Noel
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Un rapport vient d'être rendu au Ministre de la santé concernant l'hypersexualisation précoce des filles. Il a été rédigé après 3 mois de recherches, entretiens divers, rapports et enquètes auprès de spécialistes et professionnels, etc...Ce thème commence à inqiéter beaucoup de monde. Une courte recherche sur internet en atteste. Parmi les propositions qu'il contient, se trouve l'interdiction des concours de mini-miss. Mais ces spectacles dans lesquels on invite des fillettes à se mesurer les unes aux autres sur les critères de leur beauté et de leur tenue sont-ils différents de ceux que l'on rencontre dans certaines colos sous le nom de défilés de mode ? Si les premiers sont interdits, les second devraient-ils être tolérés parceque organisés dans un milieu d'enfants ? Noël
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Je suis étonné de voir un post consacré à de la publicité dans le forum discussion générale. ... Surtout que ce post parasite le thème que je venais d'ouvrir sur l'hypersexualisation des fillettes.
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Si c'est exact, je te présente mes excuses. Ceci n'enlève rien à la pertinence de ce que j'ai dit. Mais ça devient inopportun. Pourtant les dernières réactions font apparaître que tu n'as pas été compris, non ? Noël
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Explique. Ne te contentes pas de critique sans effet. Décris ce qui doit être décrit. Avec des mots et des concepts qui correspondent à la question posée. Ne cite pas l'un ou l'autre pour te cacher derrière mais fais-nous part de la connaissance que tu en as. Enrichis-nous, s'il te plait. Il me semble que l'intérêt d'un tel forum n'est pas de montrer que l'on sait mais d'échanger et d'argumenter, voire de transmettre et faire profiter d'autres d'expériences utiles et enrichissantes. Qu'on les partage ou pas, les idées construites et structurées sont intéressantes. A conditions qu'elles soient compréhensibles par ton interlocuteur. Sinon c'est laisser les gens dans le vide, désemparés et prêts à aller vers n'importe quelle certitude rassurante. Noël
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Le problème de la pédophilie est un aspect particulier de la mixité comme celui des amours, d'ailleurs. Il s'agit là de situations d'excès qui sans être inintéressante, bien entendu, sont limitées dans les collectivités d'enfants. C'est vrai que ces situations sont frappantes mais on ne parle jamais des trains qui arrivent à l'heure. Ces situations critiques et critiquables relèvent du contrôle que chacun doit avoir de soi en n'oubliant jamais que l'outil de travail d'un animateur, c'est lui-même, et que comme tout bon ouvrier, il doit en avoir une maîtrise suffisante. Cet aspect ne peut être écarté lors de la constitution des équipes. Bien entendu, ces aspect "critiques" méritent largement qu'on en parle. Tu as commencé. Il faut le faire de façon que de nombreux collègues y participent, même s'il est vrai que le problème de la pédophilie actée est, heureusement, infiniment plus rare que celui des amours moins graves et assez tolérés... sauf dans le sens animateur petite fille! Et pourtant, ne relève-t-il pas de la même absence de contrôle de ses pulsions... sauf s'il s'agit de jouer à l'amour (même platonique, s'entend) pour faire comme à la télé, ce qui est fort heureusement la majorité des cas et pose alors plus le problème de la télé que celui de l'amour! Mais c'est une autre approche, un autre angle de vision que j'ai évoqué: lorsque nous avons des groupes d'une même culture, qui ne diffèrent que par quelques usages locaux ou familiaux, et que les enfants qui le composent sont destinés à vivre dans ce milieu, on peut assez bien élaborer le projet de mode de vie qui guidera nos actions. Mais dans le cas de groupes divers??? Or de nos jours, sauf le cas "local" que tu as évoqué et qui me rappelle les amicales laïques et les patronages (??) paroissiaux, nous avons affaire à des enfants de culture différentes. Chacun vient vivre un moment commun avec sa culture. Et si encore chaque famille avait le projet de s'assimiler à une culture identifiée, on pouvait bâtir un projet homogène avec un objectif identifié. Je me souviens de colos d'enfants de milieux ruraux du Puy de Dôme dont la culture était d'une homogénéité étonnante alors que d'autres colos accueillaient des enfants regroupés du fait de la religion de leurs parents pour lesquels la culture assez différente des premiers ne leur aurait pas permis d'être facilement ensemble. Un autre sujet sera celui de la tolérance à celui qui n'est pas comme moi: d'une manière générale de l'abord de l'altérité. De nos jours, nous avons des groupes qui, en général, comportent des enfants qui ont des usages, des sensibiltés, des manières de voir, des modèles, des cultures différentes. Ils ont déjà du mal avec la leur dont ils sont abreuvés. Alors les autres... dont les différences leur créent bien des déchirements quand on est pas encore bien sur de soi. Or dans nos sociétés occidentales, les femmes ont vis à vis des enfants un rôle communément admis (et imposé) issu du maternage et de la protection. Ce rôle est contesté tant dans sa prétendue spontanéité (voir les 2 livres concommitants "Quand l'amour a manqué" et "L'amour ne suffit pas") que dans un prétendu ancrage naturel. Depuis quelques dizaines d'années, les mouvements féministes s'activent et il est dans l'air du temps de prôner l'égalité des sexes. Cependant, on est tellement loin de la voir réalisée, cette égalité, qu'il faut aller quelquefois jusqu'à imposer. Comme quoi,ce n'est pas encore fait, loin s'en faut. Et, parmi les enfants que nous trouvons dans nos groupes, certains sont de cultures dans lesquelles la place de la femme est bien différente de ce qui vient d'être rappelé ci-dessus et celle de l'homme vis à vis des filles bien différente aussi. Et les rapports entre pairs de sexe différent aussi. Etant précisé que contrairement à d'autres époques, chacun veut poursuivre dans sa propre culture. La question est alors: devons-nous imposer à tous notre idéologie égalitariste ou devons-nous respecter les différentes cultures.? Et que va faire un animateur qui a dans son groupe des cultures différentes? De la réponse dépendra le projet éducatif de la colo, projet qui entraînera les modalités pédagogiques nécessaires dont, entre autres, celle des relations entre adultes et enfants de sexe différent (et de même sexe aussi, d'ailleurs). Alors, les parents informés seront libres de choisir de confier leur enfant au projet qui leur convient. Noël
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La prévention solaire ??? Mais sans soleil nous ne serions même pas là. Quelle prévention ??? Quand il s'agit de prévention routière, je comprends qu'il s'agit de prévenir les accidents. S'agissant du soleil, il n'est pas la cause d'accidents. C'est la source de toute vie. Je suppose que tu dois penser aux accidents consécutifs à une exposition excessive. Dans ce cas, ce n'est pas du soleil qu'il faut se méfier... mais de ceux qui font des excès d'exposition. Le soleil, il faut le connaitre. Les excès il faut les éviter. Les excès, nous les connaissons tous: l'exposition aux heures dangereuses, l'exposition sans protection naturelle de gens qui vivent protégés (la majorité d'entre nous), l'absence d'eau, etc. Les réponses sont très simples et de toutes façons ne sont certainement pas celles imposées par les marchands de crème. La crème solaire est la plus mauvaise réponse: d'abord parcequ'elle permet de rester au soleil quand il est dangereux en se croyant protégé, ensuite parcequ'elle empêche que se fasse une protection naturelle appelée "bronzage" qui la rendrait inutile. Si le soleil est dangereux, plutôt que de faire une ombre avec de la crème, des vêtements ou des chapeaux, allez jouer à l'ombre. Mais quand le soleil n'est pas dangereux, allez-y, bien exposé, bien aéré, en bougeant, bien mouillé, etc. Et quand il devient dangereux (entre 12 h. et 16 h., ne mettez pas de protection: mettez-vous à l'ombre. Tout ceci est largement expliqué sur les sites du Ministère de la Santé: N'allez au soleil que quand il n'est pas dangereux (hors midi à 16 haures). Dans les pays chauds, quand le soleil est haut on fait la sieste à l'ombre. Il n'y a que des citadins ignorants pour aller à la plage entre midi et 16 heures! Tous les secouristes savent qu'exposé à la chaleur, il faut de l'eau dedans et dehors: boire et se mouiller (ou jouer sur le sable mouillé). Pas des crèmes "hydratantes" mais de l'eau. Tous les secouristes savent que pour amener l'eau à la peau pour favoriser le rafraichissement naturel qu'est la sueur, il faut bouger. Surtout pas de bains de soleil. Quand le soleil devient dangereux, plutôt que de se couvrir et d'y aller quand même, restez à l'ombre. Qui aurait l'idée de traverser la place de la Concorde à 18 heures les yeux fermés pour ne pas voir le danger ??? Mais quand il n'est pas dangereux, alors il faut y aller: avant 11 heures et après 17 heures... pour en profiter le plus possible... et là, sans crème, en bougeant et en se mouillant. Le bronzage viendra calmement et sa prtection naturelle vous permettra au bout de quelques jours de pouvoir aller au soleil "par tous temps" (sans exagérer). Mais ce n'est pas parceque les marchands de crème ne parlent pas des yeux qu'il faut rester aveugle: le plus délicat au soleil ce sont les yeux. D'autant que les brûlures de la rétine avant 7-8 ans ne se reconstituent pas. De cela, personne ne parle ... parceque L'Oréal ne vend pas de lunettes. Si, tous les sites scientifiques en parlent largement ainsi que le Ministère de la Santé. Le vrai danger est là, surtout à cause du phénomène de l'albédo sur le sable et l'eau (voir wikipédia pour "albédo"). La casquette est, comme la crème, un leurre car elle faitcroire que l'on est protégé... or on ne l'est que des rayons directe. LM'albédo entrainera de graves lésions sous la casquette. Non. Le seul moyen , c'est de porter de bonnes lunettes de soleil (marque NF ou CE) et... toujours, d'éviter les heures dangereuses. 1) Ne privez pas les enfants du soleil indispensable et du plaisir qu'il procure. 2) Ne mettez pas les enfants en danger par votre ignorance. En effet, le danger ce n'est pas le soleil, c'est l'ignorance. Les 2 préventions principales sont une montre et des lunettes. Quand on s'occupe d'enfants, on a le droit de ne pas savoir. On n'a pas le droit de ne pas apprendre. Je suis à disposition pour en parler plus complètement. Noël KOLM
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Où mettez-vous les pieds ??? Le nom des enfants se compose de 2 parties: 1) le nom de famille 2) le prénom. Le nom de famille se transmet. Il signe la lignée. Suivant les époques et les cultures il est celui de la mère, du père, voire des 2. Ceci peut changer en fonction de l'évolution des moeurs. Ca s'est produit récemment en France où il vient d'être autorisé de prendre le nom de la mère comme du père. Autre lieux, autre temps, autre moeurs. Le nom de famille est immuable. Pour le changer il faut des raisons très sérieuses que l'Etat appréciera. C'est un marqueur, un repère quasi indélébile. Dans cette appartenance à une lignée, il faut permettre à chacun de se retrouver: c'est le prénom. Avec la combinaison des 2, chaque enfant est lui, dans telle famille. Pour chacun, le nom c'est le signe de son identité. A quoi touche-t-on quand on touche au nom ??? C'est d'abord par le nom que l'on se reconnait. D'ailleurs, quand on rencontre quelqu'un, avant même de le connaitre, on lui demande "comment tu t'appelle? Moi c'est untel". Puis, quand on rencontre quelqu'un: "bonjour, truc". La première chose que nous ayons à faire quand on s'occupe d'enfants c'est de les respecter... donc de respecter leur nom. Et si les enfants ont un souci avec leur nom, il nous appartient de les aider à vivre avec cette identification... voire à se supporter (problème du prénom) ou à supporter leur famille (problème du nom). Quelquefois, on peut jouer à être un autre... pour voir, "pour de rire". Cette fonction absolument nécessaire, cet exutoire, a été partout intégrée, de tous temps et dans toutes les cultures sous forme de carnaval. Là, pendant un temps et un lieu limité, on joue à être un autre... plus ou moins grossièrement. Et c'est la transgression provisoire qui rend la chose amusante et même hilarante dans certains déguisements. Cependant, le côté formel du nom peut être adouci par des diminutifs. Mais ils ne sont pas n'importe quoi et il n'y a pas à les inventer: ceux-ci répondent à des usages et des cultures. Par exemple, le diminutif de William en Angleterrre est Willy alors qu'aux USA il est Bill; le diminutif de Stéphane en France est Steph; aux USA c'est Steve. etc. IL y a des codes. Si nous voulons aider les enfants à construire leur identité, il faut les aider à se trouver dans ces codes. Mais retenez bien que le diminutif est un choix familial et dépend de la culture de cette famille... ou de la culture dans laquelle vous voulez l'inscrire! S'il s'agit donc de jouer à être un autre le temps d'une journée ou d'un jeu, c'est possible. Mais faites bien attention. J'en ai vu des petits de 4 ou 5 ans qui, à un moment inattendu se mettaient à pleurer dans un coin en rappelant que "moi, c'est untel". Quand on a bien du mal à construire son identité, il y a des choses avec lesquelles il vaut mieux ne pas jouer. Les noms donnés à es groupes n'ont rien à voir. Ces surnoms seraient plutôt à rapprocher de la problématique du nom de famille: l'appartenance à un groupe. Ceci n'a rien à voir avec l'identification individuelle. Et comme chacun sait bien que sa vraie famille n'est pas concernée, il n'y a pas d'atteinte à la personne. Enfin, je voudrais faire 2 remarques: la première concerne les petits noms souvent donnés à des enfants. Quand ils marquent un problème (le gros, le tordu, le beau, etc.) ils sont scandaleux et inadmissibles car nous ne devons prendre les enfants que pour ce qu'ils font et jamais pour ce qu'ils sont. Reconnaître la personne et ses efforts. Jamais ce qui lui est tombé dessus et contre quoi il ne peut rien. Ensuite, fuyez absolument tous ces diminutifs ridicules et ridiculisants: Riri, Toto, Nanar, etc... S'ils sont parfaitement tolérables entre amis parcequ'ils signent une intimité, il sont réservés aux intimes. Et là, attention à ce que leur usage laisse croire: "viens, mon Mimi..." peut laisser croire des choses... Enfin, je trouve inquiétant des surnoms qui font appel non à celui qui le porte mais à celui qui les donne: "ma grande" , c'est en fait le sentiment de celui qui le donne. Or les animateurs sont là pour soutenir, guider, aider les enfants. Jamais pour se mettre en avant ou en valeur. Le sujet est vaste. Il existe de nombreux bouquins. Il est très sensible. Je suis à disposition pour continuer plus avant. Noël KOLM
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Dans tous les départements existe un Règlement Sanitaire Départemental. Ce texte est émis par la Direction des Affaires Sanitaires et non par les services de Jeunesse et Sports. Il serait utile de ne pas perdre de vue que la tutelle n'est pas que de Jeunesse et Sports. Il y a d'autres Adiministrations concernées. Un simple coup de fil à la Préfecture permettra d'obtenir ce texte très riche par ailleurs. Noël KOLM
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Il n'est évidemment pas question de renvoyer d'un séjour un enfant parcequ'il a des poux. Si certains se demandent pourquoi je suis prêt à en débattre. Il n'est évidemment pas question de laisser les poux importés par les uns aller sur la tête des autres. Evident, non ? Il n'est pas question de laisser un enfant infesté au risque qu'il soit la risée d'autres ou qu'en tous cas il constate l'insuffisant intérêt que les adultes lui portent. Il n'est pas question de se laisser infester par des parasites. ... Alors, quoi ? ... Il faut traiter. ...Efficacement et discrètement: Pour cela, il faut simplement (pas si simple, pourtant) savoir, de façon certes schématique mais efficace et opératoire, que: 1) lorsque le poux nait, il ne peut pas se reproduire. Comme nous tous, il doit grandir et arriver à maturité: 8 jours. 2) lorsqu'il peut se reproduire, il le fait tout de suite car, comme tout le monde, son seul but sur terre est de perpétuer son espèce. Il pond des oeufs que l'on appelle "lentes". Les vivantes sont blanches et éclatent sous la pression des ongles, les lentes mortes sont grises. 3) les lentes mettent 8 jours à éclore. Avec ça, vous savez tout et le protocole devient limpide: 1) dès l'arrivée, le plus vite possible et en prenant chaque enfant individuellement en dehors du regard des autres, repérer les enfants à traiter. Il faut agir vite car les poux se transportent d'une tête à l'autre. Ceci ne peut être fait que par quelqu'un qui sait reconnaitre des lentes mortes de lentes vivantes et va mettre un soin attentif à sa tâche. L'assistante sanitaire, par exemple. 2) traiter les enfants infestés en toute discrétion: appliquer n'importe quel produit, y compris du vinaigre, le problème n'est pas le produit mais la perfection du traitement: si vous oubliez un seul centimètre carré de tête, là survivra un poux qui ruinera tous vos efforts et ce que que soit le produit vanté par tel laboratoir pharmaceutique. Un seul poux oublié dans un coin derrière les oreilles relancera le processus. Pensez à traiter au même moment tous les enfants concernés. Sinon, tel traité se fera immédiatement infester par un autre non traité. 3) si vous avez du attendre le lendemain pour traiter, alors traitez tous les enfants qui ont été en contact avec celui repéré; en particulier les camarades de chambre... car ils ont pu être infestés et vous ne pouvez pas risquer de laisser un poux vivant. De plus, faire toute la chambre est même quelquefois plus simple pour éviter de stigmatiser l'un ou l'autre. A ce moment-là, tous les poux qui étaient vivants sont morts... Mais les lentes qui ont échappé au traitement commencent à éclore car les lentes ne sont pas tuées par les produits contre les poux. Celles qui éclosent les premières, juste après le traitement, donnent naissance à des poux qui ne se reproduiront, eux, que dans 8 jours. A fortiori, celles qui naissent plus tard donneront des poux qui dans 8 jours ne seront pas encore reproducteurs. Et dans 8 jours, toutes les lentes seront écloses. 5) c'est donc là que doit intervenir le 2ème traitement. Aussi parfait que le premier: pas un centimètre carré ne doit être oublié car cet oubli ruinerait tous les efforts. N'importe quel produit, y compris de l'eau vinaigrée au grand dam des marchands de produits qui voient leurs bénéfices fondre. A ce moment, tous les jeunes poux sont morts et il n'y a plus de lente. 6) Par sécurité, si le 2ème traitement a été un peu tardif (des poux de 8 jours auraient pu déjà pondre) ou trop tôt (quelques lentes pas encore écloses) recommencer un 3ème traitement 7 jours après. C'est la règle de J + 8 + 15 Vous aurez alors éradiqué les poux en seulement 3 traitements discrets. Mais il faut que vous compreniez bien que: peu importe le produit et les racontars des fabricants de shampoings, c'est la perfection de l'action qui compte et le bon timing. Et nanti de ces connaissances, ne tolérez jamais qu'un enfant soit victime de ce qu'il ne peut maîtriser. S'il a des poux, ce n'est pas de sa faute; il s'en passerait bien volontiers. Donc: action, discrétion, perfection, et jamais moquerie, renvoi, stigmatisation, etc... Enfin, compte tenu de ce que je viens de vous expliquer, vous comprendrez qu'une collectivité fermée est le lieu idéal pour un traitement efficace. C'est impossible à l'école où les enfants vont continuellement rattraper des poux de copains non traités. Alors voici une occasion d'une action de santé publique dont il ne faut pas se priver. Ne la rater pas, vous rendrez un grand service aux enfants qui vous sont confiés. Noël KOLM