. En collectivité, seules les denrées animales ou d'origine animale provenant d'ateliers agréés et identifiés peuvent être consommées. En revanche, aucune disposition ne s'oppose à la consommation de denrées végétales (fruits, champignons, légumes du jardin, ...), sauf réglementation locale temporaire interdisant les cueillettes pour raison sanitaire." Alors pourquoi aller acheter des marrons...
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Je surprends 4 garcons en train de comparer la taille de leur pénis ..
Olivier a répondu à un sujet dans Forum des situations
Oui fréquent. Et avec des plus petits, c'est un peu différent, eux (dans tous les cas ceux dont je m'occupe à l'internat) se "comparent" notamment car certains sont circoncis et d'autres non, et ça, ça les interroge franchement :D -
Remarquez, ce débat aura eu au moins un mérite : celui de montrer que la grande majorité des gens défend le respect de la loi et surtout la responsabilité que l'on a face à des enfants en centre de vacances puisque personne ne s'est rangé du côté du pétard. Je proposerai un sondage à ce sujet en décembre, nous verrons les résultats :siffle:
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Tout à fait en accord avec ce que tu dis Tontonjojo. Je pense également que sur ce type de problème, l'animateur de centre de vacances n'est pas là pour les régler. Il peut par contre les détecter et prévenir la direction qui préviendra les parents si nécessaire (dans le cas du pipi au lit, en général les parents sont au courant...) Et j'irai même plus loin, je pense qu'il serait tout à fait déplacé de la part d'un animateur de proposer des protections directement à un enfant. Qu'il souffle l'idée aux parents qui, après y avoir réfléchi, discuté avec l'enfant et peut-être aussi avec un spécialiste, se décideront sur le bien-fondé de cette proposition, est par contre chose possible. En tant qu'éducateur spécialisé en internat, je suis beaucoup d'enfants énurétiques (énurésie souvent liée au trouble que ces enfants ont dans leur vie personnelle), et comme le disait tontonjojo, même à 11-12 ans, il reste une forte proportion d'enfants mouillant leur lit. Le problème de l'énurésie n'est pas "traité" par l'éducateur seul : nous travaillons par contre avec des infirmières et des psychologues, en partenariat avec les parents. Un rôle important de l'éducateur comme de l'animateur de centre de vacances est par contre de veiller à ce que cette énurésie ne handicape pas l'enfant dans sa vie dans le groupe. A l'internat nous ne cachons pas l'énurésie des enfants, ils ne portent pas non plus de protections. Certains font pipi au lit, d'autres non c'est comme ça et personne, ni enfants ni adultes ne se moquent. L'enfant énurétique se prend par contre en charge, il porte ses draps sales le matin dans le panier prévu à cet effet et se douche. Tous les enfants déjeunent habillés, donc aucun signe de reconnaissance des énurétiques en dehors du groupe. Le soir, l'enfant fait son lit avec l'aide de l'éducateur pour les plus jeunes. Voilà mon point de vue et le fonctionnement que l'on a où je bosse
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Jeudi 20 novembre 2003 - 13h52 - Correction de deux petits "bugs" dans l'affichage des demandes et offres d'emploi.