PetitLu

Je suis perplexe quand à l'utilisation de l'éosine sans ordonance en centre de vacances...il me semble que l'on ne doit pas utiliser de solution colorée... Il me semble que l'arnican (ou hémoclar) n'est pas interdit... On peut se procurer une liste de ce que doit contenir la pharmacie du centre de vacances et les trousses auprès des DDJS...

et j'ajouterai à ce que tu dis PierroT qu'on ne devrait pas utiliser de bétadine dans un centre de vacances (même si c'ets que utilise l'hopital les médecins et les pompiers), sur un centre de vacances on doit utiliser un antiseptique non coloré.

Si je me retrouvais dans ta situation je pense que j'agirai ainsi: Je rassure l'enfant bléssé, Je demande aux autres de rester groupé, Je demande si lun d'entre eux à un téléphone portable, Si OUI je lui demande d'appeler le 18 (nous sommes sur la voie publique) et je lui donne les indictations à transmettre aux pompiers: l'endroit où nous sommes, la nature de l'accident, le numéo de téléphone etc... et une fois l'appel passé, je continu à rassurer l'enfnat bléssé et le reste du groupe à qui je demande de rester à proximité, et de gueter les secours. Si NON (c'est à dire personnes n'a de téléphone): j'envoie 2 ou 3 des ces ados chercher du secours à proximité ou au centre en leur donnant la consigne de prévenir les secours. MAis à vrai dire, ce genre de situation me smeble peu probable puisque à priori lorsqu'on sort du centre on prend généralement son portable et la tousse de secours, et que même en cas d'oubli il y a de forte chance qu'un des ados est un portable ou qu'un passant ou une voiture passe par là et puisse prévenir du secours.

Lors d'une ballade dans la nature tu peux aussi pratiquer du "land art". Il s'agit dans le milieu naturel et avec des matériaux trouvés sur le lieu de mettre en scène ces matériaux, d'accorder les couleurs etc...Ces oeuvres d'art éphémères restent alors tel-quel dans la nature et seront admirées par d'autres promeneurs. On peut les prendre en photos. ps: mieux vaut éviter pour faire le land art d'arracher ou de couper, il faut ouvrir les yeux et chercher!!!

Coucou Sara_ange, Dans la colo où je bosse depuis plusieurs étés, nous faisons une soirée entre adultes avant l'arrivée des enfants pour se connaitre autour de spécialités que chacun ammène de sa région et puis de jeux proposés par les adultes. Pour ma part, cet été j'ai choisi de proposé des danses collectives lors de cette soirée. J'ai choisi de proposer ce temps car je trouve que les danses collectives sont un moyen entrainant et convivial de se rencontrer et de faire connaissance en musique. Sinon j'ai déjà proposé des jeux comme le shabadabada (jeux ou l'on chante) ou bien le loup garou lors de ces soirées avec l'équipe d'adulte(mais aussi des jeux de présentation où l'on découvre les prénoms car nous sommes une grande équipe). En plus d'être un moment agréable, c'est aussi un moment formatif, l'occasion d'apprendre de nouveaux jeux! Je salue ton initiative en tout cas, car même si ce n'est pas un gage du bon fonctionnement d'une équipe, ce peut en être un bon support pour faire connaissance et faire naitre un esprit d'équipe, et bien sur se détendre!!!

C'est rigolo en lisant vos post me reviennent des souvenirs "d'animateurs" ou plutot de gens embauchés comme tel, croisés au gré des séjours et autres CLSH... ^_^

Moi qui suit quelqu'un de pas ordonné, j'ai appris la rigueur et suis devenu une pro de l'organisation en prenant la fonction d'AS! -Mon organisme me fournit un cahier d'infirmerie que je dois renvoyer en fin de séjour, je prend donc soin de le remplir correctement (même si des fois c'est fastidueux de noter 20 noms prénoms heures, nature du soin et produits untilisées après ma tournée du soir et le ravage de ces chers moustiques). -Je fais un tableau de suivi des traitements en notant le début et la fin du ttt, la posologie et enfin je coche les cases. J'ai un tableau par semaine de séjour/1 ligne par enfants. (sur plusieurs feuilles) -Les fiches roses sont rangées dans un classeur par ordre alphabétiques. -J'ai un tableau où je consigne lorsque j'emmène un enfant au doc, à la radio, la pharma et le montant de chaque intervention (et la date). çà c'est pour m'aider dans ma compta(et cet été je vais tenté de le faire par ordi!) -Dans les trousses de soins je prend soins de mettre un papier avec le récapitulatifs des produits à utiliser pour les anim ou les grands ados. Voilà Sara-ange mon organisation administrative de mon job d'AS!

Perso je n'ai pas un avis tranché sur la question de la sufisance de l'afps pour la fonction d'AS. Une fois de plus, les généralisations nous arangerais mais elles ne sont pas juste. J'apporterai mon témoignage notament par rapport au débat sur les As-étudiants en médecine ou professions de santé. Souvenir d'un été où j'étais AS en juillet et une collègue anim prenait ce poste en aout. A cette époque j'étais en formation d'éduc et elle en formation dans le champs du médical. Il se trouve que cette personne qui a plus de connaissances que moi(et avait tendance à en faire l'étalage) de part sa formation "paniquait" dans les situations d'urgences, bobos impressionants etc, alors que j'ai tendance à rester plus zen et à réagir plus rapidement. Un autre point, au sein de ce centre nous accueillons parmis les enfants certains enfants porteurs de handicaps de toutes sortes. Là encore bien qu'elle soit tombé en partiel sur le syndrôme que le jeune avait, dans la réalité des fait elle avait beaucoup de mal à gérer ses troubles du comportement. Comme je le disais au début du post, je n'ai pas d'avis tranché sur la question et comme je l'ai dit (et beaucoup d'autres aussi) dans un autre post, prendre la fonction d'AS engage bien sur des connaissances en hygiène et bobologie, mais je pense que ce qui fait la qualité d'un AS c'est son attitude et son aptitude et à réagir face aux situations, du mal de ventre de l'enfant qui n'a pas fait caca, à la plaie impressionante. Enfin je soulignerai un point que beaucoup on évoqué ici, et qui me parait aussi primordial c'est cette capacité et disponibilité à l'écoute et l'observation des enfants qui nous sont confiés ^_^

Bonjour à tous! Mon stage pratique s'achève dans 1 semaine. Je songe donc à mon stage de perf...petit "soucis" cependant regardant dans divers brochures d'organismes, je trouve des perfs supers mais qui ne conviennent pas à mes dates! Mon année s'annonce assez chargée (je rentre à l'école d'éduc spé, stages et compagnie) que feriez vous...passer un perf qui me plait un peu moins d'autres et valider rapidement mon BAFA (quit à faire un autre stage de perf plus tard!) ou bien attendre, mais je ne sais pas combien de temps, d'avoir la possibilité de trouver un perf qui conviendrai à mes dates? Merci d'avance pour vos réponses! :bye: Ps: Je me suis vraiment régalée dans mon stage pratique (en CLSH), 27 jours trop terribles!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :whou:

Salut à tous! Pratiquez vous les danses collectives lors de stages BAFA ou bien en centres de vacances? J'appelle danses collectives des danses comme la chappeloise, le cercle circassien, la cochinchine... Je voulais donc croiser les regards sur cette activité, et je cherche des infos complémentaires et des idées pour adapter ces danses sur des musiques plus moderne, par exemple je propose la chapeloise sur des musiques traditionnelles pour apprendre les pas, comprendre la rhytmique et raconter l'histoire de la danse et puis qu'elle est maitrisé par les danseurs je l'a propose sur l'air de crazy frog... Animautes danseurs à vos claviers!!! :dance:

Je me suis régalé pendant 3 ans malgré que la formation soit très intense et demande du travail...

C'est marrant comme le temps passe, je postais ce sujet il y a 4 ans, et aujourd"hui je suis formatrice en appro Accueil des publics en situation de handicap... Le temps passe... désolé pour ce moment "nostalgie" ^_^

Saut Caroline, Beaucoup de centre de vacances ordinaire accueille parmis tout les enfants, des enfants porteurs de handicap et parfois de handicap sensoriel. Aussi je pense que ton expérience et ta connaissance de la LSF (langue des signes française) peut interesser une équipe qui acceuillerait un ou des enfants malentendants. Sinon je te conseille de te renseigner aurpès des associations de personnes sourdes et malentendantes ou encore au CESDA (Centre éducatif des sourds et déficients auditifs) il en existe dans la plus part des grandes villes. Bonne recherche! ^_^

Pour moi le temps du coucher en centre de vacances est un moment que je ritualise. Je fais attention au ton de ma voix, doux, posée... J'établie avec les enfants en début de séjour comment se passe ce temps, d'abord les dents, le bonsoir aux copains de la chambre à coté etc... et puis une fois que tout le monde est dans son lit le fameux "petit bilan de journée", où on raconte à voix douce sa journée si on en a envie, ce temps s'achève souvent avec les ados il y a un autre temps de discut derrière sur les relations dans la colo. J'explique toujours, "je viens éteindre la lumière dans 5 minutes, puis vous aurez une dizaines de minutes pour diuter à voix basse, et si besoin je viendrais vous dire si vous parlez trop fort". Enfin, lorsque je sors de la chambre, j'ai ma petite phrase "je vous souhaite une bonne nuit, faite de beaux rêves et à demain." comme un petit rituel.

Je partage l'avis d'Olivier: au delà des compétences liées à des diplomes ou des formations, il me semble que le BON SENS est primordial dans le rôle d'AS... Assez de bon sens pour relativiser les bobos et tranquilliser les enfants, Assez de bon sens pour réagir vite à une situation, Assez de bon sens pour dédramatiser une petite épidémie de gastro! ...

ouf! merci de m'avoir rassurer Jean J'avais bien cru comprendre à travers les post qiue tu laisses sur le forum habituellement qu'effectivement tu n'étais pas un partisant des pratiques humiliantes et violentes. J'ajouterai peut être alors à ton post qu'a la sagesse d'une définition, la méthode est à définir et choisir en équipe... il se fait tard, alors bonne nuit à tous! :lazy:

Salut jean, pas évident de répondre à ton post, je vais essayer de le faire de façon compréhensible sans trop de citations. Alors en premier lieu ma question sur l'accord avec cette pratique c'était de l'ironie, mais je serai curieuse de connaitre le loi qui parle du "tirage d'oreilles". Je pense à la lecture de ton post que nous n'avons pas la même vision de ce que recouvre le mot éducatif.(c'est sans doute pour cela que dans les pratiques d'animation et d'éducation il y a un tel éventail de pratiques.) et pour ma part, je choisi de veiller à ma pratique quand j'interviens d'un point de vue éducatif auprès d'humain dans une pratique la moins violente, la moins humiliante et la plus humaine possible, c'est à dire en veillant à ce que l'on appelle "la toute puissance" et des comportements qui annule l'être humain dont on est responsable (enfant ou adulte). Ainsi malgré ton explication je ne partage pas ton point de vue selon lequel tirer une oreille revêt un quelquonque sens éducatif au sens humain du terme. Mon premier post n'avait pas pour objet de critiquer la méthode avec laquelle je ne suis pas d'accord (ce qui en soit ne fait pas avancer le débat) mais de faire partager ma réflexion sur ces pratiques dont Laballe témoigne depuis plusieurs mois. Je persite et témoigne que l'on peut dans la pluspart des situations intervenir en protégeant les enfants et sans humiliation... Enfin je conclurai, mais cette partie du post n'a pas vraiment de rapport avec le sujet de Laballe, que non je ne fais pas les gros yeux aux personnes avec lesquelles je travaille quand il se passe un incident, tu leur ferai les gros yeux toi? :P

salut laballe je n'interviendrais pas dans ce post sur le coté "punition" car je ne suis pas une partisane de la "punition", mais plutot une militante du vivre ensemble et d'en cas extrème de la "réparation" ou dune sanction d'un acte grave. J'ai saisi que tu sembles être dans un marasme avec ton équipe et la question de la violence et comme je n'ai pas de solution en kit je vais te proposer les questions qui me sont venues à la lecture de ce sujet. Je pense comme toi qu'un animateur n'a pas à attrapé un enfant par les z'oreilles pour le mettre au coin. Bon ok, effectivement idée pas tant partagé que çà puisque tu témoignes que çà se pratique mais pourquoi on est pas d'accord avec cette pratique? Par contre à partir de là j'aimerai interroger... Je pense pas qu'on ne tire pas les oreilles d'un enfant pour le mettre au coin parceque çà fais mal. Il me semble qu'en tant qu'animateur, directeur, mais surtout en tant qu'ADULTES responsables d'enfants on ne pince pas les oreilles d'un enfants, on ne le met pas au coin, etc car: -c'est humiliant pour l'enfant, -c'est un acte qui n'a pas de sens éducatif car c'est une réaction de contention physique d'un être humain adulte qui exerce un pouvoir dictatorial (dsl je n'ai pas trouvé de mot plus ajusté) sur un être humain plus vulnérable et dont il a la responsabilité l'enfant. (j'entend par là que l'adulte à un "pouvoir" physique et psychologique.) tu parlais de pouvoir dans un autre sujet... réfléchissons bien à cette notion... Je pense aussi qu'en tant qu'adultes responsables nous avons à réfléchir avant d'agir, et que l'on peut toujours réfléchir même dans ses situations qui demandent parfois une intervention rapide de l'adulte. Il me semble qu'il y a un projet pédagogique sur lequel l'équipe doit réfléchir et où peut figurer une idée sur la prise en compte des situation de violence dans le centre. Enfin je terminerai en posant une question: Comment réagirai l'animateur en question si c'était un majeur et plutot grand gaillard qui se battait ou "faisait une bétise" par rapport aux rêgles de vie du centre.? L'attraperait il par les oreilles? l'enverrait t on au coin? Ce que je viens de dire peut sembler absurde...mais je m'appuie sur ma propre expérience dans un centre d'hébergement pour hommes majeurs sans domicile. Je tiens aussi à préciser que je ne suis pas un mastar mais plutot une petite minette...autant te dire que je ne me mettrait pas entre 2 hommes qui se battent et que je ne mettrais pas au coin un homme qui a cracher sur un autre... et pourtant j'interviens. Il me semble que çà peut être un point de départ, transposé un peu la question pour pouvoir y réfléchir, est ce que dans un contexte sensiblement différent j'aurai vraiment agit pareil...

Cet été nous avons acceuillis sur le centre un ado (15 ans ) qui était épileptique sous traitement. Pas de crise pendant le séjour, mais bien penser aux médicaments. Une vigilance un peu plus particulière pendant les moments de stress ou d'agitation (boom etc..) et tout c'est très bien passé! Voilà pour mon expérience! :doctor:

J'aimerai bien rebondire sur cette idée de plan d'acceuil individualisé et l'acceuil d'enfant porteurs de handicap ou porteurs de pathologies. Mn expérience d'as m'a ammené à m'interroger à savoir si nous devions tout connaître tout sur ces les handicaps ou patho de ces enfants (j'entend bien sur dans le domaine du quotidien, du niveau d'autonomie, des besoins particuliers, de la scolarité, des soins etc...)? L'orga avec lequel je travaille "milite" depuis longtemps pour l'acceuil des enfants porteurs de handicap dans ses centres. J'ai donc participé à l'acceuil d'ado dans le centre dans lequel je suis AS, certaines fois informés avant le séjour, des fois à l'arrivée voir pas du tout. Certaines fois l'information à été complète, d'autres fois minimisée... Il va de soit que lorsque nous sommes informés à l'avance d'acceuillir un enfant à besoins particuliers, avec le directeur nous prenons contact avec l'enfant et sa famille pour préparer au mieux son acceuil en terme de besoins matériels (faire venir un kiné, plan incliné...) mais aussi pour rassurer la famille. Je n'ai eu qu'une fois avant l'acceuil d'une ado déficiente un "rapport" réalisé par les éducateurs de l'iME qui l'acceuille faisant le bilan de son année...et à l'inverse j'ai eu la joie de découvrir cette seule indication sur une fiche sanitaire "enfant cardiaque".(certe un coup de fil aux parents est rapide pour complèter l'info) Bref, je m'interroge là dessus car nous avons pu acceuillir un ado "signalé" comme déficient visuel et la réalité de son acceuil à mis en lumière une déficience intellectuelle. Nous avons aussi acceuillis une jeune ado "en fauteuil" nous avait on dit. Lorsque nous avosn pris contact avec la jeune fille et sa famille, je discute et rassure la maman, le centre est aménagé pour fauteuil et l'année précédente (nous étions sensiblement la même équipe)nous avons acceuillis un jeune en fauteuil. Quand je l'interroge sur le "niveau d'autonomie de sa fille" je précise ma question dans les activités, la vie quotidienne...la réponse est alors évasive "elle est autonome dans les activités et a besoin d'une petite aide pour la douche". Nous n'aurons pas plus d'info avant l'arrivée de la jeune fille. lorsque le train arrive nous rencontrons une adolescente vivant dans la coquille de son fauteuil. La maman l'accompagne et nous donnera lors de la première soirée quelques "trucs" comme elle dit. En réalité, cette jeune fille ne tenais pas assise hors de son fauteuil électrique, et son accompagnement dans la vie quotidienne allait bien audelà "d'une aide pour la douche". Je dresse ici le bilan d'acceuil où le décalage entre l'info et la réalité à demander une réadaptation et le séjour des 2 ados c'est dans les 2 cas très bien passé. Ce post n'est pas un coup de gueule mais vraiment une question. Je suppose que certaines familles "ne veulent pas en dire trop" de peur que leur enfant ne soit pas acceuillis alors qu'à l'extrème inverse certaines familles transmettent beaucoup d'infos et aussi d'appréhension (je ne critique pas ces parents, je comprend leur position). Mais je m'interroge si l'acceuil pa exemple de cette adolescente en fauteuil n'aurait pas pu être plus confortable pour elle si nous avions eu dès le départ l'équipement neccessaire (que nous avons rapidement aquis!! par exemple une table a hauteur modulable, une chaise percée pour rendre le temps de douche plus confortable...)? Quelle est votre expérience et votre avis sur cette question? Pensez vous qu'un PAI figerai la situation de l'enfant? (je pose cette question car je pense que l'acceuil en centre de vacances ou de loisir peut être une fenêtre pour l'enfant, un lieu où il peut être considéré et vu autrement, et aussi pris en charge différement!)

Salut Mathieu, dans le centre de vacances où j'anime l'été nous avons beaucoup réfléchi sur le bonjour et il fait parti de notre projet pédagogique. Tout d'abord lors de la prépa et l'installation de la colo, lorsque nous sommes entre adultes, l'équipe de direction insistons sur des points que nous jugeons primordiaux pour le fonctionnement du centre que nous avons choisi. Nous commençons par parler du "bonjour", c'est le point par lequel nous commençons car c'est par ce mot que commence une journée, selon nous, lorsque nous vivons ensemble. On insiste sur le fait que chacun peut avoir son humeur le matin être en forme ou pas etc mais qu'un bonjour est avant tout une marque de respect et une façon d'être reconnu. Lorsque les ados arrivent dès le premier soir les anim de chaque chambre parlent aux ados de ce bonjour. Le matin la journée commence par un bonjour, c'ets une marque de respect, presque un rituel. Le directeur revient sur ce point lorsqu'il s'adresse aux ados pour leur présenter le déroulement de la colo... Bref le bonjour est pour nous un point non négociable, lorsqu'on vit ensemble dire bonjour c'est bien sur de la politesse mais au delà de: çà une façon de reconnaitre l'autre. Il faut bien sur revenir sur ce fait avec les ados mai aussi avec les adultes...des fois on zappe de dire bonjour effectivement mais il ya a toujours un ado ou un adulte pour te le rappeler gentilment. Après ce témoignage, je voudrais dire que je trouve les idées proposés par les autres animnautes et toi même très interessante et je t'en proposerai une autre par rapport aux parents. Je pense qu'il serait interessant de leur faire part de ce que tu as remarqué, à savoir que le bonjour n'est pas évident pour tout le monde. Je te propose alors de proposer un temps de réunion/réflexion avec les parents sur le bonjour et son utilité (au delà de la politesse) et si ce n'est pas techniquement possible, je pense que tu peux élaborer avec ton équipe, une sorte de petit courier aux enfants et à leur famille dans lequel vous faite part de façon simple de cette abscence de bonjour et proposé qu'à partir de maintenant une journée commence par un bonjour (sous forme d'humour par exemple, ou bien de petit conte!). à bientot! :bye:

Coucou à tous! Cet été, je prend pour la première fois la position d'Assistante sanitaire dans un CVL acceuillant des préados. :docteur: Pour ce qui est des divers missions et réglementations du rôle d'AS je me suis rencardé (et notament sur les anciennes conversations de ce forum!). Je me pose cependant une question sur la position de l'AS dans l'équipe en général. :detective: Il ou elle fait partie de l'équipe de direction (puisque c'est à cette personne que le dirlo partage les compétences en terme d'hygiène et de suivi sanitaire), et participe aussi aux animations "animateurs-AS".(en tout cas ce sera le cas pour moi cet été) Qu'elle est alors la relation AS- équipe d'anim? Distance particulière? j'ai un peu du mal a cerné...(même en réfléchissant aux différents AS croisés quand j'étais en place d'anim...) :wacko:

Comme je l'ai dis "je crois que", il s'agit donc de mon ressenti par rapport à mon expérience d'as. De plus je ne pense pas qu'un CVL soit le lieu le plus approprié à la sensibilisation MAGISTRALE aux IST n'empèche pas qu'on puisse malgré tout sensibiliser à ces questions. Enfin je rajourterai que,à mon sens, faire de la sensbilisation demande d'être au fait des questions, ce qui n'est pas toujours le cas des adultes qui encadrent les CVL et qu'on ne peut leur reprocher ce point...

Salut François 35! Je suis AS dans un CVL qui acceuille des préados et des ados. Il me semble que la sexualité et le préservatif en CVL sont surtout des "problèmes" que se posent les adultes. Il est bien sur évident que c'est un point délicat à encadrer en CVL, mais il me semble beaucoup plus simple à gérer quand on ne le considère pas comme un "problème" mais comme une réalité. J'ai des préservatifs dans l'infirmerie, cependant ils ne sont pas en "self service". Je crois que, comme tu l'a dit, le CVL n'est pas le lieu le plus approprié à une sensibilisation magistrale aux IST. Cependant, comme on dit souvent "la question titille les ados". J'ai remaqué qu'au bout de quelques jours les questions autour de la sexualité et autres sujets touchant les ados émergent vite. Je me base là dessus à l'occasion de discussions pour que justement leurs questions ne deviennent pas des problèmes. J'ai le souvenirs de discussion avec des jeunes pendant des temps calmes, sur un banc autour des relations amoureuses, des relations tout courts, de la sexualité... Et je crois surtout que ce n'est pas à l'adulte de donner des réponses mais putôt de suciter la conversation, de déconstruire les préjugés mais de les laisser cheminer dans leurs pensées. :sorcier:

Pour ma part je trouve le jeux de société très interessant dans le cadre d'une activité mennée (type veillée jeux de société) afin qu'elle devienne par la suite une activité que les enfants quelquesoit leur tranches d'ages peuvent faire sans l'adulte comme meneur et quand ils le souhaitent. Je trouve par ailleurs que c'est un média qui facilite l'être ensemble entre les enfants. C'est vrai que les jeux de société traditionels type monopoly, taboo et compagnie... cartonnent toujours! Mais il y a pleins de jeu beaucoup moins utilisés et connus qu l'on peut proposer en tant qu'animateur à nos jeunes. (dans la lignée du loup garou de thiercelieu, d'elixir...) En tout cas, cet été, c'ets décidé!!! j'ammène mes coups de coeur de l'année et je les fais partagés aux ados! Quel plaisir de jouer ensemble!