Jérôme
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Pour un alibi, le principe est assez simple: il faut que quelqu'un ait vu la personne quelque part au moment du crime ou du vol. Un témoin qu'on puisse interroger pendant le cluedo, évidemment. Il ne faut pas que tout le monde ait des alibis. Le voleur doit avoir un alibi faux, et un ou plusieurs autres personnages ne doivent pas en avoir, pour être soupçonnés. Il faut qu'un renseignement donné par un des personnages permette de démasquer le coupable en détruisant son alibi.
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Accueillir des handicapés au milieu d'enfants non handicapé est faisable... si on s'organise bien! Bon moi j'ai qu'une expérience en la matière, j'en ai parlé souvent et ça doit commencer à souler. Mais bon... La fois où ça c'est le mieux passé, on avait un autiste et un trisomique. Ils étaient dans un groupe d'enfant pour toutes les activités. Sauf que l'AS était chargée de leur suivi quand ils ne voulaient pas ou ne pouvaient pas faire certaines activités, et pour toute la vie quot. Organisé comme ça, tout s'est bien passé. Mais de toute façon, il faut bien savoir que la présence d'enfant handicapés, quoi qu'on fasse pour s'organiser, impose toujours de toute façon un surcroît d'attention et de travail pour tous les animateurs. Et surtout beaucoup, beaucoup, beaucoup de patience...
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Il ne peut y avoir de condamnation, ce qui est différent quand même. En 96 quand j'ai fait mon stage théorique avec les Francas, ils nous ont fait faire des jeux de rôle sur nos responsabilités pénales. On a eu pas mal de sujets (accident à la piscine, accident lors d'un jeu,...) et un qui s'organisait comme il suit: un animateur est accusé de pédophilie car une animatrice l'a vu mettre la main aux fesses d'une petite fille. Défense de l'animateur: ce geste était involontaire. On a trouvé ça un peu exagéré de mettre quelqu'un en accusation pour un geste vraisemblablement accidentel, et que franchement les formateurs débloquaient... En fait, toutes les scènes qu'ils nous ont fait joué étaient basées sur des faits ayant réellement donné lieu à procès d'animateurs. Pour celui que je cite, l'animatrice a dénoncé l'animateur par vengeance, et le geste était complètement accidentel. Donc il peut toujours y avoir une plainte de déposée, parfois de bonne foi, parfois par malveillance. Et comme la pédophilie est un problème pris très au sérieux, on peut être sûr qu'il y a au minimum une enquête approfondie...
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Pour moi ça dépendait des années. Parfois c'était la cuisinière qui prenait trop de place, ou la directrice adjointe. En général, j'ai constaté que ça se produisait surtout quand le directeur était nouveau dans la structure et que l'AS ou la cuisinière ou la directrice adjointe était une personne connaissant bien les lieux. Bref, que ces personnes avaient tendance à se dire "je sais mieux ce qu'il faut faire, je suis plus ancienne". En ce qui me concerne cette année, l'AS était une stagiaire BAFA avec AFPS qui remplissait très bien son rôle et ne cherchait en aucune façon à s'imposer.
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J'ai fais mon stage théorique en 1996 et on nous a dit exactement la même chose: "soyez prudent, évitez tout ce qui peut être mal interprété"...
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Est-ce qu'ils se suicideront moins parce qu'on aura guillotiné leur agresseur? La prison à vie je peux comprendre, et dans certains cas je suis pour. Mais je suis complètement opposé à la peine de mort, pour plusieurs raisons: -tuer un homme coupable de crime me fais penser à ces chiens qu'on euthanasie car ils ont attaqué quelqu'un. Or un criminel est toujours un homme, quoi qu'on en pense et quoi qu'il ait fait. -la peine de mort ne laisse au condamné aucune chance de repentir, aucune chance de rachat, aucune chance de soin, aucune chance de comprendre la gravité de ses actes. C'est comme quand on gifle un môme au lieu de lui montrer en quoi il s'est trompé. -la peine de mort est la seule décision de justice qui ne peut pas être annulée. Et s'il s'agissait d'une erreur judiciaire? L'actualité de cette année nous montre que c'est toujours possible. -prendre une vie de criminel n'est en aucun cas une réparation pour qui que ce soit. -et si le criminel avait une famille qui l'aime (éventualité toujours possible)? Pourquoi sanctionner aussi ces gens en le tuant? -parce que la peine de mort évite à la société de se poser des questions: comment soigner ces gens, par exemple. C'est tellement plus simple de les faire disparaître. Y'en a d'autre qui agissaient comme ça avec les handicapés... -et enfin pour des raisons religieuses.
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Ah bon? A partir de quand mérite-t-on de vivre? Quels sont les critères? Et qui décide de ceux qui sont suffisament méritant et de ceux qui ne le sont pas? De quel droit priver quelqu'un de sa vie?
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Tu as mal compris ce que je disais. Si on considère qu'il vaut mieux se faire justice soi même que l'attendre d'une décision de justice, alors autant allez vivre loin de la société et bénéficier des plaisirs de la loi de la jungle si on l'apprécie. D'autre part, la loi ne relève pas d'une décision du gouvernement, mais d'un vote du parlement, donc de tous les citoyens, indirectement. Du moins tous ceux qui votent aux législatives.
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Pour le cas que tu explique: Qu'on souhaite sa mort, c'est dans l'ordre du possible. Qu'on trouve que la loi est trop douce, c'est une éventualité probable. Si on passe à l'acte, il y a comme un problème. Avec ou sans machette. La loi est faite pour protéger tout le monde, même les criminels. Si on est pas d'accord avec ça, il faut prendre un avion direction la jungle.
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Pour l'instant je parle en terme de loi, justice, etc. Evidemment on serait très atteints personnellement, et peut être que les peines infligées nous paraîtraient trop douces. C'est bien pour ça d'ailleurs que les jurés qui jugent des affaires criminelles ne doivent pas avoir de lien avec la famille, la victime ou l'accusé. Sinon ils ne pourraient pas être objectifs, si tant est qu'on puisse l'être d'ailleurs.
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Tony tu confonds plusieurs choses. C'est la société qui puni, pas la famille des victimes. C'est la différence entre justice et vengeance. En matière de justice, ce n'est pas l'avis des parents qui compte, mais les règles fixées par la loi. Si une décision de justice a fixé la peine à 5 ans de prison et 5 ans de suivi psychiatrique, alors il faut accepter, faire appel ou entrer en politique pour faire rétablir la peine de mort. Et même si tu arrive à faire rétablir la peine de mort, tu n'auras pas la vengeance que tu recherches, parce qu'on ne peut pas rejuger une affaire close. Dans un pays civilisé, on ne peut pas accepter qu'un individu, quelque soit son crime, soit puni de façon cruelle, violente ou inhumaine. C'est pour ça que la prison et les amendes ont remplacé l'estrapade, la décapitation, la roue, la pendaison, l'écorchement, l'ébouillantement, et autres idées médiévales. Si tu punis une cruauté par une cruauté égale, tu justifie la violence et tu ne rends pas la société meilleure.
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Légalement non, puisqu'un bourreau qui exécute un condamné ne fait qu'appliquer une décision de justice prise conformément à une loi en vigueur... à la différence du criminel qui porte atteinte à une loi. Evidemment, il y a l'aspect moral de la question, sur lequel on peut penser bien des choses. Le même raisonnement pourrait s'appliquer à un soldat qui tue un ennemi. Personnellement, en dehors du crime lui même qui me paraît répugnant et horrible, je trouve peu judicieuses les remarques du genre "je vais l'attendre à la sortie de prison" ou "qu'on leur coupe les c..." (la reine d'Alice au pays des Merveilles a changé de slogan :D ). Ils ont commis un crime, mais comme ça ne nous paraît pas suffisant, on a envie d'aller leur casser la gueule, voire pire, quand on en aura l'occasion. Or une personne qui sort de prison, quels que soient les motifs de son incarcération, a purgé sa peine et ne peut pas être punie une deuxième fois. Sinon ça ne s'appelle pas de la justice, mais de la vengeance. D'autre part, leur couper les c... n'est pas la meilleure solution, puisqu'en fait tout se passe dans la tête du criminel, et non dans son slip. Je ne pense pas que cette amputation permette la guérison.
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Ben là... je peux pas trop t'aider pour le jeu, parce que je ne vois même pas de quelle émission il s'agit. Mais ta directrice qui t'a refilé le bébé, elle doit bien savoir quand même de quoi il retourne. Que t'a-t-elle demandé exactement?
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Décission De La Directrice Incompréhensible?
Jérôme a répondu à un topic de Zazalareveuse dans Forum des situations
A condition bien sûr d'en être informé à l'avance! Ce qui n'a pas été le cas apparemment ici. Difficile dans une équipe déjà formée et au boulot, à moins d'être en surencadremement, de détacher un anim. Nous aussi quand on a choisi d'accueillir un trisomique et un autiste on a choisi la solution du détachement d'une personne pour aider les animateurs. Mais on savait d'avance à quoi s'en tenir, on ne l'a pas découvert au cours du centre. -
Décission De La Directrice Incompréhensible?
Jérôme a répondu à un topic de Zazalareveuse dans Forum des situations
Je crois, Rémy et Nico, qu'on a quand même un peu dépassé le stade de l'enfant difficile quand une animatrice a deux doigts cassés, quand un enfant s'automutile tandis que son frère pique des crises au point d'être incontrôlable et qu'il faille appeler le SAMU. Si l'équipe a jugé collectivement qu'elle est incapable d'assurer en toute sécurité pour elle et les enfants l'encadrement de ces deux frères, je ne crois pas que la décision de les renvoyer, si elle est prise, puisse être considérée comme une mesure de facilité. Au contraire, c'est peut être la meilleure solution à prendre. Je suppose en disant ça que l'idée de les renvoyer n'est pas venue deux jours après le début du séjour, mais que l'équipe a mis en oeuvre tous les moyens qu'elle a jugé opportun avant d'en arrivée à cette idée. Ces enfants sont suivis pas un psychologue et un éducateur. Un BAFA fournit-il les mêmes compétences à son titulaire? J'ai connu une situation un peu semblable avec un enfant trisomique. Son handicap a été découvert à la sortie du car, rien n'était mentionné sur la fiche rose. On a fait ce qu'on a pu, mais au bout de trois jours on était débordé. Et encore, il était gentil!!! Les difficultés venaient essentiellement de la discipline, de la propreté et de la pudeur. Personne ne savait que Tim avait besoin d'être gentiment mais très fermement cadré, personne ne savait qu'il avait des problèmes urinaires, personne ne savait qu'il n'avait jamais pu assimiler le fait que se balader à poil dans les couloirs soit choquant pour d'autres enfants. Aucun animateur n'avait jamais travaillé avec des handicapés mentaux, aucun n'avait fait son appro sur ce thème. Par chance, il a été possible de joindre sa maîtresse d'école qui nous a fournit quelques pistes pour le cadrer. La suite du centre s'est un peu mieux passée, même si les difficultés ont été considérables pour tous les animateurs. Quand on l'a repris deux ans après, on a fait venir deux éducateurs le connaissant pour nous expliquer comment travailler avec cet enfant trisomique. L'AS le connaissait et s'occupait particulièrement de lui, et d'un enfant autiste (fils de l'AS d'ailleurs). Cet encadrement et cette préparation ont permis d'assurer correctement l'encadrement de ces enfants, et ils ont passé de bonnes vacances. Sans cet encadrement, cet aspect important du bonheur des enfants aurait été bien plus aléatoire. Donc, je pense au vu de mon expérience que des enfants présentant des problèmes aussi lourds ne peuvent être acceptés que si l'équipe est compétente et préparée pour les gérer. Sinon, il n'y a aucun mal, à mon avis, à les refuser ou les renvoyer. Et ceci non pour le "confort" de l'équipe, mais pour que les enfants passent un bon séjour. -
J'ai cité ce cas parce que c'est celui qui nous a échu pendant notre centre. Mais pour moi c'est du pareil au même. Pour de tous petits gestes "bénins" l'enfant peut le faire, mais je préfère que ce soit un AS qui assure par exemple la désinfection, qui ne me semble pas être un geste anodin.
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Tout dépend de la vision qu'auront les parents alors. Nous on a eu un pépin en pique nique, un étourdi qui s'est coupé en ouvrant sa boîte de pâté. L'AS s'en est occupée elle même. Faut dire que le p'tit gars était effrayé par la vue du sang. Mais quand je repense à toutes les explications qu'a exigé le père ensuite au téléphone sur la façon dont la plaie avait été désinfectée, sur sa profondeur et sur l'avis du chirurgien qui avait recousu (hé oui, trois points de suture quand même...), je pense qu'il n'aurait vraiment pas apprécié qu'on lui réponde: "votre fils s'est débrouillé comme un chef avec le désinfectant". Je ne dis pas que l'enfant doit être tenu à l'écart des soins, au contraire. Il peut très bien agir sous la surveillance de l'AS pour des soins simples et courants, comme les traitements qu'il a à prendre. Mais sur des plaies qui présentent un risque d'infection, je pense qu'il est mieux que l'AS s'en occupe. Si la plaie est mal désinfectée et qu'il y a complication, c'est sa responsabilité qui sera engagée, pas celle du môme.
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Je crois qu'on peut dire sans se tromper que CLSH plaisantait...
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Il me semble qu'avec la betadine, le problème d'allergie vient plus d'un de ses composants (l'iode je crois) que du colorant. quelques objections: -j'imagine la tronche des parents quand l'enfant ira raconter: je me suis désinfecté tout seul et j'ai posé mon pansement moi même parce que l'animateur voulait pas toucher mon bobo... Est-ce que ça ne manque pas un peu de sérieux? -l'avantage de soigner l'enfant soi même plutôt que de le laisser se soigner tout seul, c'est que nous on n'a pas mal... C'est cynique, mais si le petit a mal en nettoyant sa plaie, il risque de mal le faire. Alors autant que l'AS le fasse lui même, ce sera plus vite et mieux fait. -comment expliquer calmement et pédagogiquement à un petit qui s'est fait mal la façon de se soigner? Un petit qui a mal a surtout envie d'être soigné le plus vite possible, et pas d'avoir avant dix minutes de cours de secourisme. A la rigueur, l'enfant peux aider l'AS en tenant une compresse, en lui passant quelques ustensiles. Mais je crois qu'on va un peu loin en se disant que l'enfant peut faire lui même en étant téléguidé par l'AS.
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Je suis mitigé pour les spectacles de fin de camp. Peut être parce que j'en vois depuis dix ans et que je commence à trouver un air de déjà vu? En tout cas nous on ne se tape pas les parents (trop de route à faire!). En fait c'est surtout les enfants qui proposent des sketches et chansons pour les autres enfants. Bref. En tout cas avec mon directeur de cette année on s'est dit qu'on pourrait le remplacer avantageusement l'an prochain par un dernier, ultime, méga et inoubliable grand jeu. Parce qu'il faut bien dire que tout le monde se fait ch... pendant un jour pour la préparation du spectacle, les anims comme les enfants, pour que ça dure en tout deux heures le soir. J'ai bien aimé l'idée de Linoo. ça me rappelle la soirée casino qu'on a organisé cette année. Bon, ça n'allait pas bien loin parce qu'à cinq anims et un directeur on ne peut pas multiplier les stands à l'infini. Mais c'était le même principe. Aux stands, ils gagnaient ou perdaient sur divers jeux des "smiley", la monnaie de la soirée. Evidemment c'était en partie truqué: hors de question de dépouiller un petit de son dernier smiley. Avec les smiley, ils pouvaient "s'acheter" des sirops au bar. La veillée a si bien marché qu'elle a duré une demi heure de plus que prévu. Et sans le vouloir, on a simulé à la fin de cette veillée casino un crash boursier. En effet, l'objectif de tous les enfants était en fin de compte de gagner le plus de smiley possible. Lorsque le directeur a annoncé la fin de la veillée, le smiley a automatiquement perdu toute sa valeur. Les enfants s'en sont rendu compte, et ont immédiatement galopé vers le seul endroit où ils pouvaient tirer un profit de leurs smiley: le bar, pour se payer tous les verres de sirop possible... Certains en avaient tant qu'ils se sont relevés plusieurs fois pendant la nuit, c'est sûr... :D
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D'accord avec Nico, faut savoir où sont ses limites... Mais on met du temps à le découvrir. Il y a quelques années, j'avais tendance à minimiser la fatigue ressentie. Bilan: des 5e jusqu'à 3h du mat bien sympas, mais des somnolences, des endormissements à tout moment, des coups de gueule sans raison, pas d'énergie, pas d'idées... Et des fins de séjour difficiles. Maintenant, ayant bien compris que dans l'animation on ne peut pas se permettre ce genre d'attitude, c'est couché à 23h30 maximum (si la réunion est finie). Si on a fini avant tant mieux, on peu discuter un peu. Sinon tant pis pour le 5e convivial!
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ça peut être très intéressant. Evidemment, il faut prévoir ensuite un moyen de recaser les animaux... pour pas que chaque anim s'en aille chez lui fin août avec sa poule sous le bras... S'il y a un agriculteur dans la région, il faut voir avec lui les possibilités de reprise des animaux. Ou alors avec les chasseurs, histoire d'organiser un lâché de galinettes cendrées... :diable:
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Nous on a l'avantage d'avoir un terrain bien ombragé, donc pas de soucis niveau exposition au soleil: les grands jeux se font à l'ombre. Mais évidemment c'est pas facile pour tous les centres: les arbres ne poussent pas comme ça... Par contre, le centre a renoncé à la piscine depuis quinze ans. D'abord c'était une petite piscine, difficile d'y tremper tout le monde. Ensuite c'est devenu ingérable à cause des réglementations, et c'était plus simple en fin de compte de laisser tomber. Parce que une piscine c'est joli, c'est rafraichissant, mais faut suivre derrière niveau qualité de l'eau, entretient, protection, etc. Difficile pour un petit centre. Je confirme! Ma future belle mère est là haut en vacance. Départ de Haute-Savoie: 30° (à l'ombre). Arrivée en Bretagne: 17° (au soleil)...
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D'accord avec Aude! La piscine où on va habituellement est en plein soleil avec juste un espèce d'immense voile pour tout le monde, qui couvre un quart de la terrasse. Heureusement, les groupes n'ont le droit d'y aller que le matin...
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Les dates sont très variables en fonction des organismes qui organisent les stages. Ils ont lieu en général pendant les vacances scolaires. Il y a pas mal d'organismes qui préparent au BAFA: Francas, UFOVAL, FOL,... demande à la DDJS (direction départementale de la jeunesse et des sports), ils te renseigneront sur les organismes qui existent près de chez toi et qui sont habilités.