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Tout ce qui a été posté par Ludow
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non, mais j'ai jamais dit que j'étais pas d'jeun non plus... mouahaha! Bon, et sinon, Remiposeidon, tu nous as pas raconté, t'es parti toi ?
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oui, mais c'est parce que tu as regardé la définition de l'adjectif, mais pas du nom commun "le réel"... et sinon, tu crois vraiment que je mets de vraies informations sur mon profil ? et même, admettons que j'ai 23 ans, est-ce que ça ferait de moi un d'jeun ?
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La première ligne, je comprend à peu près, la deuxième, c'est tout de même plus confus...
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je vis dans le réel, pas dans la réalité, c'est p'tètre pour ça... et qu'est-ce qui te fais croire que je suis jeune ? M'enfin merci du compliment ! Panda, pourquoi panda au fait ?
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donc ça confirme bien cela, au moins pour les accueils de loisirs et les séjours de vacances...
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mdr, ça c'est le SAC, Syndrome d'Addiction aux Colos. Pour rappel, Laballe, tu racontes n'importe quoi car le SPC c'est le Syndrome Post-Colo, rien à voir avec la météo (même si ça joue un peu) Claire a raison, raconte-nous un peu !! Et l'équipe qui devait te manger, ils ont pas eu trop faim, ça va ?
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vivement qu'on reprenne ce jeu parce qu'avec Laballe qui nous parle de fontaine à chocolat dans tous les forums, j'commence à avoir les crocs !!!!!!!
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merci Laballe d'être revenue après la sieste Donc c'est bien ce qu'on disait, on a pas les mêmes définitions des mots, ce qui t'empêche (c'est une impression que j'ai) de comprendre ce que je voulais amener pour répondre à ta question de départ. Pour le taux d'encadrement, ça ne change pas grand chose que ce soit en perisco. A moins qu'il existe un texte de loi stipulant qu'il est obligatoire qu'un animateur soit en présence effective pour chaque tranche de 10 enfants (ou je sais plus combien). Ah si, et ça change que c'est peut-être plus du ressort de JS mais de l'EN... (à vérifier) à vérifier donc, mais en tout cas pour les ACM, ça marche comme ça. tschüss
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Argh, donc pas de grosses séquelles ? Pas de SPC ? étrange...
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Bien mangé ? Bon, juste un petit laïus sur le taux d'encadrement. Confirmé et reconfirmé par différentes DDJS / DDCS(PP), le taux d'encadrement est un chiffre qui vaut pour la déclaration J&S, pas pour chaque activité à tous les instants. Ce qui veut dire que je peux très bien faire une activité en colo avec 25 gamins pendant que mon collègue n'en aura que 3. Une fois qu'on a dit ça, il faut bien rappeler que le bon sens doit primer, et que si je fais une activité seul avec une vingtaine de gamin (ce qui m'arrive régulièrement), toutes les mesures de sécurité doivent être assurées, et que si y'a un pépin et que le juge estime que ce pépin aurait pu être évité avec un anim de plus, bah tu seras bien em**rdé... A l'inverse, même si tu as 1 anim pour 10 gamins de plus de 6 ans sur une activité en colo, mais que cette activité présente des dangers objectifs (utilisation de matériel, risque de chute, manipulation de produits, etc...) et qu'il y a un pépin, on pourra toujours te reprocher de n'avoir pas un encadrement suffisant (même si le taux JS minimum est respecté). C'est plus clair ? Et pour rappel, il y a certaines activités spécifiques pour lesquelles un taux d'encadrement est cette fois défini. Par exemple, le ski où là, tu as 1 anim pour 12 gamins MAXIMUM sur les pistes. Le texte qui les défini est l'arrêté du 20 juin 2003 que je mets en pièce-jointe et disponible sur plusieurs sites, notamment ici. ARRETE20JUIN.pdf
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héhé, tu es partie trop loin ;-) je n'ai jamais appelé la direction, elle était déjà là au moment du couché... Mais ça aurait pu être la même chose avec un autre collègue, pas forcément la direction... Et tu touches au noeud du problème quand tu dis ce n'est pas la définition de l'autoritarisme que j'ai expliqué. La vie collective (ou en société) entraîne des droits (pas nécessairement d'ailleurs...) et des devoirs. Sinon, la vie à plusieurs n'est pas possible. Bien sûr que je leur ai imposé ce temps. En fait non, au fond, ils avaient le choix : s'ils ne souhaitaient pas se plier aux règles de fonctionnement du groupe (= mini-société), ils ont une possibilité : ne pas y rester. Cette solution est toujours possible (mais très rare car quand ils pèsent le pour et le contre, ils ont plus d'intérêt à rester dans ce groupe), il n'y a qu'au niveau extrême d'un pays que ce choix n'est pas possible (encore que, l'exil vers d'autres pays est toujours plus ou moins possible, ou bien le maquis!). Pour résumer : tout ce qui est imposé n'est pas autoritarisme, heureusement. Sinon, manger à 19h parce que les employés de service finissent le boulot à 20h30, ce serait de l'autoritarisme. Empêcher quelqu'un de voler quelque chose à son voisin, ce serait de l'autoritarisme, etc... tu vois la différence que j'y fais ? En gros, ce qui relève de l'autorité est toujours justifié par des raisons justes, valables (intérêt du groupe, sécurité physique ou morale, non mise en danger de soi et des autres) et expliquées ! Du coup, un truc simple pour savoir si le comportement que l'on a est autoritaire (c'est à dire qui relève de l'autoritarisme) ou non, c'est de se poser la question suivante : est-ce que je suis capable d'expliquer pourquoi je demande/ j'impose cela à l'enfant et que cela lui semblera juste (même s'il ne l'accepte pas) ? Si toi tu veux appeler ça de l'autoritarisme, alors ok. Mais dans ce cas-là, que signifie l'autorité ? Dernière chose : je suis bien d'accord avec toi. La plupart des animateurs (que j'ai croisé en tout cas) naviguent en permanence entre autorité et autoritarisme. Ce n'est pas parce que ça se pratique allègrement que je suis en accord avec ça.
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Salut, comme le dit Laballe, c'est génial d'avoir un retour... Quand tu parles de ton objo de 28mm, tu travailles en argentique ou numérique (= en équivalence 24x36) ? Pour le futur, des pistes à creuser : - le KAP (Kite Aerial Photograph) ou photographie aérienne par cerf-volant (ou montgolfière, ballon, mât...) te permettra d'obtenir une hauteur suffisante pour ce concept que je ne connaissais pas, mais qui semble vraiment sympa - le panoramique pour faire de grandes scènes comme celle que tu as commencé à réaliser. Je pense que l'effet peut être sympa comme tout (oula, ça me donne envie d'aller tester ça !) Ce qui est bien avec ton projet, c'est qu'il y a une phase création/jeu (costumes, décors... voire construction d'un cerf-volant, d'une nacelle, d'un ballon...) et une phase réalisation avec apprentissage technique de la photo. Je surkiffe !
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Pour info, les BTS GPN Animation Nature disparaît et est refondu avec l'autre option (gestion des espaces naturels). Le nouveau diplôme ne gardera sans doute que très peu d'animation dans son programme, au grand damne de beaucoup (puisque d'autres matières importantes comme la chimie vont apparemment disparaître, quelle aberration !!).
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Salut, j'ai des questions plus simples et adaptées à notre boulot : - cet enfant met-il en danger les autres (adultes, enfants) ou se met-il en danger ? Si oui, il ne peut pas rester dans l'accueil dans ces conditions. Si tu penses qu'il y a un problème familial (ou autre) grave, ce n'est plus de ton ressort, il faut demander un relais auprès des institutions compétentes - quelle relation as-tu (toi ou ton équipe) avec les familles de ces enfants ? Qu'en pensent-ils ? - qu'est-ce qui, dans le fonctionnement du centre, ne permet pas à ces enfants d'exprimer ce qu'ils ressentent autrement que par la violence et des comportements agressifs ? (ce n'est qu'une question, car le problème vient peut-être d'eux, et uniquement eux... mais pas forcément) Rappel : nous ne sommes pas psy, nous ne sommes pas superman (ni supernanny!), nous ne sommes pas juge ni éducateur spécialisé. Si une situation dépasse notre champ de compétence et qu'elle perturbe le déroulement de l'accueil, il faut pouvoir demander de l'aide à l'extérieur. Bonne soirée et... bon courage.
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Salut MEP, j'ai pas bien compris ton message...??? C'est sûr que c'est toujours plus marrant (pour certains) lorsque tout le monde peut se manger un gage. D'autant plus que le gage est dégueulasse, crade, ou violent (si si, ça fait beaucoup rire). Des gages crades, j'en ai vu un paquet, mais pas sûr que tu les veuilles...
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Salut Coralie, tu peux éventuellement trouver ton futur patron sur Meetic... Non, plus sérieusement, c'est un site concernant l'animation, pas les petits boulots d'été en bar, resto ou commerces...
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(deuxième post, j'avais atteint le nombre maximum de citations, gloups!) c'est en effet un autre débat. Mais bien que leurs actes ne soient pas justifiables, ils se comprennent tout à fait d'après ce que j'ai expliqué la dernière fois, et c'est très révélateur. Je ne les excuse donc pas, mais l'attitude de la direction n'est pas non plus excusable. Il y a eu, pour moi, une faute éducative (pas bien grave vous me direz!). Les seules fois où j'ai pu voir qu'un comportement juste qui fait autorité et qui n'a pas fonctionné et qui a entraîné une violence ont été dans des cas de personnes sous l'emprise de drogue, de l'alcool, ou complètement dérangées. Au contraire, c'est la punition qui est l'expression d'une colère vengeresse. La sanction, jamais. Bien sûr, il paraît même qu'on est humains et faillibles ! ;-) Ce n'est pas parce que on ne peut pas toujours être au maximum, qu'on a pas le droit d'essayer. Evidemment qu'il y a des enfants pour qui ça ne marche pas au premier coup, pour qui la sanction semblera n'être qu'une lubie d'adulte, qu'une conséquence qu'ils ne voudront pas assumer, ... Mais c'est la cohérence du cadre et le fait de le maintenir coûte que coûte qui va permettre à l'enfant de prendre confiance et être rassuré par le cadre (qui doit être valable pour tous, adultes comme enfants, pas de passe droit, etc...), donc de le respecter. Parfois, ça met plus de temps. C'est là que la patience de l'éducateur/animateur est une grande qualité. Cependant, il faut distinguer deux situations : les situations où le cadre n'est pas respecté et où l'on peut "ramener" l'enfant dans le cadre (même s'il faut le faire 5 ou 6 fois de suite), et les situations où le non-respect du cadre entraîne une mise en danger (de l'enfant ou des autres), et là, la sanction peut être le renvoi par exemple. Elles sont manquantes car d'après moi, le cadre ne varie jamais. La règle est la règle, les principes qui ont été choisis doivent être maintenus ou supprimés (si on estime qu'ils ne sont plus valables), mais c'est pas un coup je réagis comme ça, un coup d'une autre manière, sinon, bonjour la crédibilité et la cohérence. Ce que tu pointes, c'est nos limites personnelles et nos capacités à justifier et garantir ce cadre. En effet, ces limites peuvent varier, et certains jours, nous sommes moins capables (fatigue, problèmes de santé, vie familiale, etc...), notre patience atteint plus vite ses limites. C'est différent, et là je suis bien d'accord avec toi, on ne peut pas être toujours à 100%. A nous d'accepter nos limites, mais sans pour autant justifier certains comportements scandaleux (genre "aujourd'hui j'suis fatigué, alors j'ai le droit de punir bêtement sans expliquer"). sauf qu'ils avaient envie de skier, puisqu'ils ont tout de suite réagit quand je leur ai dit "Ce matin, vous ne skierai pas...". Ils ne m'ont pas laissé finir de parler au début. Puis quand je leur ai expliqué pourquoi, les deux qui n'avaient pas compris ont grommelé, puis finalement n'ont plus rien dit. L'argumentation était claire et précise, ils ont compris. La plus grande difficulté a été de ne pas faiblir face à l'aspect commercial du séjour, puisque le "produit vendu", c'était le ski, le ski et le ski. Donc il ne faut pas croire que nos choix sont à justifier uniquement envers les enfants, mais aussi envers les autres adultes (collègues, direction, organisateurs, parents...). Qui a dit que c'était facile ?
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Merci pour vos réponses. Juste pour préciser, à ma connaissance, il n'y a rien d'illégal à gérer 100 enfants à 2 adultes. C'est juste complètement crétin et s'il y a un pète, le manque de bon sens fera plonger ceux qui devront plonger. Mais aucun texte ne l'interdit à ma connaissance. le directeur en a discuté, oui. Après y'a discussion et discussion... J'ai donné mon avis spontanément, et on en a discuté. Son statut était connu de tous. La reconnaissance, c'est autre chose. ce n'est pas ce que j'ai expliqué. J'ai simplement donné un exemple d'une punition qui a entraîné une incompréhension et donc une décharge violente en fin de séjour. Pas d'accord (tu t'en doutais!). Ce temps a été imposé, c'est pas pour ça que c'est autoritaire. C'est bien là que se situe la différence entre autorité et autoritarisme, à mon sens. Une sanction n'est pas choisie par celui qui la reçoit (qu'elle soit positive ou négative), mais elle découle du cadre qui a été fixé. Si ce cadre n'est pas respecté, alors la sanction tombe : le but est alors de faire prendre conscience à la personne qu'elle est sortie de ce cadre et que cela a un impact sur la vie du groupe, qu'il va falloir le réparer. Dans le cas du sommeil, on ne peut pas rembourser des heures de sommeil. La meilleure solution que j'ai trouvé à ce moment là (et il y a certainement de biens meilleures) a été de leur faire prendre conscience de l'importance du sommeil et de respecter celui de chacun. Le but n'est plus seulement qu'ils ne nous embêtent plus le soir, mais bien de leur apporter des connaissances sur quelque chose qu'ils vivent et qui a une influence certaine sur leur santé. Par ce temps, mon but a été de leur apporter des éléments pour adapter (ou non) leur comportement à la vie en collectivité. Si tu trouves ça trop réducteur, hé bien on peut ne plus employer ces mots. Mais pour moi ils ont du sens et traduisent des pratiques très différentes, donc il me semble justifié de les employer et de les définir ! Je ne dis pas que je n'ai jamais cédé à l'autoritarisme ou à la punition, mais je suis certain de ne pas naviguer en permanence entre ces différentes notions. Pourquoi ? Parce que pour moi, certaines violent les droits fondamentaux de l'homme et de l'enfant, et que ce sont les valeurs auxquelles j'adhère. Donc pour moi, il y a incompatibilité entre faire autorité et être autoritaire. ne te fais pas trop mal quand même ! Non, si une sanction est correctement expliquée, avec des mots adaptés, et si l'on vérifie que le message a été compris, alors elle ne sera pas vécue comme une punition. Cela ne veut pas dire qu'elle sera bien vécue, attention. En effet, l'affectif entre beaucoup en jeu, et même une sanction justifiée peut être mal vécue. Moi-même quand j'étais gosse, je me suis vexé plus d'une fois comme un poux parce que je m'étais fait griller en train de faire une connerie. Là où la punition fait naître un sentiment d'injustice profonde, la sanction n'entraînera au pire qu'un sentiment de déception, lié souvent à la baisse dans l'estime de celui qui fait autorité. Cependant, certains psychisme ont pour habitude de refouler leur culpabilité et de la transformer systématiquement en accusation de l'autre. Dans ce cas-là, les apparences sont tout autre, et on peut en effet avoir l'impression que la sanction est vécue comme une punition. je ne pense pas qu'on puisse être en désaccord avec ça.
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Utilisation Abusive, Ou Pas, Du Contrat Emploi Educatif
Ludow a répondu à un topic de Judorange dans Le tribunal
Salut, chapître II, Art. D. 773-2-5., ils peuvent bien puisqu'ils sont organisateurs d'accueils collectifs pour mineurs et déclarés... -
Noël, je comprends mieux ta phrase Sinon, je tiens à dire que je ne généralise pas sur les militaires en tant qu'individus. J'en ai même dans ma famille et je n'ai pas changé de nom pour autant. Ce que j'ai expliqué dans mon post précédent parle de l'organisation, de la hiérarchie et de l'action du pouvoir au sein du fonctionnement militaire. Je tiens aussi à préciser qu'il serait difficile pour eux de faire autrement...
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Vous avez totalement raison, l'exemplification ne peut qu'éclairer nos propos. Mais je redis que je suis en désaccord avec Jean, et sur le fond (même si lui est d'accord avec moi, apparemment). Pour donner un exemple très simple et qui m'est arrivé la semaine dernière (mais aussi bien des fois auparavant), je vais vous raconter l'histoire d'une petite colo d'adolescents (14-17 ans) de banlieue parisienne pour la plupart (ceci ne change rien à l'histoire, je vous rassure) dans les Alpes. Un certain nombre de jeunes gens, complètement déboussolés par leur activité hormonale intense (^^), ne souhaitaient pas dormir si tôt que nous leur conseillions. Pas grave pour moi dans l'absolu. Bref, au bout du 3ème jour, fatigue extrême, épuisement physique et nerveux (séjour ski, donc ça commençait vraiment à craindre niveau sécu!), je signale à ma direction que je ne souhaite pas prendre la responsabilité de ces jeunes sur les pistes dans cet état*. Réaction de la direction : "ok. Et puis si ce soir ils ne dorment toujours pas, j'appelle leurs parents" Ainsi fut dit, ainsi fut fait. Cette "punition" n'a pas du tout été comprise par les jeunes qui étaient maintenant passés en mode "VNR" -> confrontation. Cette situation ne me convenant qu'à moitié (non, en fait, pas du tout!), je propose un petit "temps de travail BAFA" sur le thème du... sommeil ! Quand je dis que je propose, en fait non, j'ai imposé. Je ne l'ai pas fait car ça me plaisait, encore moins parce que je n'étais pas d'accord avec le fait qu'ils ne dorment pas quand on leur demande (ça, j'en ai rien à faire!), mais tout simplement parce que le chahut qu'ils faisaient (en réalité, seuls 2 ou 3 chahutaient) empêchait d'autres ados de dormir, et notamment de plus jeunes dont l'activité hormonale intense n'était pas suffisamment avancée pour adopter ce comportement. Bref ! Lendemain soir, plus d'une heure de "cours théorique" sur le sommeil. Bizarrement, y'avait des questions. J'ai balayé au plus large : le fonctionnement du sommeil, à quoi ça sert, les conséquences du manque de sommeil (physiques, intellectuelles, morales et nerveuses...), pourquoi je ne dors pas de la même manière que mon voisin, les cycles, l'horloge biologique, etc... Au final, je ne dirai pas que c'est une grande réussite, puisque sur les 6 que j'avais, 4 seulement ont compris, 1 n'a rien compris, et l'autre heu... j'suis pas sûr! Mais 4 sur 6, c'est déjà pas mal (surtout que je savais désormais que je pouvais compter en partie sur l'auto-régulation du groupe le soir au coucher). Résultat, le soir, plus que 2 gugusses qui ont chahuté, mais pas bien longtemps comparé aux autres soirs. La morale sanction/punition n'est pas là, mais à la fin du séjour. Il n'y avait que deux voitures sur le centre : celle de la direction et la mienne. Je vous laisse deviner laquelle s'est retrouvée gratifiée de mégots de clope, de compote et autre joyeusetés le dernier jour... (et pourtant, ce temps sur le sommeil je l'avais fait en mode "chiant" et imposé). C'était l'exemple le plus récent, mais j'en ai d'autres si vous voulez. Il suffit d'observer deux attitudes différentes d'anims sur un centre pour voir des réactions totalement différentes. Lorsqu'une sanction est expliquée et en lien avec la faute commise, elle a de grandes chances d'être comprise. Mais si elle n'est que l'expression colérique (= vengeance) de l'animateur, elle entraîne forcément un sentiment d'injustice qui nourri la haine et la révolte. L'une permet un changement d'attitude, ou du moins une prise de conscience (donc potentiellement, l'enfant peut en ressortir grandi), tandis que l'autre permet de nourrir de la rancœur et de l'incompréhension. * tiens, je ne l'avais pas relevé, mais cette interdiction d'aller skier est tout à fait une sanction, et non une punition. C'est la conséquence de leur choix de ne pas dormir : la sécurité physique des ces mineurs justifie cet empêchement. Ils n'ont d'ailleurs rien dit à ce propos, pas un seul mot de contestation. J'estime qu'ils ont compris pourquoi on leur interdisait de skier ce jour là (ce qui ne veut pas dire qu'ils n'ont rien fait). Passons au cas de Noël, salut ! ce que tu dis est juste hallucinant !!!! Tu compares les punitions dans un contexte militaire et les sanctions dans un contexte éducatif. Rien qu'à partir de là, on pourrait arrêter la discussion, mais puisque tu n'aimes pas les revers de main... - une grande partie de tes arguments peuvent être balayés par le simple fait que si le chef s'impose la même punition que son subordonné, c'est bien souvent pour préserver son image de supériorité virile basée uniquement sur la force ou la résistance physique. Rien à voir avec un quelconque sentiment d'empathie ou de volonté de ne pas l'abandonner à lui-même. Avant, je pensais qu'on caricaturait beaucoup les militaires... jusqu'à ce que j'en rencontre plusieurs ! un effort excessif pour le subordonné peut ne pas l'être pour le chef. ça veut dire que le chef paye pour quelque chose qu'il n'a pas fait. C'est vachement éducatif ! les motivations des militaires, c'est rarement la justice... à mon avis, simple manipulation affective. je ne comprend pas cette logique martiale : le chef paye pour son élève... en quoi ce n'est pas de l'autoritarisme ? Quelle est TA définition de l'autoritarisme ? Et sinon, bah c'est pas forcément vrai, car y'a beaucoup de masochistes dans notre monde...! si le chef y arrive et pas le subordonné (comme expliqué plus haut), alors si, il y a humiliation. Le système autoritaire militaire est basé sur le jeu perpétuel de la carotte et du bâton (différent de la sanction positive et négative). L'humiliation y est monnaie courante (certaines émissions très sérieuses l'ont révélé il y a quelques années déjà), tout comme la privation, mais ce n'est pas aussi grave que dans un Accueil Collectif pour Mineurs. En effet, il y a acceptation de la part des militaire. Ils ont signé pour ça. S'ils se sont trompé, on présume qu'ils sont suffisamment grands pour partir ou assumer leur choix. On ne peut pas présumer cela d'un enfant. idem ! c'est bien vrai. Grâce à ton exemple, je vois la punition d'une manière encore plus scandaleuse, insupportable, inappropriée et répugnante qu'avant. heu, là j'ai besoin d'une explication de texte. J'ai pas compris, désolé.
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Connaissance De L'Enfant Et De L'Adolescent
Ludow a répondu à un topic de alaure dans Les secrets des formateurs
il faut toujours argumenter quand on est pas d'accord (et même quand on est d'accord, c'est plus enrichissant). Sinon,on risque de mal prendre les réponses et de croire qu'on nous traite de con (ou d'idiot). Déjà que quand on argumente, on risque quand même de telles réactions.... Bref. Et quelqu'un s'est déjà demandé ce que ce sacro-saint temps de "connaissance de l'enfant" apportait au stagiaire et ce qu'il pouvait en faire sur le terrain ? car un cours magistral, ok, mais qu'est-ce qu'on en fait. La question de l'évaluation est également importante, en effet ! edit : mince, j'avais pas vu que j'avais un an de retard! -
survécu, survécu.... ok ! mais tu ne parles pas des séquelles!
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mes 10 premières colos, j'ai pas pu dormir plus de 3 ou 4h par nuit la veille du départ... héhé, panda est dans le bain bouillonnant maintenant !!
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ah, et bon rétablissement à Rémiposéidon et Laballe!!!