monsieur patate

Moi j'ai bien aimé la partie sur vigipirate ou les parents ne peuvent pas s'approcher à moins de 2 km du centre de loisirs sans que l'on face appelle au raid ! Sinon on rentre un peu dans les clichés du centre de loisirs : lieu occupationnel ou l'on essaye t'en bien que mal de faire un peu par ci par là un peu d'éducatif.

Le plus dur dans la gestion d'une ludothèque de centre de loisirs ou de vacances c'est de garder les jeux intactes. Généralement les enfants empruntent les jeux et ne les rangent pas après utilisation ou perdent des pions parcequ'il ne font pas d'inventaire quand ils finissent la partie... L'important est de responsabiliser l'enfant quant il utilise un jeu afin qu'il soit garant de sa restitution et de tous ces éléments mais aussi de le valoriser dans ses actes. Reste à savoir quel système on met en place : - un animateur est présent et controle les jeux qui sont empruntés et rendus. - se sont les enfants qui gèrent leurs propres emprunt par le biai d'un cahier d'emprunt - ce sont les enfants qui gèrent en autonomie l'espace ludothèque. ... Il faut peut-être aussi, avant toute chose, poser la question aux enfants comment ils percoivent LEUR ludothèque afin qu'ils puissent s'approprier et investir cet espace de jeu.

Attention Sonia, l'ufcv n'est pas encore rattachée à la convention collective d'animation socio culturelle. Actuellement l'UFCV a encore une convention d'entreprise avec sa propre grille d'indice et son propre point. Un salaire à l'indice 290 correspondant à la convention collective d'animation socio culturelle ne correspond donc pas au même salaire à indice équivalent à l'UFCV.

Je voulais juste préciser, un petit élément les centres aérés (il en existe encore en france !) et centres de loisirs sont deux structures de loisirs différentes. Les centres aérés apparaissent en 1960 et ont pour spécificité de se trouver hors des villes d'ou le nom aéré. Ils ont également la particularité d'ouvrir uniquement que pendant les vacances scolaires. A l'époque l'objectif est de trouvé une alternative aux centres de vacances avec pour avantages pour les parents : un cout financier moins importants et la possibilité de retrouver tous les soirs leurs enfants. C'est en 1970 que l'on voit appairaitre les premiers centres de loisirs. Ces centres se trouve cette fois dans les villes et sont ouverts non plus que pendant les vacances scolaires mais aussi les mercredis. Pour revenir à ce qui disait Olivier, il y a bien une reflexion réglementaire sur la volonté d'un élargissement de ce que sont actuellement les lieux de vacances d'enfants hors milieu familial. Le nom "séjour de vacances" pourrait englobé tout ses types de séjours. Le paradoxe est que, suite à une étude de l'UNAT, parents (et les animateurs !) sont perdus dans tous ces cygles. Ce qui ressort, c'est le terme colonie de vacances, et sa déclinaison colo, est le cygle le plus facilement identifiable pour le grand public. Pour ceux que cela intéressent il y a deux auteurs qui font référence par leur travail et leurs recherches sur l'historique et la compréhension des vacances pour enfants : philippe REY-HERME avec notament un ouvrage intérressant "la colonie de vacances hier et aujourd'hui" et Jean HOUSSAYE avec notament un ouvrage "Aujourd'hui les centres des vacances".

Comme le dit Quentin, il est tout aussi interréssant de réfléchir sur les côtés positifs que peuvent avoir les téléphones. Il ne faut pas déclarer forfait fasse aux portables car on risque de le payer cher :clown:

téléphoner maison : Il y déjà quelques années de cela, un gamin ce lève en pleine nuit du centre ou j'étais et téléphone en pleure à ces parents à 3 h 00 du matin. Panique des parents qui ne savaient pas qu'il y avait une cabine téléphonique à l'intérieur du centre et qui s'immagineait que leur gamin s'était fait la belle du centre. (cette dernière partie de phrase et une expression, elle n'est pas à prendre au sens propre du terme :D ). Plus récement sur un séjour que je dirigeais en Irlande, la gamine 11 ans arrive sur le centre voyant l'étant un peu "nature" du centre téléphone à ses parents en larmes indiquant que le centre était une ruine et qu'elle devait faire la lessive et la vaiselle sur le centre. Tout cela pour dire que le téléphone ne pose pas forcément de problème en soit mais plutôt dans ces conditions d'utilisation des enfants quant à leur ressenti par rapport au séjour. Et encore c'est pas finit, avec les téléphones photos et vidéos cela promet encore de grands moments sur les centres !!

L'émission les maternelles JEUDI 24 JANVIER sur France 5 à 9 h 00 propose une émission concernant les Centres de loisirs. Centres de loisirs : ils y font quoi au juste ? Plus de 5 millions d'enfants y passent leur mercredi et parfois leurs vacances scolaires. Pourtant, beaucoup de parents considèrent encore aujourd'hui les centres de loisirs comme des garderies, voire des "no man's land" où l'on ne sait pas trop ce que font les enfants à longueur de journée. Que pensez-vous des centres de loisirs ? Y mettez-vous vos enfants ?

Je pense pas que le téléphone soit un problème à partir du moment ou on informe les parents et enfants avant le séjour : soit lors de la réunion parents ou en envoyant un courrier, sur les conditions d'utilisation et d'accès du téléphone par les enfants au cours du séjour. Concernant les portables il faut bien indiquer qu'en cas de perte ou de vol l'équipe d'animateurs ne peut en être tenu responsable. Autrement pourquoi ne pas intégrer les conditions d'utilisation du téléphone dans la charte de vie ou de faire un guide d'utilisation avec les enfants : quand on peut téléphoner ou pas et pourquoi.

L'idée et l'initiative vient d'Ile de France mais rien n'empêche les anims de province et du monde entier de prolonger le mouvement et d'organiser sous une forme ou une autre des rencontres ou forums d'animations en Bretagne, Alpes Maritimes, Poitou Charente, Nouvelle Calédonie... :siffle:

Eric, je ne comprends pas bien ta différence entre participation active et concertation. s'il y a volonté de concertation, c'est qu'il y a volonté de se mettre d'accord pour agir ensemble donc cela suppose la participation active de l'équipe d'animation. De plus s'il y a concertation c'est qu'il y a volonté de remettre en cause certaines choses, discussion et donc éviter que le directeur impose un projet clé en main.

Moi c'est j'apelle la SPA, Brigitte BARDOT, le GIGN non mais ! :D Non encore moins sérieusement je tape le propriétaire pour le faire monter dans le car et j'étudie sa réaction en forum avec les enfants :D :D Sérieusement, difficile de savoir comment réagir quand on ne connait pas le comportement habituel du propiétaire avec ses animaux.

Je voulai juste apporter une p'tite précision pour ceux qui peuvent penser, suite à ce qui à déjà écrit , dut carrière sociale et defa ne sont pas équivalent. Il faut que les dut passent la dernière unité de formation defa pour avoir l'équivalence. :diplome:

Sethi, Je suis formateur à l'UFCV. :D

Si l'animation pro est en crise, n'est ce pas parce qu'elle ne fait que s'ajuster à l'évolution de la société, alors qu'elle devrait la devancer ? Il y a trente ans apparaissaient les premiers centres de loisirs et avec elle les premiers diplomes professionnels de l'animation socio culturelle (le defa à trente ans et n'est toujours pas reconnu par la fonction publique !!!. Aujourd'hui l'animation de proximité est en plein essor au point que certains enfants passent plus de temps en centre de loisirs qu'a l'école. Du coup, il y a une volonté politique de structurer de plus en plus l'animation depuis quelques années autour de diplômes professionnels comme le bpjeps. Alors que l'éducation essaye de mettre en place une réforme de fond, l'animation socio culturelle essaye tout juste à ajuster un cadre réglementaire autour de son secteur d'activité. Ce n'est pas pour autant que l'on voit se généraliser sur le terrain une organisation de travail appliquant la méthodologie de projets. Sortons de l'occupationnel où est enlisée l'animation socio culturelle pour aller au devant de l'évolution de la société et proposons un vrai accompagnement des jeunes dans leurs vie pour qu'ils puissent se dire un jour : "le centre de loisirs, social, d'animation... m'a permis quelque part d'être l'adulte que je suis aujourd'ui". Mais tout ceci n'est ce que pure utopie ?!! :(

Pour plus d'efficacité encore pourquoi pas ne pas demandé aux animateurs de kidnapper quelques gamins à la sortie de l'école pour remplir les centres. :D

Ca c'est du business ! :D

Sisi, les trois papiers validés prouvent simplement que tu es en fin de formation de bafa même si la commission est passée. J'ai interpellé hier, un inspecteur jeunesse et sports sur le sujet, il m'a bien précisé que seul la posséssion du brevet est recevable pour affirmer que l'on est bafa breveté (le post guest sur la rumeur c'était moi).

le post Guest c'était moi, j'avai oublié de m'identifié. :blushing:

Pas besoin de formation, un bon tonneau d'eau javel et le tour et joué : les gamins se croient à la piscine municipale et vous par la même occasion vous endigué toute épidimie possible sur votre centre. :D Blague à part, il serait intérréssant de savoir s'il y a un texte de loi définissant les modalités et la responsabilisation de l'entretien d'une piscine privé en centre de vacances : à suivre...

Concernant l'assos ou je suis formateur, la demande viens de la personne. Par ailleurs, les formateurs peuvent aussi "coopter" quelqu'un qu'il a eu en appro bafa. Suite à cela, il y a un entretien et une formation jeune formateur. Une chose est sûr, la formation est une belle aventure pour celui qui veut avancer dans la reflexion, partager, construire...

Contrairement à l'idée reçu, c'est une fois le brevet en main que l'on n'est considéré comme bafa complet dans les effectifs de centres et non après son appro.

Le mieux est peut être de téléphoner directement à la ddjs pour connaitre la date de la commission :bye:

...Descartes et tout et tout ! :D

Aude ton raisonement est un peu court, d'autant qu'il se base sur : "je pense que..." ! :blink:

J'oubliai le thème de ce "jeudi solidaire" est : "créer une place pour l'enfant et la mixité sociale dans l'espace urbain."