Seb59440

Pfffff..... c'est dingue les clichés ! A mais oui, c'est vrai, pour être fonctionnaire, faut passer un concours, donc le réussir, et c'est pas donné à tout le monde. alors forcément, ça crée des jalousies. Un peu comme pour les profs, y'en a tellement qui les critiquent, qui les envient, mais si peu capables d'assumer une journée complète devant une trentaine de gamins ou d'ados. Si j'ai l'occasion, le concours d'anim'territorial, je le tente. A) le métier me passionne par les temps qui courent, la sécurité de l'emploi, on crache pas dessus.

Pas certain non ! Perso, c'est mon mail que je donne, enfin, un de mes mails. Mais uniquement à celui qui le demande. donc rare.

C'est marrant, j'ai jamais rien eu à reprocher à mes profs moi. Mes parents étaient pire qu'eux ! Mais bon, du haut de mes 30 ans, et pour bosser en école, c'est clair que ça à bien changé ! :malade: MAis bon.....c'est un autre débat ! :diplome:

Mort de rire !!! Si tu veux que tes gamins chantent sans soucis, s'expriment par la chanson, il faut que tu "tapes" dans ce qu'ils écoutent eux !!! Tu leur expose ton projet, tu leur demande ce qu'ils aimeraient chanter, et tu choisis avec eux, parmis leurs propositions. Tu peux, à la rigueur leur proposer ta chanson, dans ce cas là, tu leur fait écouter. Ils adoptent, tant mieux, ils rejettent et restent sur Lorie, tu t'adapte en conséquence. En tout cas c'est comme cela que je procèderai si j'étais dans ta situation. N'oublie pas, le bonheur du gamin avant tes goûts personnels. :trompette:

excelente celle la, pleure de rire :whou:

Meuuuuuuuuuh non ! c'est super de dormir en pleine campagne au milieu des nanimos !!! C'est délire d'entendre les bruits, bon avec des pitits je pense qu'il faut beaucoup de prépa mais avec des ados, ça doit être super. :bye:

Bien l'bonjour et bienvenu parmi nous. :bye:

Sauf que si on écoute le peuple, on est mal barré ! Chacun veut pour lui ce qu'il y a de mieux, sans les contraintes ! Je veux payer moins d'impôts, mais il faut m'aider plus ! Je veux les soins gratuits, mais payer moins de cotisations sociales ! Je pense que si chacun d'entre nous allait passer quelques semaines dans d'autres pays limitrophes, que nous vivions comme eux, nous serions tous d'accord pour dire "finalement, la france c'est pas si mal". Faut le reconnaître, beaucoup veulent le beurre, l'argent du beurre, la crémière ... et même s'ils avaient l'exploitation laitière ça ne leur suffirait pas encore ! Combien de gens autour de moi, qui gagnent 1,5 fois mon salaire net et qui se plaignent !! Désolé, mais si ces gens ne vivaient pas au-delàs de leur moyen, du fric ils en auraient ! Ensuite, s'il faut s'en prendre à quelqu'un, je ne pense pas que ce soit aux politiques ! Mais à ceux qui détiennent réellement le fric du pays ! Ces braves "grands patrons" qui, malgré la bonne santé de leur entreprise, malgré des bénéfices après impôts monumentaux, délocalisent ou licencient, pour que la poignée d'actionnaires puissent s'en mettre encore plus dans les poches ! Sans compter ces sommes inadmissibles et indécentes remises à certains dirigeants sur le départ (départ volontaire ou obligé).Il y'en a encore un cette semaine qui a quitté son groupe avec un chèque de 38 Millions d'E, la plus grosse indemnité jamais payée ! Alors, un message personnel aux râleurs, au lieu de passer votre temps à tout critiquer, à rejeter la faute sur l'autre, sautez dans le tas et faites nous des propositions ! PArce que râler c'est bien beau, mais ça fait pas avancer le problème et encore moins le résoudre !

Ben moi mon inscription elle s'est faite par le biais de mon employeur. Etant Emploi Jeune dans l'Education Nationale, la formation beatep était proposée dans le catalogue des formations. Donc j'ai pû m'inscrire au beatep sans même avoir le bafa. Ensuite, j'ai également bénéficié d'une dispense aux tests d'admissibilité. Une fois ma demande validée par le rectorat, j'ai été convoqué aux tests d'admission par les Francas 62. C'est un test simple, on te donne quelques questions liées à l'animation, à l'éducation populaire et une étude de cas. On te demande ce que tu ferais (en gros) pour y répondre. Ensuite tu passes devant un jury où il reprend les questions avec toi, prend connaissance de tes réponses à l'étude de cas et c'est parti pour une bonne discussion. Une fois les tests passés et les résultats publiés, si t'es reçues, tu intègre la formation. Tu peux être reçue mais, en fonction des places disponibles, être sur liste complémentaire. Si il y a des désistements dans le groupe principal, on le complète avec la liste complémentaire. (Dans mon cas, certains ont été effrayé par le contenu de la formation, d'autres ont du arrêter faute de financement). Le mieux est que tu demandes à Jeunesse et Sport leur calendrier et de prendre contact avec les différents organismes qui proposent le beatep. C'est clair que c'est une formation lourde. Maintenant, tout dépendra de ton organisme et du mode de fonctionnement de ton formateur. Dans mon cas, nous avions beaucoup de recherches personnelles à faire, on travaillait en groupe, on concevait les exposés qu'on présentait aux autres. Si il manquait des infos ou si on n'avait pas été assez précis sur un point, le formateur intervenait. Sinon, l'exposé était considéré comme "cours". A 80%, mes cours sont des travaux de groupes. Certes, parfois je reconnais que c'était fatiguant. Le lieu de formation était à 2h de chez moi, je travaillais du lundi au samedi, donc les recherches à faire le soir et le week end,... mais je regrette rien.

Oui, le tout est de faire la distinction entre le mec qui fume un pétard et celui qui deale. Pour le fumeur, "consommateur", un bon remontage de bretelles, une bonne discussion afin de voir avec lui la raison de sa consommation, bref un entretien entre personnes de bon sens s'avèrera sans doute positif. Pour le dealer, là, il ya un délit, "trafic et vente de produits illicites". Et dans ces conditions, la direction de l'établissement n'a pas d'autre choix que d'en référer aux autorités compétentes. Certes, on peu toujours dialoguer avant, trouver une solution. Mais le dealer, le même dehors, rien ne l'empêchera de venir à la sortie pour continuer son trafic. Donc, dans ce cas, je suis pour un signalement aux autorités, ensuite, à elles de faire leur boulot. Et sauf erreur de ma part, faire respecter l'ordre, la sécurité et la législtation en vigueur n'est pas l'appanage d'un Etat Policier mais au contraire, d'un Etat Démocratique où il existe des textes précis, que chacun d'entre nous devons respecter. Maintenant, si certains sont contre toute législation, ce n'est pas pour autant que nous devons devenir, pour leur bon plaisir, un Etat Anarchiste.

Mdrrrrr, je suis un !! parceque je ne fume po, j'ai jamais touché à la cigarette qui fait rire et en plus, je ne bois pas d'alcool ! Je vous rassure, pour le reste hihihih ça roule :D

Ben réclamer plus de profs, plus de surveillants, la reconduite des postes emploi jeune, ... ça a été demandé dans les manifs. Mais bon, faut faire des économies parait-il ! Alors un proviseur, dépassé par les évènements, s'il n'a pas la possibilité de faire "la police" lui même, il n'a pas d'autre choix que de la faire faire par ceux qui sont payés et formés pour. Pour revenir à ta proposition de "fouille à la sortie", le problème c'est le mouvement de foule. Dans une salle de classe, on saut tout de suite vers qui on va, à la sortie, dans la cohue, il y en aura toujours qui passeront entre les mailles du filet. Mais comme je disais plus haut, il aurait mieux valu oublier les menottes devant tout le monde. Mais bon, peut être que "pédagogie" et "police" ne peuvent pas cohabiter dans le même cerveau (oupssss j'ai osé hihihihi). :blushing:

Bonsoir Gaelle, j'ai suivi la formation beatep asvl (enfance petite enfance) d'avril 2003 à juin 2004, et obtenu le beatep en decembre 2004. D'abord, il y a l'UFG (unite de formation générale), commune à tous les beatep contenu : Connaissance de la vie associative, les partenaires institutionnels de l'école et leurs interventions dans l'animation, la décentralisation, le rôle des collectivités locales, Eléments du droit du travail, Droit civil et pénal, responsabilités, gestion administrative et financière, Evolution des sociétés et des économies, l'histoire de l'éducation populaire, Evolution de la place de l'enfant dans la société française, l'expression écrite (entraînement à la validation de l'ufg), l'expression orale (la communication). L'examen de l'UFG se compose de 2 parties, une première regroupant une dizaine de questions de cours et de connaissances générales, (moi j'ai eu 12 questions), puis une deuxième partie "étude de cas" (moi : organiser une manifestation pour la population d'une agglo dans le cadre de la fête du livre). Ensuite il y a l'UFT (unité de formation technique) et l'UFP (unité de formation pédagogique) contenu de ma formation : connaissance de l'environnement et des cadres institutionnels de l'action, connaissance des caractères des publics concernés (culture, comportements, ...), connaissance des différentes techniques d'animation usuelles, connaissance des techniques d'analyse des situations, d'interview, d'enquêtes, de documentation, de communications, connaissance de l'individu (éléments de psychologie de l'enfant), la notion de projet, la méthodologie de projet, la mise en place de projet, l'évaluation, connaissance des phénomènes de groupe (inceste, toxicomanie,secte, etc...), fonctionnement d'une équipe dans un projet. Puis pour terminer, entraînements aux techniques d'entretien et de conduite de réunion. UFT/UFP mise en situation. Moi, j'ai du écrire un projet de A à Z et le mettre en place dans une structure, du 01 Avril 2004 au 30 MAi 2004. Un jury est venu me voir sur place, en pleine action. Ils m'ont observé mener mon activité. Ensuite, ils m'ont pris en entretien une vingtaine de minutes pour avoir mon ressenti sur ce qui venait de se passer, ce que j'avais fais avant, mon évaluation à chaud, etc... Enfin, rédaction du mémoire de stage pratique (le projet mis en place pour l'uft/ufp) que tu présentes à l'oral face à un jury. J'ai passé l'UFG en Mars 2004, l'UFT/UFP en Mai 2004 et la soutenance du mémoire en Décembre 2004. Voilà, si je peux t'aider plus, demande.

Il y a effectivement des gants à prendre, on n'intervient pas avec des gamins, des ados comme on interviendrait avec des braqueurs de banque, ça, on est d'accord. Maintenant, le fait que les lycéens se soient fait menotter en classe, là, je reconnais que c'était une erreur. Les faire sortir, les emmener ok. Que cette intervention est perturbée les élèves, là, je reste un peu plus sceptique. Perturbé par quoi ? voir des "flics" dans le "sacro saint lycée" ? voir que la direction du lycée a "osée" faire appliquer le réglement en matière de sécurité du personnel et des élèves ? voir les "caïds" de la classe se faire arrêter en public ? Moi, ce qui m'aurait perturbé, c'est une administration et un encadrement laxiste, faisant semblant de ne pas voir, ne pas entendre, bref laisser les problèmes continuer. Et quand je parle de "problèmes", je parle de drogue, violences, racket. Ces situations ne sont pas évidentes à gérer, et s'il existe sur ce forum quelqu'un qui dispose de la Solution radicale, sans faire usage des forces de l'ordre, sans faire appel à la législation en vigueur , bref un gars ou une fille capable de faire disparaître ce genre de chose de son lycée de son propre chef, ben qu'elle me tuyaute, parce que moi, désolé, mais je ne suis qu'un être humain, et je ne peux pas résoudre tout à moi tout seul. Aude ?

Je n'ai jamais dis que j'étais pour un Etat policier ! Faut pas déformer mes propos au prétexte que tu estimes que la force publique n'a rien à faire dans un établisement scolaire. Sur ce que tu as dis au sujet de l'encadrement, je suis d'accord avec toi. Cependant, et je suis en excellente position pour le signaler, puisque je suis Emploi Jeune dans l'Educ.Nat., le nombre de personnes encadrantes est de plus en plus réduit. Nous étions 6 A.E. en Sept.2003, en Avril 2005 nous ne sommes plus que 2. Donc, faute d'encadrement adéquat, il existe du racket dans les toilettes ou du deal au fond de la cours, par conséquent, le chef d'etablissement peux, si il n'y a plus que cela à faire, faire appel aux forces de l'ordre. Et rassure toi, je ne suis pas dans un état au point de DEMISSIONNER !!! Mon contrat se terminera assez tôt comme cela !

Tout à fait d'accord avec toi Jérôme. Mais bon, ceux qui se plaignent des interventions de la police ne sont sans doute pas des victimes ou parents de victimes. C'est vrai quoi, il faut être honnête ! Les plus embêtés dans ces histoires, ce sont les "p'tits anges qui ne peuvent plus dealer tranquillement au fond de la cour" ou "ces gentils tits gars qui peuvent pu racketter les p'tits dans les toilettes"....Quand je le dis qu'il y a des coups de pieds au ... qui s'perdent. :enerve:

J'ai 30 ans et non je ne demande pas une tite guerre !!!! Mais si je m'adressai à mes parents sur le même ton qu'emploient certains élèves avec moi, je m'en prendrai une bonne dans la tronche ! C'est cela qui ma frappé lorsque j'ai pris mes fonctions. Le manque de respect de beaucoup de gamins, pas tous encore heureux. Quant à revenir sur le début de ton intervention "un prof ne se laisse pas faire", j'ai vécu des situations où l'instit qui séparait des gamins en train de se battre, c'est faite cracher dessus, elle a levé sa main et la réponse a été directe : "frappe moi j'porte plainte" ! ce qui revient à ce que je disais, c'est tout juste si nous, on ne dois pas se laisser faire. Maintenant c'est mon point de vue, en fonction de ce que je vois dans mon boulot.

A force de faire de la prévention, que de la prévention et uniquement de la prévention, il arrive un moment où elle ne suffit plus. Le "c'est pas bien tu sais...", il y a longtemps que les d'jeunes de nos jours s'en foute comme de l'an 40 ! Suffit de voire au niveau de la sécurité routière ! Tout le monde sait que c'est pas bien de conduire ivre, de rouler vite,... et pourtant les gens s'en tapent et pire, quand ils se font pincer, ils osent dire "c'est pas ma faute" ! Alors des descentes de flics dans les etablissements scolaire, certes je ne trouve pas ça très pédagogique, mais c'est parfois bien utile. Il serait temps que les d'jeunes de notre pays reprennent un peu leurs places ; à savoir être de bons petits gars et non des délinquants notoires ! La prévention, les bons discours, ils s'en foutent, puisque ce ne sont que des mots ! Par contre, se faire confisquer son pétard caché au fond de la trousse en pleine classe, se retrouver devant le commissaire de police ou le juge pour enfant, c'est l'électrochoc ! Pour la petite histoire, l'an dernier, dans la ville où je bosse, il ya eu une descente surprise, pas dans un lycée mais dans la cité d'à côté, résidences d'une partie des lycéens justement. Résultat, une quarantaine d'interpellations, 10 voitures saisies (grosse berlines et coupés allemand pour la plupart), dans le lot, un jeune de 19 ans, 6 comptes bancaires différents, plusieurs milliers d'euros dessus, et tous, soient au lycée soit au chomage ! Maintenant, bon nombre d'enseignents sont agressés dans les établissements scolaires. Si nous, nous levons la main sur un gosse, il nous fou les flics aux fesses ! Par contre, il est normal de laisser un "éleves" cogner sur un prof pour une remarque, une mauvaise note, une interdiction etc.... Alors stop ! Lorsque plus aucun dialogue n'est possible, lorsque toutes les mesures "amiables" ont été prise, il faut bien en arriver a cet extrémité. Mais ne pas en abuser.

Je confirme, cas vécu. Il existe des enfants qui préfèrent dirent "ne pas aimer" tel jeu par ce qu'ils ne savent pas jouer et qu'ils ne veulent pas que les autres, ceux qui savent très bien jouer, se moquent d'eux. En travaillant du matin au soir avec des enfants, je vois des choses, et j'en entends. Et quand je dis que certains sont "monstrueux" avec leurs camarades, je sais de quoi je parle. Des footeux qui se moquent du gamin qui "a peur" du ballon, une gamine qui fait du tennis en club et qui se la pète parce que de temps en temps elle quitte l'école en milieu d'apres midi parcequ'elle a une compétition à 200 km le lendemain et qu'elle doit s'entraîner le soir, j'ai connu ca l'an dernier. Le bon gars super bon en course qui se fou de la tronche du copain qui boite (à vie)(suite à un accident) parce qu'il ne "sait pas courir" oui ça existe ! Non ce ne sont pas des interprétations à la con ! Si on bosse avec les enfants, il faut aussi savoir les écouter, leur parler. Et c'est ainsi que l'on sait si un gosse ne fait pas une activité parce qu'il n'aime pas, ou parce qu'il n'a pas envie, ou parce qu'il a peur du regard des autres. J'ai dis pus haut que je n'aimais pas le foot, que je ne savais pas jouer, mais que cela ne m'empêche pas de taquiner la balle avec les gamins. Quand j'étais au collège ou au lycée, personne ne se battait pour m'avoir dans les équipes de foot, normal, ayant horreur de ce sport et n'en connaissant pas les règles, j'étais un boulet pour eux. Ils ne consevaient pas qu'un mec puisse "ne pas aimer le foot" ! un gamin c'est pas con, c'est certain ! Mais ils ont aussi leur amour propre ! Et pôur certain il est préférable de dire "j'ai pas envie ou je n'aime pas" que "je ne sais pas", parce dans ce dernier cas, il y a toujours côté un fort en geueule pour dire "oh la honte, il sait pas jouer au foot" ! :enerve:

Mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, sacré Aude, c parceque que j'ai calculé à l'heure le salaire qui m'est payé par aprés midi. C'était plus simple pour moi de parler de salaire horaire. Si tu préfère ca ma fait du 25,72€ brut par aprés midi de clsh.

ET oui c'est comme ça ! Pour certains, être animateur c'est "s'amuser avec les enfants", mais bon, ce sont les mêmes qui disent que "prof c'est toujours en vacances"; et parfois les mêmes aussi qui, une fois leur gamin en vacances les inscrivent dans les centres pour avoir la paix ! (non, c'est vrai, ce genre de chose n'existe pas, euh.... )

euh je veux pas être le de service, mais perso, je suis payé 8,57333 €de l'heure comme directeur de clsh. Et comme aide educ, c'est 7,8789 E(je parle en brut bien sur). Le clsh fonctionne uniquement pendant les petites vacances scolaires et de 14 à 17h du lundi au vendredi. Bon je me plaind pas, mais à vous lire, j'ai du mal à suivre.

J'ai vécu cette situation, pas en tant que directeur ou animateur de clsh, mais en tant qu'aide educ à l'école. Une maman se pointe avec 10 mn de retard à l'école pour récupérer son gamin de 8 ans. Quand l'instit et moi avons vu la trajectoire fantaisiste qu'elle empruntait pour nous rejoindre, nous avons compris qu'on allait avoir un petit soucis et bien sur, dans ces moments là, y'a plus personne à l'école à part nous. Pas capable d'alligner trois mots à la suite, le visage pourpre limite violet, sans être méchant, fallait pas allumer une allumette sous son nez Bref, la question se pose : laisse t'on le gamin repartir en voiture dans ces circonstances. Le gosse lui, mal à l'aise, ne sait plus trop quoi faire. J'ai donc laissé l'instit, le gamin et sa mère pour allez appelé l'inspection et posé la question. Et là, pareil, cas de conscience. a) on laisse partir et si y'a pépin on ne pourra pas dire "on savait pas" on empêche la dame de repartir, elle le prend mal, et ça nous retombe aussi dessus. Finalement on a demandé au gamin si il avait de la famille dans le coin, on a appelé une tante, je lui ai expliqué le problème et elle est venu avec son mari pour récupérer la voiture et tout le monde est rentré. Mais la question "si nous n'avions trouvé personne, que faisions-nous" reste encore sans réponse précise.

Tu as plein de site où tu peux trouver des idées. Avec un peu d'imagination tu peux même les "détourner" pour les mettre à ta sauce ! Et puis, tu peux aussi trouver des livres d'activités, la revue "journal de l'animation", etc... Crois moi, en cherchant on trouve plein de choses, c'est long, mais au moins ça ne te "tombe pas tout cuit".

C'est du domaine médical et comme cela a été dit, ça ne regarde personne. Cependant, dans ce cas précis, il existe des risques que l'on ne peut pas minimiser. Rien ne m'empêcherai de recruter un(e) anim' séropo. Si il est compétent, que son état de santé ne gêne ne rien son activités, pas de souci. Mais je pense, qu'en tant qu'anim, en étant au contact des enfants (et même d'adultes), si j'atais malade, j'en parlerai au directeur, en toute confidencialité. De manière à ce qu'il soit tenu informé, et qu'en cas de pépin ça ne lui tombe pas sur la tronche. Maintenant, c'est vrai qu'une telle information pourrait rebuter un employeur. N'oublions pas que la "connerie humaine " existe toujours et que certains mots font peur. C'est un excélent sujet je trouve.