Oublieuse

'Scuse moi Milkc, mais je ne pense pas qu'un stage pratique soit comparable à la scolarité: à l'école tu n'as pas de responsabilité, tu ne t'occupes que de toi et les profs sont là pour t'enseigner des matières qui te serviront dans ta vie future! Lors d'un stage pratique, tu es en situation de travail, tu as une responsabilité envers les enfants, tu n'es pas là pour t'occuper seulement de toi. Ceci dit, je suis d'accord pour dire que si l'on choisit de ne pas être payé, ou est le problème? Moi je n'ai pas été payée non plus, car je venais de démissioner d'un boulot de serveuse, et comme de toutes façons je n'ai pas trouvé d'autres boulots, j'étais bien contente de pouvoir au mons valider mon stage pratique. Bon, je crois que le sujet est bouclé!

Salut! Je n'ai pas encore fait beaucoup de colos, mais je n'ai jamais été logée comme ça!!! La plupart du temps, il me semble, on a quand même beaucoup plus d'intimité, pas de mixité, des chambres de deux ou trois.... Voilà, alors rassure toi, ce que tu as vécu ne se passe pas dans tous les cvl, heureusement!

J'ai également fait une activité jonglage lors d'une colo cirque. Les plus grands commençaient à se débrouiller avec deux balles, les plus petits n'y arrivaient pas. J'ai trouvé une alternative en leur proposant d'imaginer toutes sortes de figures qu'ils pouvaient faire: - à une balle, et seuls - à une balle, et à plusieurs (2 ou trois) - à plusieurs balles, seuls, puis à plusieurs Ce n'était pas du jonglage à proprement parler, mais ça leur permet de se familiariser avec les balles, à se raconter des histoires avec. A la fin, deux groupes de trois et quatre enfants ont réussi à créer une sorte de sketch avec des balles: au petit déjeuner, face à leur bol, ils se versaient des balles, se les passaient, les goûtaient...etc. J'avoue que pour moi c'était une satisfaction terrible qu'ils aient réussi à se raconter une histoire en utilisant ces balles de jonglages. Pour eux, ce n'est déjà pas une mince affaire que de la lancer et de l'attraper correctement. Je pense que dans une activité jonglage, surtout avec des petits, il faut élargir, et ne pas se cantonner au jonglage "strict". En fait il faut que les enfants s'amusent avec les balles et se les approprient, et ensuite, petit à petit, ils arriveront à jongler.

Tu as vraiment tort de penser que le stage d'approfondissement ne sert à rien!! Il ne tient qu'à toi de bien le choisir en fonction de tes envies et des tes goûts, le mien (histoires et contes) m'a appris beaucoup de choses, pratiques, cela complète bien la formation théorique, et permet d'avoir un bagage au niveau de la préparation d'activités originales, compliquées à mettre en place et où tu ne peux pas te permettre de faire des erreurs lorsque tu es avec les enfants. dAns ton stage, si tu fais des erreurs c'est pas grave, tu en rediscutes et ça te permet d'être au point pour tes colos.

Tu as raison, il en faut quand même un peu. ce que je voulais dire, c'est que la théorie doit être directement lié avec le concret, la réalité, car sinon ça ne marche pas et ça devient de la masturbation intellectuelle. Perso j'adore les réunions, si elle sont vivantes et qu'elles débouchent sur du "dur". Parler en l'air, ça m'énerve, et tout le monde en a marre. Moi les réunions où le dirlo fait son monologue et la morale, ben ça ne m'aide pas à faire des choses bien. Je pense que sur le fond on est d'accord, juste quelques petites incompréhension... du fait qu'on parle en différé! B)

Après avoir lu tes messages, Jean, je suis un peu triste pour toi que tu n'aies jamais rencontré d'équipe d'animation digne de ce nom. Ceci dit, cette année je bosse en clsh et je me retrouve un peu dans la même situation mais pour des raisons légèrement différentes. En fait, j'ai un dirlo assez directif (en ai déjà parlé dans le défouloir d'ailleurs ), et du coup je me suis retrouvée à être obligée de suivre un projet d'animation que je n'ai pas choisi, mais qui ceci dit peut être intéressant: mon quartier, ma ville, ma région. Il s'agit de faire découvrir aux enfants leur environnement. Seul problème, c'est que je débarque à Paris et ne connaît pas grand chose, et n'ayant pas participé à l'élaboration du projet, je ne suis pas super motivée. Bref! J'ai pondu un ou deux projets d'activité en rapport avec le projet, que je ne pourrai d'ailleurs pas mettre en place puisque la personne que je remplace revient. Je dis bien pondu car je l'ai vraiment ressenti comme une obligation et non comme quelque chose de génial sur laquelle j'allais prendre mon pied à réfléchir. Peut-être ne voyez vous pas trop où je veux en venir... ça arrive! En fait, tout ça pour dire que les PA, PE et compagnie, c'est bien joli, mais ça ne vaut rien si c'est juste pour forcer les animateurs à mettre leurs idées sur papier pour faire joli pour la caisse d'action sociale, qu'il faut qu'il y ait autour un réel travail d'équipe où l'on travaille à plusieurs sur les PA des grosses activités, qu'il y ait du remue-méninges quoi! Car moi, j'adore l'animation, mais je ne sais pas animer seule. J'aime être en phase avec le reste de l'équipe, qu'il y ait des idées qui fusent et qui s'enrichissent mutuellement pour créer un projet dix fois plus beau que ce qu'on pensait tout seul dans son coin. A propos de la motivation de l'animateur, pour moi le point principal, c'est de faire passer des bons moments aux enfants, qu'ils puissent ne rien faire s'ils en ont envie (car pas mal d'enfants en clsh viennent parce que leurs enfants travaillent et résultat ils passent leurs semaines à être "en activité", ballotés de l'école au club du soir et au clsh le mercredi), mais malheureusement, je ne peux pas trop le faire. Je n'aime pas trop l'idée qu'il faut à tout prix que l'enfant "apprenne" quelque chose. Je me suis déjà retrouvée en face d'une dirlo qui proposait de faire tel jeu un peu ennuyeux pour que les enfants "apprennent" des nouveaux mots. Quand on lui a fait remarquer que ça n'amuserait pas les enfants et qu'ils décrocheraient, elle nous a répondu que ce n'était pas grave et que l'important c'était qu'ils apprennent!!!! Bref, je suis pas trop branché théorie. Ce qui m'importe, c'est les relations entre personnes (enfants ou adultes), l'échange, le plaisir. Et je pense qu'automatiquement il en découle de l'enrichissement mutuel. Voilà, désolée d'avoir été si longue, et bravo à ceux qui ont lu jusqu'au bout!!! :siffle:

Salut tout le monde! Moi aussi j'étais une aficionada des colos quand j'étais petite, j'adorais ça, et à partir de 12 ans j'ai décidé d'être animatrice plus tard (et je me suis pas trompée!!). Je me souviens que quand un animateur me blessait ou faisait des choses injustes, je me disais : souviens toi de ce que tu ressens pour ne jamais faire les mêmes conneries. Et j'essaie toujours aujourd'hui d'agir en me mettant à la place de l'enfant, de voir ce que je ressentirais à sa place. Bien sûr chaque enfant est différent, mais quand même, je pense que ça aide à ne pas se déconnecter de l'enfance. D'ailleurs j'avais une animatrice fétiche, et je me suis toujours dit que c'est comme elle que je voudrais être: autorité et gentillesse.

Joli coup de gueule!! N'étant pas directrice, je suis d'accrod quand même car moi aussi ça me saoule les anims qui font leurs trucs dans leur coin, sans essayer de se joindre au reste de l'équipe, ou ne font tout simplement rien. Moi ce qui me motive dans l'animation, outre de travailler avec des enfants, c'est de monter des projets avec d'autres adultes, que les idées fusent, et que les activités soient beaucoup plus riches du fait qu'on y a réfléchi tous ensemble et qu'on est tous motivés pour les monter.

En fait, j'ai toujours peur de ne pas être à la hauteur, et finalement ça se passe très bien! Mais c'est comme ça, je balise à mort juste avant! Quand je pars en voyage, c'est pareil... au moment de partir je suis pratiquement prête à rebrousser chemin, et une fois que je suis lancée, plus rien ne m'effraie... :siffle:

Voilà, je lance un sondage car j'aimerais savoir comment sont les animateurs lorsqu'ils s'apprêtent à se rendre sur un centre. Moi perso, je balise... d'ailleurs lors des entretiens, j'ai tendance à me rabaisser légèrement pour que le directeur ne soit pas déçu une fois qu'il m'a embauché!!

Allez, moi aussi je vais ajouter ma petite note à l'encontre des mairies!! Par exemple à Paris, les bugets sont définis par arrondissement pour les clsh. Du coup, dans le 19è où je suis, les moyens pour les sorties sont ridicules et la bouffe dégueu: forcément, la moitié des familles ne payent quasiment rien. Pourquoi ne pas centraliser les cotis' de tous les arrondissments pour que tous les enfants aient les mêmes avantages? Je trouve ça vraiment injuste que les enfants des arrondissements "riches" soient mieux traités que ceux des arrondissements "pauvres". Rrrr!! mairie socialiste, vous êtes sûrs?? :enerve:

Salut! Tu es en ville ou à la campagne? car à la campagne, tu peux faire des activités plus facilement... Quelques idées: dans un parc qu'ils connaissent ou dans leur cour, bande leur les yeux et fais leur toucher des choses différentes, à eux de deviner ce que c'est, de décrire comment c'est -doux, dur, piquant-etc. Je pense que ça peut être un bon point de départ pour plein d'autres choses. Tu peux aussi passer du temps à regarder les nuages, les traces d'avion dans le ciel -->et ainsi leur expliquer pourquoi il y a des nuages, de la pluie, etc. Je ne l'ai jamais mis en pratique comme activité, mais plus sur des temps informels, mais toi tu peux développer ça. Tu peux aussi leur parler de l'air (si tu ne l'as pas déjà fait). A cet âge-là, ils sont curieux de tout, les choses les plus simples sont pour eux une découverte incroyable. Bonne chance, j'espère que j'ai réussi à t'aider! B)

Merci Aude. Je vais essayer ta méthode (si j'y arrive, car pas facile de s'isoler avec seulement deux ou trois enfants!!)

Salut! Bon je reposte ici mon message... Je le reposte même si j'ai lu les autres réponses, car ici il s'agit d'un enfant de trois ans. Comment lui faire comprendre sans le blesser? Je ne peux pas avoir la même discussion qu'avec un enfant de 11 ans.

Salut tout le monde! J'ai un petit problème (somme toute pas très grave mais peut-être pourrez vous m'aider) avec un enfant qui me colle. Il vient systématiquement vers moi, m'appelle à travers la cantine quand on mange, etc.. il tire mes vêtements (ce qui m'énerve prodigieusement ). Je le rembarre souvent, en essayant de lui expliquer qu'il ne doit pas crier dans la cantine, que quand je dis stop il faut qu'il m'écoute, etc. Mais il continue, et j'ai peur de le prendre en grippe , d'ailleurs ce n'est pas un enfant pour qui j'ai tellement d'affection. Je ne voudrais pas qu'il le sente et soit blessé, mais d'un autre côté j'aimerais trouver un système pour qu'il arrête de me coller. Auriez-vous des idées pour m'aider? Merci! :unsure:

Puisque y' a un défouloir profitons en! En ce moment je suis animatric en clsh mater à paris, et j'en ai marre d'avoir un dirlo qui ne parle que pour faire remarquer des choses désagréables, ou qui prend deux animatrices sur le temps du midi (pendant que les momes se déchainent à table) pour leur parler du planning! Et qui parle pour ne rien dire, et qui nous cause comme à des mômes! Et qui nous menace d'être viré pour un nom sur une fiche de sortie! Non mais sans blague! C'est pas l'usine non plus! Enfin, de toutes façons je n'ai jamais aimé les centres de loisirs quand j'étais gossse, préfère largement les cvl! les parents te tapent pas sur les nerfs pour un bonnet enlevé ou des chaussures à l'envers (eh, oui, ça arrive, on est pas infaillible). J'aurais aimé que ma vision des centres change malheureusement ce n'est pas le cas. Heureusement, il y a les enfants! :D Allez, à plus!

ok, merci pour la réponse!! A part ça ce forum est très bien fait.

Serait-il possible de marquer automatiquement comme lus les messages que l'on écrit?

Je ne faisais pas de généralités... Je voulais juste dire que dans certains cas ce sont les formateurs qui devraient se remetrre en question. En général la faute n'est pas que d'un seul côté. Mon stage base je l'ai fait avec les Francas.

C'est vrai vous avez raison. Disons que j'ai essayé déjà pour d'autres sujets de discuter avec lui, mais c'est très difficile de modifier ce qu'il a décidé. Disons que plutôt que de nous proposer des idées pour que l'on en discute tous ensemble, il les impose et ce n'est pas négociable. Pour ce qui est de la sécurité, il n'est pas totalement responsable de l'excès de sécurité des deux animatrices avec qui je travaille. Je pense que même avec un autre directeur elles auraient cette tendance. Disons qu'il ne les encourage pas à aller dans l'autre sens...! J'avoue que je n'ai pas beaucoup d'espoir. Je ferais des efforts si je me sentais vraiment à l'aise avec le reste de l'équipe, mais comme il n'y a pas de dynamique même entre les animateurs, j'avoue que je baisse les bras, je fais ce qu'il me semble juste de faire avec les enfants, et le reste tant pis. Surtout que je vais quitter ce centre dans trois semaines car je ne suis qu'en remplacement. Enfin voilà. Je suis un peu lâche, c'est vrai, mais j'ai vraiment le sentiment que la discussion n'est pas possible. Exemple: nous devons faire notre planning d'activités pour le mois entier. J'avais proposé que l'on ne plannifie que les temps forts, et qu'on le fasse ensemble plutôt que de faire un "tas" avec les activités de chaque aniamteur, mais la réponse a été catégorique! En fait, il nous manque du temps pour pouvoir organiser des activités suivies et cohérentes, et originales et imaginatives. On a des réunions de temps en temps (après la journée de 10 heures, personne n'est motivé) auxquelles je ne peux pas assister, mais où il n'y a pas de travail d'équipe comme il y en a lors des réunions le soir en CVL. Voilà. Pas très positif tout ça!

Ma meilleure colo, pour l'instant, a été celle de mon stage pratique il y a deux ans. C'était une colo à thème: cirque. Les enfants étaient là parce qu'ils l'avaient choisie, ils étaient super motivés, gais, agréables. L'équipe était d'enfer, on s'est tous super bien entendus, c'était plus les anims qui excitaient les enfants que le contraire. On pouvait se permettre, par exemple à la soirée 'galettes-crêpes' de se lever tout d'un coup et de dire aux enfants, allez on danse! Et hop, on disait stop 2 minutes plus tard et tout le monde se rasseyait, sans que ça finisse en bazar. C'était génial, il y avait vraiment un courant qui passait entre l'équipe et le groupe d'enfants. C'était ma première colo, que j'appréhendais beaucoup (je me disais, mais quelle idée de passer le bafa, toi qui ne supporte pas d'entrer dans la cour d'école de ta petite soeur de peur d'être mangée par tous ces mômes qui crient!!), et finalement j'ai tout de suite réussi à me mettre dans la peau de l'anim, chose facilitée par les années que j'ai passée en tant que colon"e". Au niveau de l'équipe, cet été j'ai fait un cvl où elle était super aussi, mais le boulot d'anim plus dur, car pas le même public. De temps en temps, ça fait quand même du bien de bosser avec des enfants qui n'ont pas de lourd passif familial, qui sont sereins et avec qui on a pas besoin des rappeler les régles toutes les cinq minutes!!

Je suis d'accord avec toi, c'est grave, mais pas au point de menacer un anim d'être viré. Et je pense qu'il est plus intelligent de discuter d'adulte à adulte avec les anims concernés, sans leur mettre la pression et leur faire la morale. ça ne sert qu'à dégrader l'ambiance: une des animes avec qui je travaille pense constamment à "que va dire le dirlo". Elle se met la pression pour des choses qui ne sont pas graves en soi et me met la pression aussi du coup. On s'est d'ailleurs engueulées à cause de ça. Du coup, quand on sort avec les enfants, elle est tellement obnubilée par la sécurité, que les enfants ne peuvent rien faire, sont toujours en rang par deux même dans le parc, où je pense qu'au contraire c'est un endroit où ils devraient avoir plus de liberté (sans les laisser partir dans tous les coins évidemment). Dites moi si j'ai tort (peut-être suis-je trop inconsciente). En fait, c'est la première fois que je travaille dans cette ambiance. Les autres centres que j'ai fait (des colos pour la plupart), le dirlo faisait partie de l'équipe, était là pour nous aider et nous soutenir, et non pour nous enfoncer. Justement la structure est assez petite: maxi 45 enfants. Je ne sais pas exactement ce qu'il fait, et je ne dirai quand même pas qu'il ne fait rien (loin de moi cette pensée), mais les seules fois où il aide à l'animation, c'est pour les sorties (justement quand j'aimerais mieux être tranquille et ne pas l'avoir sur le dos) et dès qu'on rentre, il s'éclipse dans son bureau, alors que justement là ce serait bien s'il donnait un coup de main: enlever les manteaux, aider au bon déroulement du temps du midi, etc.

Salut! moi j'ai le même problème, cependant on a quelques "trucs" qui marchent plus ou moins bien selon l'excitation des enfants. L'anim fait "toc, toc, toc" (assez fort pour être entendu), les enfants répondent "qui est là?", l'anim: "c'est machin" (remplacez machin par votre prénom... ;o) les enfants: que veux-tu? l'anim: le silence (ou tout c'qu'on veut... que vous alliez mer chercher mes pantoufles, etc.!! :D ) et les enfants: "Ah! ça d'accord!" et normalement c'est le silence complet! Je précise que les enfants avec qui nous le faisons ont entre 3 et 5 ans, mais je pense que ça peut marcher jusqu'à 8-9 ans.

Franchement, je pense qu'un garçon peut tout à fait parler des régles avec une ado qui vient de les avoir si c'est elle qui fait la démarche d'aller vers lui (pareil pour une anime fille, d'ailleurs). Il suffit d'être rassurant et à l'écoute. Pour l'histoire du tampon, je pense en effet que ce n'est pas une bonne idée pour la première fois, moi perso je n'ai jamais pu en mettre avant d'être dépucelée (je vous épargne la suite de mes histoires intimes ;o) Voilà. Alors max, si tu te sens à l'aise sur le sujet, n'hésite pas. Il faut pas que tu sois crispé, ou tu vas encore plus inquiéter la jeune fille qui sera venue te voir!!! :D

Je pense que le fait que les futurs animateurs se sentent en colo peut $etre lié à l'attitude des formateurs envers eux. Moi quand j'ai passé mon stage de base, je me suis sentie pas mal infantilisée, et je trouvais ça pénible, alors je peux comprendre que des anims en formation voient leurs formateurs comme des anims. Peut-être faudrait-il que les formateurs parlent aux "formés" comme à de futurs animateurs, adultes et responsables, et non les considérer comme des mômes de 17 ans sortant tout juste de leur dernière colo. J'ai l'impression que pas mal de formateurs ont cette tendance.