Alex672
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Notre fils a subi la formation théorique au BAFA dans le centre UCPA de la presqu’île de Giens du 26 juin au 3 juillet 2021. Subi, en effet car, pendant toute la semaine, il nous a raconté les situations vécues et nous tombions un peu plus des nues à chaque fois quant à la violence psychologique des deux formateurs. Ayant interrogé de nombreuses personnes titulaires de cette formation, nous n’avions jamais entendu un tel témoignage, au contraire. L’état nerveux et moral dans lequel son père et moi l’avons récupéré est alertant et pour le moins ahurissant. Ce jeune de 17 ans, bien dans ses baskets, ouvert et motivé à l’idée de devenir animateur est revenu épuisé et déstabilisé par les méthodes employées par les deux formateurs. Outre le fait que les temps d’échanges individuels se soient soldés par des fins de non-recevoir de la part des formateurs (« moi je m’en fiche, je l’ai mon BAFA, remets-toi en question…), il semble que la stratégie pédagogique de cette équipe soit basée sur des notions totalement dépassées de terreur, de mépris, d’humiliation, de harcèlement et de déconstruction de la confiance en soi afin d’assurer une emprise et un contrôle du comportement des stagiaires. Les temps de travail, qui auraient dû laisser la place à l’échange, à la réflexion, aux conseils, étaient surtout destinés aux moqueries, récriminations et à la progression du découragement. En les poussant à bout (nettoyage à 4 pattes des cheveux de la douche laissé par un autre stagiaire en se faisant hurler dessus, par exemple, sortir un cutter sous le nez des stagiaires plusieurs fois à CHAQUE grand jeu (une vingtaine de fois au total) pour jouer « l’enfant turbulent »…, faire traîner la remise du certificat le dernier jour pour faire rater le train, etc), ou bien trichant à un jeu pour ne pas « perdre la face » ou encore se permettant d’utiliser systématiquement des gros mots tout en les interdisant de manière très véhémente aux stagiaires …bref, on se croirait dans un camp d’entraînement militaire du siècle dernier. Comprenez-nous bien, nous n’avons pas inscrit notre enfant à cette formation onéreuse en pensant que l’argent lui permettrait d’obtenir une validation quelconque ni un confort pédagogique sans effort à fournir. Nous ne sommes absolument pas dans l’idée que payer donne ce type de droits. En revanche, l’image et les valeurs de l’UCPA, la qualité des vacances que notre fils y avait déjà passé et encore cette année, l’excellent relationnel qu’il avait noué avec ses animateurs nous avaient convaincus que cette entreprise était bien positionnée pour transmettre les valeurs des métiers de l’animation. Il faut croire que ces animateurs ne sont (fort heureusement) pas issus des sessions de formation BAFA, et que nous aurions dû accorder plus de crédits aux différents avis négatifs trouvés sur Internet. A ce jour, grâce à son investissement de qualité, il a validé cette première session de formation mais ce n’est pas très important car il semble que notre fils soit désormais vacciné (c’est de saison) contre toute velléité de continuer dans cette voie. Après une année de crise éprouvante pour tous ces jeunes, il aurait été pour le moins raisonnable de réfléchir à une transmission des connaissances un peu moins obsolètes, à une gestion du groupe et de ses individus un peu plus bienveillante et à la constitution d’un projet qui élève et tire vers le haut plutôt qu’à une session commando qui rabaisse, humilie et décourage une grande partie des participants. Nous avons écrit en LRAR à l’UCPA afin de nous assurer qu’il parvienne bien en haut car nous avons encore espoir que, grâce à leur longue expérience, l’UCPA, puisse faire le nécessaire pour que de tels comportements de formateurs BAFA puisse être sérieusement corrigés. Nous avons également effectué un signalement au Ministère de la Jeunesse et des Sports. Si cela peut vous aider, renseignez-vous bien avant !
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Notre fils a subi la formation théorique au BAFA dans le centre UCPA de la presqu’île de Giens du 26 juin au 3 juillet 2021. Subi, en effet car, pendant toute la semaine, il nous a raconté les situations vécues et nous tombions un peu plus des nues à chaque fois quant à la violence psychologique des deux formateurs. Ayant interrogé de nombreuses personnes titulaires de cette formation, nous n’avions jamais entendu un tel témoignage, au contraire. L’état nerveux et moral dans lequel son père et moi l’avons récupéré est alertant et pour le moins ahurissant. Ce jeune de 17 ans, bien dans ses baskets, ouvert et motivé à l’idée de devenir animateur est revenu épuisé et déstabilisé par les méthodes employées par les deux formateurs. Outre le fait que les temps d’échanges individuels se soient soldés par des fins de non-recevoir de la part des formateurs (« moi je m’en fiche, je l’ai mon BAFA, remets-toi en question…), il semble que la stratégie pédagogique de cette équipe soit basée sur des notions totalement dépassées de terreur, de mépris, d’humiliation, de harcèlement et de déconstruction de la confiance en soi afin d’assurer une emprise et un contrôle du comportement des stagiaires. Les temps de travail, qui auraient dû laisser la place à l’échange, à la réflexion, aux conseils, étaient surtout destinés aux moqueries, récriminations et à la progression du découragement. En les poussant à bout (nettoyage à 4 pattes des cheveux de la douche laissé par un autre stagiaire en se faisant hurler dessus, par exemple, sortir un cutter sous le nez des stagiaires plusieurs fois à CHAQUE grand jeu (une vingtaine de fois au total) pour jouer « l’enfant turbulent »…, faire traîner la remise du certificat le dernier jour pour faire rater le train, etc), ou bien trichant à un jeu pour ne pas « perdre la face » ou encore se permettant d’utiliser systématiquement des gros mots tout en les interdisant de manière très véhémente aux stagiaires …bref, on se croirait dans un camp d’entraînement militaire du siècle dernier. Comprenez-nous bien, nous n’avons pas inscrit notre enfant à cette formation onéreuse en pensant que l’argent lui permettrait d’obtenir une validation quelconque ni un confort pédagogique sans effort à fournir. Nous ne sommes absolument pas dans l’idée que payer donne ce type de droits. En revanche, l’image et les valeurs de l’UCPA, la qualité des vacances que notre fils y avait déjà passé et encore cette année, l’excellent relationnel qu’il avait noué avec ses animateurs nous avaient convaincus que cette entreprise était bien positionnée pour transmettre les valeurs des métiers de l’animation. Il faut croire que ces animateurs ne sont (fort heureusement) pas issus des sessions de formation BAFA, et que nous aurions dû accorder plus de crédits aux différents avis négatifs trouvés sur Internet. A ce jour, grâce à son investissement de qualité, il a validé cette première session de formation mais ce n’est pas très important car il semble que notre fils soit désormais vacciné (c’est de saison) contre toute velléité de continuer dans cette voie. Après une année de crise éprouvante pour tous ces jeunes, il aurait été pour le moins raisonnable de réfléchir à une transmission des connaissances un peu moins obsolètes, à une gestion du groupe et de ses individus un peu plus bienveillante et à la constitution d’un projet qui élève et tire vers le haut plutôt qu’à une session commando qui rabaisse, humilie et décourage une grande partie des participants. Nous avons écrit en LRAR à l’UCPA afin de nous assurer qu’il parvienne bien en haut car nous avons encore espoir que, grâce à leur longue expérience, l’UCPA, puisse faire le nécessaire pour que de tels comportements de formateurs BAFA puisse être sérieusement corrigés. Nous avons également effectué un signalement au Ministère de la Jeunesse et des Sports. Si cela peut vous aider, renseignez-vous bien avant !