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Stagiaires Bafa Pas Motivés Du Tout !
jean a répondu à un topic de Carine123 dans Les secrets des formateurs
wiwi manan on pren en conte la motivation. Plus un stagiaire est motivé, et plus il a le desir d'avoir son bafa c kler wech roxorz. Elle est hypra-motivée pour le passer comêm. Peut-être doit on y percevoir une volonté de revalorisation de la formation en question par une mise en évidence de la difficulté qu'elle représente. Ou l'inverse. Je me mélange les pinceaux. -
Si, désolé si j'ai pas compris, mais je t'ai trouvé un peu confus, et comme tu posais la question "ces gens ça donne quoi sur le terrain" j'ai pensé que le stage dont tu parlais était un des stages théoriques.
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Ouais ben moi je bafouillais, je devenais tout rouge et je perdais mes moyens. Mais je l'ai eu euh, nanananèèèèèèèreuh! Et tant mieux s'il l'a eu aussi, si ça se trouve ça sera un super animateur. D'ailleurs je connais aussi des gens qui sont très à l'aise devant n'importe quel public, ça fait plaisir à voir, mais ils ne sont pas meilleurs animateurs pour autant. Puisqu'on n'en sait rien, on ne juge pas là dessus. Si?
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De mieux, j'en sais rien, mais d'aussi bien qu'y aller, il y a l'option "ne pas y aller". En fait qu'est-ce que vous apporte de faire ces fameuses "conneries"? Parce que c'est un grand classique qui me questionne. Quand j'écoute des amis qui racontent leurs expériences sans parents (colo, pensionnat, séjours divers...) on en vient toujours à ces fameuses conneries. Il faut faire des conneries pour se dire "ben ouais finalement je suis libre"? Faire du mal aux autres fait partie de la construction de la personnalité? Je trouve ça dingue quand on me raconte le sourire aux lèvres comment on s'y est pris pour pourrir la vie d'un cpe, un surveillant, un animateur, etc. C'est l'expression d'une pulsion sadique qui s'exprime, on dirait. Je pense que ça résume assez bien la situation que j'ai souvent observé. A mon avis les parents nous font confiance, mais ils ont peur de laisser partir leur enfant. Ils devraient leur offrir le séjour comme un cadeau, et ils pensent plutôt envoyer leur gosse dans un genre d'épreuve initiatique. Mouais, bof... Demandez-leur leur avis, plutôt. Si j'avais qu'une seule chose à demander aux parents en général c'est d'arrêter de manipuler leurs enfants et de prendre des décisions à leur place.
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Stagiaires Bafa Pas Motivés Du Tout !
jean a répondu à un topic de Carine123 dans Les secrets des formateurs
Je suis d'accord avec toi. Les étiquettes, la bouletisation-minute, finalement, ça relève d'un certain mépris. Et pour des gens qui travaillent dans le milieu éducatif, on ne devrait vraiment pas etiqueter trop vite les adultes avec qui on travaille. -
Mouais, quand c'est écrit "I love SATAN", ça véhicule une certaine idée, et encore, pour certains c'est juste fun de provoquer en disant ça, pour d'autres il pourrait y avoir toute une idéologie derrière. Sinon ce n'est qu'un symbole de ralliement.
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al'ouest, il m'a semblé que ma phrase d'origine, que nico décrit comme vraie, tu assimiles ça à du "totalitarisme". (je rappelle que tu m'as dit de suite que je pouvais m'engager dans l'armée). Ensuite, vu ce que tu dis, j'ai l'impression que tu ne parles pas de totalitarisme mais plutôt d'une dictature liberticide, voilà pourquoi j'ai pensé au fascisme, j'ai peut-être gaffé, j'aurais peut-être pas dû ecrire ce mot directement, désolé. Les uniformes, on ne demande pas aux animateurs d'en porter, que je sache, donc on ne s'en sert pas comme outil éducatif. Moi je parlais de ces différents métiers pour souligner le fait que l'amalgame uniforme-armée, c'est oublier que tout un tas d'autres gens portent des uniformes, ne fut-ce qu'un t-shirt "malibu-securité" et un short rouge. Et pourtant on n'arrive pas là en courant pour dénoncer une dictaturisation des métiers en question. Les vêtements à trous et à taches, ok, je laisse tomber, je suis pas bon du tout en mode. Je limite aux vêtements à trous? Au style baba cool? lol aux «vêtements qui denotent une différence» alors (sociale, j'imagine?) on parle bien de la même chose... Il faut se fixer des objectifs aussi plutôt que décider sur zero base comment on veut s'habiller. Un jour un directeur m'a dit qu'il demandait aux animateurs travaillant sur sa structure d'avoir une tenue correcte pour rompre avec une mauvaise images des animateurs trop baba-cool et avec un large et apparent laisser-aller dans leur apparence (habits troués, anims pas rasés...). La mauvaise image faisait peur aux instits qui passaient (classes transplantées), aux parents pour les colos, et biensûr aux voisins. A chaque problème dans le coin la police débarquait au centre pour "trouver le coupable". Le risque ultime étant de fermer la structure, je pense que l'effort minuscule que représente une tenue correcte en vaut la chandelle. al'ouest quand tu parles de construction de la personnalité, d'accord qu'on peut s'amuser avec ce genre de repères visuels, mais un groupe j'imagine qu'on y adhère plutôt si on aime les idées qu'il véhicule, non?
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Mouais, et imaginons que pendant un convoyage (à pied ou en car, etc.) vous recevez un appel de quelqu'un qui vous propose du travail? C'est un appel que vous en pouvez pas recevoir une fois que les enfants sont couchés, ou même endormis, ça. Et alors est-ce aussi un abus si on se perd lors d'un trajet à pied avec le groupe et qu'on passe un appel? Une atteinte à la sécurité?
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al'ouest, totalitariste et fasciste c'est différent, et traiter quelqu'un de l'un ou l'autre dans un débat, ça peut dégénérer. Ma phrase modifiée ou pas garde quasiment le même sens, sauf que évidemment pour pas causer cette réaction il fallait sans doute que je mette un écriteau "je ne suis pas fasciste"... Et il y a des libertés qui me semblent plus fondamentales que le droit de s'habiller avec des vêtements à trous et à taches. Parlons des uniformes, justement. Les caissières de tous les super ou hypermarchés? Les employés municipaux? Et les assureurs ou les banquiers, est-ce que ça fait réellement partie de leur personnalité de porter un costume avec une cravate pendant le travail? Les pompiers? ... Que ce soit pour une question de publicité, de sécurité, s'habiller d'une façon particulière pour le travail ça n'est pas considéré comme étant une atteinte à la liberté, mais plutôt comme l'acceptation du contrat de travail. De même que surveiller son vocabulaire, son attitude...
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al'ouest, J'établis un constat, je ne prends pas position en disant que les uniformes gomment les différences vestimentaires. A l'origine j'avais tapé une autre phrase, que j'ai raccourcie, et j'ai pas pris le temps de la revoir. Je pensais un truc du style : «les uniformes ne gomment que les différences vestimentaires.» C'est bien loin de l'armée à mon sens, parce qu'à l'armée on n'uniformise pas que les tenues, mais la vie entière. Je prends position en faveur de l'originalité, de la créativité, de l'expression de chacun, de l'affirmation de la personne. Et je pense observer de véritables aberrations à ce sujet tous les jours en cvl, par exemple quand on demande à tous les enfants de fabriquer la même chose au milimètre près en respectant un modèle. Et on fait des concours idiots ou le mauvais enfant sera celui qui n'a pas réussi l'épreuve, etc. Aussi quand on demande à un enfant de respecter des choses que nous, adultes, imposons. En ce qui concerne le respect de la personne de l'animateur, là encore, j'aurais des exemples pour montrer que même en acceptant n'importe quel vêtement on ne respecte pas forcément la personne. Quand on ne donne pas à un anim la possibilité de se racheter (la bouletisation), quand on se permet de venir toucher à ses affaires personnelles, quand on ne laisse pas dormir un animateur, là même son sommeil, ce qu'il a de plus personnel, ou presque, lors du séjour, on se l'approprie, mais de quel droit?! Alors, la tenue vestimentaire, je trouve ça futile. Je vois plus d'avantages à faire des efforts devant les parents que d'inconvénients. Je ne veux pas donner une image d'animateur super-cool-à-moitié-punk-qui-se-prend-pas-la-tête. J'admets que les parents me jugeront peut-être en quelques secondes quand ils me verront, alors je leur montre que je suis sérieux, et je m'habille de façon... anodine. Et pour être franc, le trip d'être absolument à la toute dernière mode parce que j'ai peur d'être rejeté par les enfants, et le trip de la seduction à tout prix, ça me gonfle. Ce trip est lui-même uniformisateur, dans son genre. L'été dernier où j'ai bossé, y'avait des gamins qui s'injuriaient en se traitant de «charclo», en se moquant de ceux qui ne portaient pas de vêtements de marque. Je me demande si c'est vraiment l'expression de la personnalité, ou si c'est pas une acceptation des modèles commerciaux véhiculés par la télé, les publicitaires qui essayent de nous faire croire qu'être révolutionnaire c'est acheter ceci plutôt que cela. En plus de ça, je trouve que porter une tenue qui n'exprime rien, c'est un peu comme un défi pour réussir à s'affirmer autrement. Communiquer par les mots, l'attitude.
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Et pourquoi pas? Un milieu "plutôt decontract", sûrement, mais enfin à ce niveau, le pays tout entier est decontracté. Il n'y a pas que dans l'animation qu'on ne porte pas de cravate. Un village vacances qui fournit une tenue, je ne vois pas non plus ce que ça a de mal. Il ne s'agit pas d'uniformiser les animateurs, mais d'éviter qu'il y ait des mauvais jugements basés sur des critères idiots tels que l'apparence. C'est un problème commercial lol Les uniformes gomment les différences vestimentaires. Et puis porter telle ou telle tenue, ce n'est pas uniquement se joindre à un groupe par l'apparence. Savoir s'habiller de façon circonstanciée, pour pas mal de gens ça marque aussi une forme de respect. Le respect du statut de la personne. Faire l'effort de se présenter habillé correctement face à quelqu'un, c'est admettre qu'il le mérite.
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non.
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Bah... ça va, "horrible" quand même j'irais pas jusque là. Je ne crois pas que les PEP aient été coupables dans cette histoire. Alors c'est sûr, adresser les courriers à la chaine c'est maladroit. Je pense que de toute façon les personnels concernés (pep, enseignants, animateurs...) ont largement eu l'occasion de s'expliquer avec les parents, voire de faire eux aussi le deuil de cet enfant.
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Faut se reposer sur ses collègues en réunion, ou en parlant avec eux de ce qui vient de se passer. Ça permet de relativiser, de voir que ça n'arrive pas qu'à nous et que personne n'a de solution, ou au contraire d'avoir des idées avec quelqu'un qui a déjà vécu la même situation et l'a surmontée. C'est ce qu'on appelle "travailler en équipe". lol Mais j'avoue avoir longtemps travaillé en pensant que le travail d'équipe c'était surtout "chacun à sa place" puis "savoir se parler avant les activités pour mieux gérer". Une conception très individualiste. On bosse avec des relations humaines, parfois c'est dur, et en particulier quand on débute, et avec certains enfants/groupes c'est un calvaire incroyable pour certains. Je suis étonné qu'un travail là dessus en réunion ne soit pas systématique.
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On m'a souvent dit ça : "les premières minutes sont décisives". Mais je pense que tout le temps qui suit aussi lol. C'est surtout que si à un moment on cède à quelque caprice, on risque d'avoir du mal à partir de là à ne pas re-céder. M'enfin rien n'est jamais joué. Au pire on admet qu'on s'est planté et qu'on veut changer de comportement en tant qu'animateur.
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Quand ton travail te rapporte plus de désagréments que de satisfactions, tu claques la porte tout seul, je pense. De plus c'est facile de remettre son emploi en cause vite fait comme ça, insouciant lol "oh ben si ils sont pas contents, ils me virent". Mais on se retrouve chomeur du jour au lendemain, avec un appart à payer, de la nourriture, des assurances, des abonnements divers... Après on a le choix. Se faire virer intentionnellement pour avoir droit à des prestations, soit on est honnête et on part de soi-même, sans aucun droit. Ensuite ça apparaît plus ou moins sur ls CV, faut l'assumer aussi. En plus ce "s'ils sont pas contents" je l'ai vécu pendant 4 mois, et c'est insoutenable, je pense, de se dire du matin au soir dans son boulot qu'on ne doit surtout pas faire confiance au directeur, voire au reste de l'équipe. En plus quand on sait quel mauvais moment on va encore passer à chaque occasion que l'un ou l'autre (directeur ou anim) te balance à la figure un lot de critiques sans que tu puisses te défendre... La différence de pédagogie n'apparaît pas que dans la façon de se comporter avec les enfants. Ça peut être le choix de faire ou non des réunions, la place qu'on donne aux animateurs (doivent-ils gérer les activités uniquement? modifier le projet péda? gérer leur matériel et leur budget? gérer leurs transports? gérer les inscriptions?...), des questions de fonctionnement basiques, qu'on croirait vite réglées, et pourtant, c'est jamais si simple que ça en a l'air. J'ai fait plusieurs années dans un clsh, et mon directeur a exigé de moi un travail routinier. Une activité manuelle le matin, un jeu sportif l'après midi, en gros. Comme ça ennuyait les enfants (et moi aussi d'ailleurs) j'ai tenté des trucs différents, projets plus longs, plus participatifs pour les enfants. Mais mon travail a été saboté par le dirlo. héhé :D A la base le problème était pédagogique pourtant, moi je voulais que les enfants participent au choix des activités et au fonctionnement du centre, et le directeur disait qu'il fallait obliger les enfants à faire des trucs même si ça ne leur plaisait pas. Facile pour lui qui n'encadrait une activité que tous les trois mois, un p'tit coup de chantage affectif, une p'tite gueulante, et hop! tout le monde fabrique son mobile, même si c'est le douzième qu'ils font en trois ans.
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arf mavio t'inquiète pas, toutes les animatrices qui ont de l'expérience elles sont passées par la case départ. Peut-être qu'il vaut mieux que tu vises d'autres types de colos? D'autres types de centres de loisirs? Ils demandent quand même pas une expérience du tonnerre dans les clsh ruraux lol. Ou même dans certaines colos qui n'accueillent que de "gentils enfants". Après, tu parles de défaveur, mais tu pourrais le prendre dans l'autre sens. C'est peut-être te rendre service que de ne pas te jeter aux crocodiles. (sans aucun jugement contre les enfants, ni les anims, ni les directeurs hein) L'été dernier j'ai vu ça arriver, une animatrice pas encore assez solide personnellement qui a fait l'aventurière en partant avec des enfants relativement survoltés. A mon avis elle gardera un souvenir traumatisant de cette expérience. Et j'le souhaite à personne. Donc je me mets à la place du recruteur, s'ils estiment qu'il vaut mieux avoir un peu d'expérience, mieux vaut leur faire confiance.
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Sandra, vous influencez sans choisir à la place des enfants, de toute façon, non? Dans tout ce que tu dis il ne me semble pas que se retrouver à deux animateurs pour douze enfants puisse faire tomber à l'eau tout le fonctionnement mis en place. Un fonctionnement qui capote par excès de moyen, c'est assez dur à conceptualiser quand même. C'est un défi amusant héhé. J'ai travaillé comme ça aussi, dans un clsh où on se connaissait (enfants et anims). Mes objectifs étaient différents par contre, je n'ai pas décidé de mettre en place plus d'activités que d'anims, j'en convenais avec les enfants lorsque c'était possible. Là où ça change c'est que dans une colo où j'ai travaillé cet été, les enfants n'avaient pas du tout l'habitude de cette situation. Être plus d'animateurs nous aurait permis d'être plus efficace au moins au début de la colo lorsqu'ils s'agissait de lancer la communication entre l'équipe et les enfants. Dans les situations de crises qui arrivaient à cause de défauts de pédagogie dans l'équipe, les anims étaient complètement dépassés et incapables de répondre. En mini camp avec les mêmes enfants, quand ils étaient en groupe réduit et qu'on était deux anims, l'ambiance n'avait rien à voir.
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Le sudiste, Antoine... Guillaume? Je n'ai pas lu qu'il y en avait peu, je te l'ai demandé pour vérifier, puisqu'on ne peut pas généraliser sur quelques cas, encore moins si on n'a aucune idée de leur représentativité. Tu as généralisé en disant "en général...". arf. Ben le pétrin est bilatéral hé hé :D L'anim qui démissionne, peut aussi se prendre la tête pendant des mois, à n'en plus dormir, à s'en abîmer la santé, avant de démissionner, ce qui le laissera sans emploi, triste de n'avoir pas pu dire au revoir à des enfants qu'il connaissait depuis plusieurs années. Alors non ce n'est pas "il pourrait" mais "il peut". S'il démissionne il a une bonne raison. ... le devoir de quoi? A part le contrat qu'on s'engage à respecter, je ne vois pas trop de quoi tu parles.
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Ben c'est à ce moment là que l'anim fait son travail et fait ressortir des alternatives, non? Pour jouer dehors il y a bien d'autres choses à faire qu'un poule renard vipère. Question d'habitude ou d'organisation, peut-être? Les enfants qui se plaignent des animateurs y'a plusieurs solutions. Les anims peuvent changer leur fonctionnement, on peut être présent sans être envahissant ou directif (rien que pour assurer la sécurité déjà). Les enfants peuvent aussi changer de centre pour aller dans ces centres où ils sont en auto-gestion. ... En quoi consistent exactement ces temps d'auto-gestion dont tu parles?
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Quelles qu'en soient les raisons, on ne démissionne pas par hasard. Le sudiste, démissionner est un droit, une liberté. Menacer d'ôter aux animateurs le choix de rester ou partir, c'est même pas réglo. N'importe quel travailleur signe un contrat dans lequel sont précisées les modalités de démission. "en général" : je me demande bien d'où tu sors ça... Tu connais beaucoup d'animateurs démissionnaires peut-être?
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Ouais. Cependant il ne faut pas non plus tomber dans le travers de la victimisation. Celle qui ferait dire à l'ado "je suis une victime, je fume, j'ai honte, mais je ne suis pas coupable, ce n'est pas moi qui ai décidé". Il est tout de même écrit des trucs particulièrement significatifs sur tous les paquets "FUMER TUE", c'est pas de la manipulation ça, c'est la vérité, c'est très clair. Ben alors là ça dépend vraiment de la situation. Pour un danger vital immédiat, évidemment je peux agir contre sa volonté (s'il veut se pencher pour voir ce qu'il y a en bas de la falaise, s'il veut s'enfermer dans la machine à laver... mdr) Pour le reste je fais de la prévention et ça marche. De toute façon les locaux accueillant des enfants sont généralement super-sécurisés. Quant à aller contre la volonté de l'enfant, je ne suis pas d'accord. Je pense que c'est un être intelligent et qui a seulement besoin de toutes les informations, parfois des questions adequates, pour prendre des décisions personnelles, mais je n'y réponds pas moi même, du moins j'essaye. Si c'est pas de lui que vient le rejet du tabac, ou le désir d'arrêter, c'est de moi? Mais alors quand je ne serai plus là? Oh ben ils savent parfaitement à quoi ça les expose. D'ailleurs, si tu trouves un médecin qui fume, tu vas essayer de le convaincre d'arrêter aussi? Il risque pas de te mettre sa main dans ta figure? :D ... médical, "comme un médecin" en effet ça risque d'être incompréhensible. Mais les arguments scientifiques ont le mérite d'être difficilement réfutables ou contournables. Et je vous rappelle... ce que j'ai écrit en page 3 de ce sujet! Un débat dont on connait l'issue n'est pas un vrai débat. Ça peut servir à évaluer les connaissances du public pour mieux cibler l'information ensuite.
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Chuis deg de lire ça! mdr :D Le minimum légal vous trouvez que ça fait trop d'anims? A 3 pour 48 enfants, c'est pas de l'animation qu'on fait, c'est un palliatif à l'ennui, et on tend si facilement vers l'autoritarisme, on s'en excuse en disant qu'on est pas assez d'anims mais les enfants n'ont pas à subir ça. Et même à 4 anims pour 48, rien n'est acquis d'avance. De plus les groupes géants, non merci. Au contraire je suis ravi les jours où on est "trop" d'animateurs, par ex. 3 avec 20 enfants, ou 2 pour 12 (lol sandra). Là on peut faire des petits groupes avec les enfants, ou alors animer à plusieurs en répartissant les rôles. En tous cas tout le monde est plus calme quand c'est ça, les anims moins pressés, courent moins, on a le temps de finir de parler à un enfant avant que quelqu'un d'autre nous coupe la parole, on est en situation idéale pour communiquer, pour se déplacer, pour improviser tout un tas d'activités, de jeux, de sorties... qui seraient impossibles à faire autrement. Selon les projets pédagogiques pour lesquels je travaillais, les vacances se passaient bien mieux ainsi. Moins de bruit, plus de calme, sans se forcer, plus de sérénité, plus de repos, tout le monde se connait... Qu'est-ce que tu entends par "dynamique de groupe"? Même quand il n'y a que 4 enfants, il y a une dynamique de groupe, non? De plus les animateurs font partie du groupe, quelle que soit leur position, donc qu'il y ait 1 anim pour 25 enfants, ou 4 anims pour 12 enfants, ils ne tuent pas la dynamique de groupe.
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Les enfants ont proposé ce thème et ont demandé la fête sans savoir ce qui allait en découler? Etonnant... Si c'est un clsh, faut consulter les enfants qui viennent régulièrement. En fait dans le cas d'un thème imposé, je pense que l'intéressant est de choisir un thème manifestement culturel. Par exemple "la musique asiatique", ou "les traditions du Nord". Comme ça l'animateur peut faire un apport culturel, et il est possible de formuler des idées d'activités autour de ça.
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L'an dernier, j'avais lancé un projet comme ça dans un clsh. J'avais commencé par montrer aux enfaits, en petits groupes, ce qu'était internet, comment fonctionne un ordinateur. C'est une partie que je trouve très importante, parce que d'abord elle donne des compétences aux enfants. Savoir naviguer, savoir lancer internet explorer ou firefox, connaître les principes de base, liens, ouvrir un lien dans une autre fenêtre ou un autre onglet, se servir des boutons page précédente et suivante, etc. Et apprendre à se servir d'un moteur de recherches. Et apprendre quelques règles de sécurité. Ensuite cette partie "entraînement à l'utilisation de l'ordinateur et d'internet" donne aux enfants une certaine culture du net, qui est nécessaire s'ils doivent participer à la conception d'un site. S'ils n'en ont jamais vu, ils n'ont aucune idée... Enfin avant de se lancer dans l'utilisation intensive d'un pc, je pense que ça serait pas mal qu'ils aient quelques connaissances techniques. Savoir par exemple que pour chaque chose qu'on fait sur un pc, il faut un programme. Pour ouvrir une page internet il faut un programme, pour écouter un morceau de musique, il en faut un autre, etc. Et les programmes ça s'installe... Je ne sais pas si on peut rentrer dans des trucs plus complexes avec des enfants. Avec des ados certainement (parler du hardware). Voili voilo. Dans le clsh j'avais fait moi-même les pages du site, en html avec des feuilles css. Les enfants conceptualisaient les pages, le site... J'ai pas eu le temps de faire ce que je voulais de toute façon. Mais j'aurais préféré leur apprendre à se servir d'un pc plutôt que leur donner des recettes qu'ils auraient oublié en une semaine sur un générateur de pages.