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D'accord c'est révoltant (hem) et qu'est-ce que ça cache? La CAF vire juste au commerce et aux privilèges, ou alors est-ce qu'ils ont sélectionné des organismes en fonction de critères particuliers, et si oui, lesquels? (politique d'embauche des animateurs? projets éducatifs? ...)
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lol Oui et puis quand on hésite, on peut lui téléphoner à ce médecin, aaah, quel progrès, le téléphone!
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Quelques Situations Discutées En Entrevue
jean a répondu à un topic de cassou dans Forum des situations
J'ai lu un texte qui porte ce titre, Quentin. L'enfant s'est bien montré acteur puisqu'il a dit qu'il n'aime pas choisir... lol S'il demande qu'on choisisse à sa place, bon ben que faire? refuser? ha ha! voilà qui devient difficile pour un anim céméa! :D Et le texte n'apporte pas vraiment d'hypothèse sur le fait que l'enfant en question n'ait pas aimé choisir. Peut-être qu'il était content de choisir, mais qu'un autre souci organisationnel le faisait vraiment chier. (se lever tôt, ne pas pouvoir choisir avec les copains...) Si l'enfant n'a pas encore ressenti de frustration à ce qu'on choisisse quelque chose à sa place, ça ne tardera sûrement pas. Cela dit au niveau éducatif, le séjour dont il est question, ça reste un séjour organisé par des adultes qui ont décidé d'autoriser les enfants à choisir. Au niveau éducatif, faut donner à l'enfant les outils pour qu'il devienne actif. Ça ne va pas un peu trop loin pour du cvl ça? Ce qui importe ce n'est pas de faire un choix quand celui-ci nous est permis. Ce qui importe est de choisir consciemment entre accepter et refuser l'autorité. Donc ce qui se cache derrière ça, c'est le fait de se tenir informé, cultivé, et pouvoir dire avec certitude "je sais si j'ai tous les éléments ou pas qui peuvent éclairer mon choix, je choisis en fonction de cela". -
*voix de djeunz over-open-up* ouais, nan, mais ouais, mec, tu vois, euh, voilà quoi, tout ça c'est... On est over-tolérants sur le forum, même ceux qui ne le sont pas en réalité. A tel point que la moindre personne qui viendrait dire qu'elle ne ferait pas confiance à un homo, on la fumerait! On est sur le forum de la tolérance. Bienvenue sur www.tolérance.fr! Nos invités depuis le départ du sujet sont : 24 personnes déclarant leur tolérance, 0 personne apparemment intolérante c'est bien 8 de nos invités émettent quand même des réserves (sachant que ce sont les personnes tolérantes qui émettent des réserves) Les réserves sont de plusieurs types. C'est généralement un responsable qui n'aurait pas confiance pour quelques points, capacité d'un anim homo à assumer sa différence ouvertement, ou plus généralement capacité à se retenir de draguer/violer des enfants du même sexe. Les situations sont assez théoriques, et il s'agit d'ailleurs de manque de confiance secondaire, cad que si un responsable prétend avoir confiance, lui, il admettrait que les parents des enfants ou l'organisateur n'aient pas confiance. J'ai jamais eu à faire à des situations de ce type en CVL. L'intolérance se trouve parfois là où on ne l'attend pas. Les collègues dans l'animation qui ont des amis homos, je ne les compte plus, tant mieux. Ça ne les empêche pas de se moquer des pédés, de ce "pédé virtuel", celui qui est dans les blagues et pas dans la réalité, un peu comme les blondes ou les belges... Ce n'est pas grave, non, nous, adultes, on comprend, et on en rit. Et les jeunes qui nous entendent? Pas sûr.
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L'expérience qui m'a le plus enthousiasmé était le fruit du hasard, mais elle est reproductible. Avec une autre animatrice j'animais un mini-camp de 13 enfants qui avaient entre 8 et 11 ans, on dormait sous tente dans un un camping pas loin du bord de la mer. Nos voisins : un camp d'ados polyhandicapés (ils étaient une quinzaine en tout), avec une majorité de déficients mentaux et de trisomiques. Après deux-trois jours où nos rapports se limitaient à quelques "bonjour", on a fait plus ample connaissance tous ensemble lors d'un goûter où un de nos voisins a tenté en douce plusieurs fois de nous piquer nos paquets de chocos. :D On les a invités à un repas, ils sont venus pour le dessert si je me souviens bien, on faisait des crêpes à la banane et au chocolat, ils ont mangé leurs propres desserts, mais avec nous. Et y'a eu quelques jeux improvisés un soir, dont un match d'un truc qui ressemblait à du foot je crois, enfin y'avait de l'herbe, des pieds, et des ballons Et y'a eu une boum mémorable en plein air, le dernier soir. Finalement on a eu très peu de moments passés ensemble, mais à chaque fois on s'est fendu la poire, et pour pas mal de monde y compris moi ça a été l'occasion de faire connaissance avec le public handicapé et vaincre quelques appréhensions.
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Je profite pour reposer la question : quels sont les objectifs d'une telle intégration? Qu'est-ce qui peut passer par la tête de ceux qui organisent ça alors qu'on a l'impression que presque tout est fait pour que ça se passe mal? (un enfant isolé, un anim isolé, une absence de projet personnel...) j'ai l'impression que ça gère "par défaut". C'est à dire qu'on décide d'intégrer un enfant handicapé parce que ça fait bien, et ensuite on fait tout pour que ça se passe le moins mal possible. Surtout pour des autistes. Modifier les repères, c'est sûrement intéressant, mais tous en même temps, bof. Favoriser les rencontres, c'est sûrement intéressant, mais quasiment sans accompagnement et seul face au monde entier, pareil, c'est bof. lol déjà que plein de valides absolument pas psychotiques le supportent mal... Histoire de ne pas réitérer ce qui s'est passé sur le chat l'autre soir, je redis que j'ai rien à priori contre l'intégration, ou contre les enfants handicapés, ou contre les bonnes intentions. Mais une situation m'a été évoquée aussi il y a quelques mois : celle d'un adolescent dysphasique (qui n'arrive pas à prononcer les mots qu'il a dans la tête), dépressif, qui en a eu marre de faire sans cesse des efforts pour s'intégrer, et malgré toute la bonne volonté des uns et des autres, il se sent vachement mieux en milieu adapté. Et lui il a de la chance, il est capable de s'exprimer clairement, et il est écouté. On parle de personnes "en situation de handicap" parce qu'on considère qu'elles ne sont pas handicapées à priori mais que la situation y est pour beaucoup. En effet un autiste qui a ses repères, en institution, il s'y trouve peut-être autonome. Quand on prend la décision de l'inscrire en colo, nous sommes les organisateurs de la situation de handicap. Peut-être faut-il observer le fonctionnement des intégrations dans certaines écoles, où des enfants sont parfois intégrés aux classes de valides, et parfois réunis en classe spécialisée. N'y a-t-il pas moyen d'organiser ça en cvl? Favoriser des petits groupes d'enfants handicapés qui se connaissent, et qui viennent avec des gens qu'ils connaissent, et adapter le fonctionnement. Avec certains enfants, certains handicaps, certaines particularités, le fonctionnement du cvl n'aurait aucune modification, et pour d'autres ça nécessite une adaptation plus conséquente.
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J'ai oublié quel est l'objectif finalement, et le thème du débat. Faut complètement séparer les anims pros des anims pas pros c'est ça? Il n'y a pas que la destruction de l'annexe 2 qui permettrait ça. D'ailleurs il faudrait plutôt que ça passe par une requalification des emplois en général, un réaménagement des structures même. J'ai pas bien compris quel est le problème de base en fait. Mis à part peut-être que l'animation en général, ça craint au niveau de la pérennité des emplois et du niveau de vie, c'est l'ouvrier social en quelque sorte. A mon avis c'est le manque de considération des employeurs pour leurs employés (en majorité jeunes) qui fait du tort à la profession plus que l'annexe 2. Personnellement, ma "passion" a déjà été éprouvée, et j'ai pas envie de continuer à travailler dans l'animation justement à cause d'un flou gigantesque qui règne sur les conditions de travail en général. J'ai pas envie de passer 10 ans à trouver un bon plan quelquepart, qui me semble en plus être plus proche d'un travail d'organisateur dans son bureau que d'un poste d'animateur au contact du public. Fab Jeudi dernier y'avait une grève de fonctionnaires réclamant une revalorisation des salaires. Les pros, livo... lesquels franchement? Des gens qui travaillent exclusivement avec des enfants et exclusivement comme animateurs tu veux dire? Les anims pros c'est pas dit qu'ils trainent ici mais plutôt sur des forums dans le genre lesocial.fr. Je pense qu'ils travaillent avec des publics plus mixtes, voire exclusivement avec des adultes.
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Les activités manuelles, en plus d'une culture qu'on peut se faire sur le net ou avec quelques bouquins, faut pratiquer un minimum. Ça a l'air simplet comme boulot mais y'a beaucoup de trucs que des animateurs n'arrivent pas à faire. Rien que pour coller deux objets, faut choisir la colle, et ne pas la mettre n'importe comment. Pour faire de la pâte à sel, faut pas y aller dans n'importe quel ordre, pas mélanger n'importe-comment. :D Sinon ça foire ha ha ha! Et l'énigme la plus dingue reste toujours la peinture je trouve. "le" truc de base qui reste un grand lieu de mystère. Mais comment on se sert de la peinture? d'un pinceau? mdr Si on est un pied quand il s'agit de se servir de ses mains, ben autant laisser la place à ceux qui s'en sortent bien et proposer autre chose, non?
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Je pensais à la même chose que Quentin. Si c'est rémunéré à la journée, autant considérer qu'une journée complète c'est la partie avec les enfants, et la partie sans eux, de préparation. A mon avis c'est important d'en parler lors des entretiens d'embauche, puisqu'il y a des animateurs pour qui ce n'est pas évident du tout. De plus ce n'est pas qu'une question d'horaires, c'est toute une conception de l'animation. Que pense l'animateur de «faire des concessions pour le boulot»? (des concessions, pas des sacrifices lol) Partir dès l'heure, ça rentre aussi dans l'appréciation qu'on a de "la vie du centre". Qu'on soit pressé des fois, c'est possible. Mais que des animateurs partent systématiquement à la sonnerie pour pouvoir aller à la plage ou au bar ensemble... je trouve ça craignos. L'horaire de fin est un indicatif pour les parents. Les animateurs savent que les enfants doivent être présents sur le lieu où viendront les chercher leurs parents à l'heure prévue (encore que y'a toujours moyen de s'arranger). Mais bon ben il n'y a pas la moitié des enfants qui partent d'un seul coup à 17h et l'animation ne cesse pas brusquement à 17h pour se muer en encadrement.
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De plus en plus déroutant, finalement. Chebs, plus haut tu nous expliques ton choix de prendre en considération les désirs des enfants ou des jeunes. Ça ne figure pas dans ton projet pédagogique? Tous les projets péda n'en parlent pas systématiquement. Voilà au moins une différence entre le tien et les autres. Autrement, sur ce forum on peut trouver des oppositions marquées sur des questions pédagogiques : les horaires (lever, coucher, souplesse générale), la consommation, les activités manuelles, le tabac, les religions, l'hygiène en général, le respect des lois, les programmes d'activités faits à l'avance. Je suppose que tout le monde a vu que le rapport à l'autorité n'est jamais exactement le même, et qu'il varie d'une équipe à l'autre. Eh bien ces questions doivent se retrouver dans le projet pédagogique non? Même si elles ne sont pas détaillées, elles peuvent-être sous-entendues par des thèmes plus généraux. Évidemment on va pouvoir dire comme pour le projet d'animation "l'important c'est ce qu'on fait concrètement, c'est pas le travail scolaire bébête et stéréotypé et consensuel qu'on fait avant le séjour". À deux différences près : -le projet pédagogique est une obligation légale -quand on signe le contrat, on accepte d'appliquer le projet pédagogique
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lol J'ai l'impression d'avoir épuisé le sujet c'est tout. J'ai donné une définition que personne n'a contesté, mais vous me répondez (toi et chebs) ce que vous aimez dans une sorte de mélange entre projet péda et projet d'animation. Ça j'a bien compris que vous voulez faire participer les enfants et que vous ne voulez pas formaliser de projet d'animation, avec un tableau, une feuille, etc. Et j'ai déjà répondu à ça en disant que ce n'est pas incompatible avec l'existence du projet d'animation.
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On ne parle décidément pas de la même chose. Tant pis.
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Là je m'y perds. Si le projet (lequel?) vient des enfants, alors ce sont les enfants qui gèrent le centre. A quoi servent les animateurs? :D Je différencie mal le projet pédagogique et le projet d'animation dans ce que tu expliques. Surtout que projet d'animation et projet d'activité ça ne décrit pas encore la même chose je trouve. Je considère que le projet d'animation c'est "ce que l'animateur a l'intention de faire". Donc ce projet existe obligatoirement, du moins tant que l'animateur fait quelquechose. Si le projet pédagogique dit "une grande place sera laissée aux décisions des enfants pour organiser le séjour", l'animateur va par exemple organiser des réunions avec les enfants. Ou alors il va beaucoup parler avec eux de l'organisation du séjour de façon informelle, dans les couloirs, lors des repas, pendant des activités...
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C'est une discussion arfante. Cela dit tout le monde n'a pas encore répondu. Mais nous avons réussi à dire à Brioche qu'il est important de concevoir un projet d'animation même si on ne l'écrit pas, et manifestement personne n'a aucune idée de son contenu réel. Et toi, Céline, tu fais quoi? Peux-tu me dire ce que tu mets dans tes projets d'animation à toi, ou ce que tu demandes aux animateurs? Eh bien pour moi les mots ont un sens et je ne les choisis pas au hasard. Le débat est une forme de discussion. C'est quand un sujet a une problématique et que les différents intervenants échangent pour tenter de solutionner la problématique. (du moins c'est ce que je pense) La discussion c'est plus général. On n'est même pas obligé d'avoir un thème. On peut parler de tout et de rien... Cette notion de débat est importante, je trouve que ce n'est pas rare sur des forums de voir des gens s'engueuler alors qu'ils ne parlent pas de la même chose. Alors sur le présent sujet c'est dur d'identifier un débat, mais malgré tout la discussion suit son cours. Maintenant, vu que j'ai toujours pas compris, je repose la question : qu'est-ce qu'un projet d'animation. -est-ce que comme le sous-entend Brioche, c'est le projet professionnel de chaque animateur? -est-ce que c'est un travail de préparation que les directeurs demandent aux animateurs lors du recrutement pour pouvoir choisir? -est-ce un document de travail en cours de séjour qui découle du projet pédagogique? Et si c'est ça (à peu près ce dont on parle depuis le début) que contient ce document de travail?
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Justement, concrètement, c'est quoi? Là tu ne parles plus de la même chose je crois. Ah ben voilà. Donc, en fait, on ne sait toujours pas de quoi il s'agit. De quel contenu parle-t-on concrètement quand on dit "projet d'animation". Les critères de réussite, c'est quoi? Est-ce un moyen d'évaluer si le projet est accompli? Si on monte un projet d'animation sans savoir comment on va mesurer s'il a fonctionné, ça ne vaut pas le coup de le monter. A tous les coups on saurait même pas comment évaluer la nécessité de le mettre en place. Et le projet péda il tombe à l'eau? Durant le séjour on aurait l'air malin de ne pas pouvoir répondre lorsqu'on se demande "est-ce que cet objectif est atteint?".
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Désolé, le "sauf" annonçait tout mon message, il ne se focalisait pas sur toi précisément. Tout le monde semble être d'accord sur l'importance de ce projet même s'il n'est pas formalisé, sauf que personne n'a dit ce qu'il y met. Alors comme tu dis, si tout le monde est d'accord même les imbéciles et les boulets, pourquoi cela ne se vérifie pas sur le terrain? J'ai posé une question à laquelle personne n'a encore répondu : «que mettez-vous dans vos projets d'animation», les valeurs, les prises de positions sur ces valeurs, d'abord. Puis les objectifs qui en découlent. Et enfin des exemples concrets d'activités s'y rapportant. Je souhaitais savoir si les intervenants de cette discussion ont des objectifs socio-éducatifs complexes. J'avais pensé que pour faire un vrai travail sur des problèmes tels que la citoyenneté, la tolérance, le respect, le racisme, la violence, le profit, l'abus, l'exclusion (...) il faut plus qu'un BAFA parce que ce sont des notions trop complexes. Ces projets, si consensuels soient-ils, contiennent trop souvent des objectifs dont l'accomplissement n'est pas mesuré ou pas mesurable. Les animateurs qui veulent favoriser l'autonomie et qui "font à la place" des enfants sont légion. Les animateurs voulant développer la conscience citoyenne des jeunes et qui semblent mépriser la politique et la culture intellectuelle sont aussi très nombreux selon mes impressions. (je parle de culture intellectuelle par opposition à la culture de loisir. L'intellectuelle c'est l'histoire, la géographie, la sociologie, la philosophie... et pour le loisir, je pense à la musique, le cinéma, traditions, mode, cuisine...) Ces deux cas pourraient parfaitement être rectifiés par des projets d'animation dignes de ce nom. Ecrits ou pas je m'en moque, mais que l'animateur soit capable de dire : -les objectifs de l'activité -les moyens pour atteindre ces objectifs -comment mesurer ensuite l'efficacité de l'activité effectuée, si les objectifs ont été atteints. Justement, je ne demande pas des exemples généraux et vagues, mais bien des exemples concrets, la retranscriptions de projets que vous avez déjà appliqué. Si tu juges le sujet trop médiocre pour toi, tu n'es pas obligé de rester. On ne débat pas forcément, on discute. Pas besoin d'un thème avec un débat à la problématique ciblée et un arbitre ici. Je suis venu pour enrichir ma culture d'animateur, j'ai encore des questions sans réponse et des raisons de continuer. Et tu as encore des réponses à m'apporter alors si tu prenais le temps de répondre avant de partir ça serait sympa.
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En effet j'ai retrouvé des documents que j'ai eu en passant mon brevet de surveillant de baignades. Le formateur a dit ceci, pour les baignades organisées par le responsable du centre : -moins de 6 ans : un SB, un périmètre, un anim pour 5 enfants, 20 au maximum dans l'eau, palmes, masques, tubas, et engins de plage interdits (bodyboard, bateau, bouées, planches). Le ballon est autorisé. -de 6 à 12 ans : un SB, un périmètre, un anim pour 8 enfants, 40 au maximum dans l'eau. Palmes, masques, tubas autorisés (depuis avril 96) si les conditions sont suffisantes (eau claire par exemple). Le tuba est déconseillé par mon formateur Engins de plage interdits. -13 ans et plus : un SB, zone de baignade matérialisée par des balises. Il n'est pas nécessaire que tout le monde ait pied (ce que la spécialiste de la DDJS a contredit, selon elle tout baigneur de moins de 18 ans doit avoir pied). Mon formateur SB conseille aussi de dire lors de l'examen au moins que tout le monde a pied. 1 animateur pour 8, 40 au max dans l'eau. Palmes, masques et tubas autorisés si les consitions sont suffisantes. Engins de plage interdits. Dans le périmètre, le plus petit des enfants (en centimètres) doit avoir pied. La réglementation qui s'applique est fonction de l'âge du plus jeune enfant présent dans l'eau. Si tout le monde a 11 ans sauf un qui en a 5, c'est la réglementation "moins de 6 ans" qui compte. Pour les 14 ans et plus, je ne recopie pas le texte. Si j'ai bien compris ils sont considérés comme "ayant 13 ans et plus". Mais il existe un cas d'exception, celui du départ d'un petit groupe en autonomie, là faut tout un tas de repérages, autorisations, mais le groupe pourra se baigner sans la présence d'un SB. La difficulté d'interprétation du texte dont je parle plus haut, c'est que le texte officiel ne parle que des enfants ayant "moins de 6 ans" et "plus de 6 ans". Comme tu dis pierrot, il faut apparemment considérer qu'un enfant né le 1 janvier 2000 a plus de 6 ans dès le 1 janvier 2006.
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Faut raconter des histoire par coeur, pas avec un livre! Bon ok avec un livre c'est plus soporifique à cause du style, mais en racontant par coeur on peut adapter, raccourcir ou allonger... Pour le coucher euh... J'en parle avant avec les concernées. On voit comment ça va se passer, le coucher, la nuit, le lever.
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Ben ça tu l'avais déjà dit sur la première page, je suis entièrement d'accord et c'est en ayant ça en tête que j'ai écrit mon message précédent. Quand je parle d'exception, à ce moment là ça veut dire "la colo est une exception par rapport au reste". Le coup du "qui on est" c'est marrant mais c'est pas le même dans les deux cas. Faut que je fasse mon autocritique sur la réponse que j'ai fait à Clownette? :lol:
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Tout le monde d'accord sauf... Chebs quand tu dis que n'importe quel boulet de l'animation serait d'accord avec ce que dit Aurore, ben je crois que tu as beaucoup de chance d'avoir rencontré des boulets de ce niveau. J'en ai vu et j'en vois encore souvent, des gens qui ne pensent qu'à occuper les enfants. Des projets pédagogiques écrits "parce qu'il faut les écrire" et qui sont donc plus une formalité administrative qu'un document contenant des intentions de travail. Et des projets éducatifs, dans la plupart des cas, je n'en ai pas vu. Et poussons la réflexion sur le projet encore plus loin. «projet» le gros mot des DEFA par exemple. Ou des enseignants. Est-ce que dans les centres de loisirs ou de vacances dont nous parlons, les directeurs exigent non seulement : -un projet qui cible le/les "pourquoi" d'une animation mais aussi -un moyen d'évaluer l'apport de cette animation, et ainsi sa pertinence par rapport au projet? Et pour tous ceux qui ignorent ce que les autres mettent dans leurs projets d'animation (y compris moi), ça signifie quoi pour vous? Projet écrit ou pas hein... Des objectifs de loisir, de divertissement, de découverte? De savoir-vivre, d'autonomie, faire grandir l'enfant? Chebs tu parles de valeurs... lesquelles?
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Je souhaite juste préciser que mon message plus haut c'est une farce. Si vous l'avez pris au sérieux, désolé. J'avais cru faire assez illisible pour que ce soit frappant, mais je me rends compte que ça n'a pas provoqué de réaction. Et y'a pas que dans la forme que j'ai mis des idioties.
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Le nombre c'est... le bordel. Moins de six ans, c'est 20 enfants dans la zone de baignade de un SB. Plus de six ans et moins de 12 c'est 40 enfants maximum dans la zone. J'ai plus les textes et j'oublie un peu ce que deviennent les enfants qui ont six ans et ceux qui en ont 12. J'ai appelé la ddjs un jour pour des histoires de réglementation SB, la personne "spécialiste" qui me répondait s'y perdait elle-même. Cela dit, au niveau des intentions, cette réglementation sur les baignades n'est pas si mal faite que ça, au niveau de "qui est dans l'eau". Là où je trouve ça plus casse pieds, c'est "dans quel endroit on se baigne" et "qui on doit prévenir". Par exemple il faut théoriquement se baigner uniquement sur la plage la mieux aménagée de la commune où on se trouve.
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Ben on est des adultes responsables. Si on se considère juste comme "un crétin de mâton qui va juste empêcher l'enfant de se goinfrer pendant trois semaines", c'est sûr qu'on n'ira pas loin. En revanche si on est conscient des questions que pose le goinfrage on permettra à l'enfant d'acquérir des repères. «Manger avant le repas ça coupe la faim, s'endormir avec du carambar collé aux dents ça donne des caries...» Qu'il le fasse ou non, l'important est plus qu'il sache que son comportement est une exception ou qu'il est la règle à mon avis.
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nan lé timid il peuve ce daiguiser, kom sa on lait reconné pô il son + timid! ;) en+ lecarnival c la fête normalmt, tt le mond s'amuz. fo les obliger 1 peu sinon il feron jamé ri1! mwa joré fabriké dé chapo & surtt un bonhom de carnaval. ou mêm +ieur & organisai 1 gd daifilai. A la fin on brûl le bonhom 2 carnivale, ac 2 la zic a donf, dé guitar & tt ça. Pi pr fer + 2 brui vs pourai fabriké des instruman de musik, dé percu, dé graines, des sifflets. Et pourquoi pas en profiter pour en apprendre un peu plus sur les origines et les traditions du carnaval, voir comment il se prépare pour des gens n'ayant pas la même culture. Dan le daifiler vs maitré dé char ac dé danseur dessu, & par exampl C les enfants ki décide tt car le carnaval C aç! Ranvairseumant des kondhissions est des statues sociaux. C oci le momen des gds rézolussion. Le chambardemen 2 printan! 1 bone ocazion 2 changé de projet péda!
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Beh... la télé montre des choses qui préoccupent les gens. Alors à savoir si c'est les gens qui sont préoccupés d'abord ou le fait de leur montrer ces idioties qui provoque les préoccupations, sûrement que euh... la question mérite d'être posée. (quelqu'un y a déjà répondu?) Ce soir, des ados viennent montrer leurs trop gros seins, leurs trop grosses fesses, et leur trop gros nez. Bon ben là c'est clair, avant c'était normal d'avoir un gros nez et maintenant ça l'est plus, merci télé. On n'est même plus dans le post-moderne là, on est complètement décadents! Des émissions qui tirent les gens vers le bas, des présentateurs idiots, des programmes idiots. Et qui participent à l'évolution des moeurs, et en enveloppant tout ça dans un si joli papier cadeau qu'ensuite on en redemanderait... Pfff j'vais passer pour un réac'à dire ça en plus! :D