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Tout ce qui a été posté par Quentin
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Keep cool Si tu trouves si long de lire les textes, tu en as une version synthétisée dans le nouveau "Spécial Directeur ACM 2008" de la JPA, paru le mois dernier (12,50€). Et pour rechercher une référence de texte plus rapidement, tu as le guide Enfants et Espaces de la JPA sur CD-ROM (95,00 €), dont la dernière version sort au début du mois prochain.
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Ceci est une idée largement répandue, mais complètement fausse, à ranger dans la même catégorie que "Il n'y a pas de poursuite judiciaire en dessous de 5% de pertes d'enfants" et "Il doit obligatoirement y avoir 2 animateurs pour encadrer un groupe d'enfants, quel qu'en soit le nombre". Cela m'étonne qu'une telle affirmation vienne d'une directrice...
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Salut Yassine, Ta lettre de motivation ne fait pas apparaître le coeur même de ton projet. Si tu souhaites effectuer un BPJEPS, ce n'est pas pour faire "une synthèse" de tes diplômes antérieurs, mais bien pour qu'il t'apporte de nouvelles connaissances. Il faudrait également que tu développes un projet de carrière lié au cinéma, car on ne voit pas ce que la formation va t'apporter sur le plan professionnel. Souhaites-tu travailler ultérieurement dans un cinéma qui proposerait des animations pour les enfants avant chaque séance, sur le thème du film ? Souhaites-tu intégrer une structure qui interviendrait en milieu scolaire pour mener un travail d'éducation à l'image ? Bon courage
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Si son animateur trouve ça marrant, si ses parents trouvent ça marrant, si son prof de chant trouve ça marrant... alors qui corrigera l'erreur de l'enfant ? Si l'enfant se rend compte que ni son animateur, ni ses parents, ni son prof de chant ne semblent porter d'intérêt au "bien parler", il aura alors toutes les raisons de penser que son instit n'est qu'un chieur qui lui apprend des choses dont tous les autres adultes se foutent...
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Salut Perrine, Ton projet est trop flou tel que tu le décris pour qu'on puisse se prononcer... Sur l'idée du "camion animation", je pense qu'il est important de proposer des animations qui apportent une véritable plus-value par rapport aux activités traditionnelles du centre. La tendance récente chez certains organisateurs est de limiter le recours à des partenaires extérieurs pour recentrer leurs animations en interne : pour que ton projet fonctionne, il faut donc que des animations particulières soient proposées (que ne pourrait pas mettre en place un centre classique).
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Oui, on est souvent tristes de terminer une colo - parfois aussi, on est soulagés que ça se termine Mais le réflexe doit être de penser à la colo suivante, c'est le meilleur moyen de rebondir de manière positive. Il n'y a rien de plus dangereux que de considérer qu'une colo a été "trop géniale", car ça revient à supprimer tout discernement critique. Et quand bien même on serait triste, il faut rester professionnel jusqu'au bout. En tant que parent, je n'accepterai pas qu'un anim arrive les yeux embués pour me remettre mes mômes lors du départ.
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D'après ce rapport, le problème n'est pas tant la saleté que le manque d'intimité. Je me souviens qu'au collège, je n'ai jamais mis les pieds aux toilettes. J'avais en horreur les portes ajourées avec un vide de 15 cm en dessous, parce que le grand jeu était de regarder en-dessous. Ce qui veut dire que de 8h à 17h, tu vas te retenir... Ma soeur était dans le même cas que moi, et elle a développé des infections urinaires à répétition. Je ne sais pas si c'est lié, mais ce rapport a le mérite de poser les bonnes questions. Séparer les urinoirs avec des parois occultantes peut être un début de réponse chez les gars. Du côté des filles, il faudrait déjà arrêter d'avoir des blocs sanitaires mixtes (le rapport souligne les stratégies mises en place par les filles dans ce domaine). Il y a sûrement d'autres choses à faire, puet-être moins coûteuses, notamment en matière de prévention santé avec l'AS d'un centre. Des idées ?
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Il faut distinguer deux notions dans la conception du "chouchou" : - celle de l'enfant qui obtient des passe-droits auprès d'un anim qui l'apprécie - celle de l'enfant qui passe plus de moments privilégiés avec un anim que les autres gamins Le premier cas occasionne à coup sûr des dégâts irrémédiables. Le groupe risque de se liguer à la fois contre l'enfant en question et contre l'anim, pour son manque de cohérence. Le second cas, s'il est bien géré, peut ne pas poser de problème : il y a des enfants qui sont demandeurs d'une attention plus grande de l'anim. Le moment du coucher est révélateur : il y a des enfants qui sont demandeurs d'un rituel (comme l'anim qui lit une histoire dans la pénombre) et ceux qui, plus autonomes, peuvent se passer de sa présence et pourront éteindre la lumière sans que l'anim leur ait souhaité bonne nuit. L'important, c'est que l'enfant soit bien le demandeur de cette attention. Ce qui est dangereux, c'est lorsque les anims s'immiscent volontairement dans le quotidien de l'enfant. Les autres gamins le perçoivent très vite, et ça peut occasionner les mêmes problèmes que dans le premier cas cité. Alors oui, "on est humain" et on a tous des préférences, qui s'expriment plus ou moins adroitement. Mais si "on est humain", alors l'objectif n'est-il pas d'aller vers tous les enfants ? Car terminer une colo de 60 mômes dans laquelle vous avez eu 2 préférés, ça revient à être passé à côté de 58 autres enfants. Il n'y a rien de pire que terminer une colo où tu vois une gamine qui monte dans le bus, dont tu n'as jamais entendu le son de sa voix. C'est encore plus compliqué ça, Jack, bien vu ! C'est très difficile de faire abstraction des incidents des jours précédents lorsqu'on se retrouve à encadrer un gamin chiant. Le mieux, c'est d'en parler en équipe et de voir comment les autres anims le considèrent. C'est dans ces moments-là que des solutions peuvent apparaître.
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Hum... Au risque de passer pour un rabat-joie, je suis loin de mettre le qualificatif "formidable" à une colo où tous les gamins chialent au départ. Qu'il y ait eu une bonne ambiance, des affinités qui se sont créées, etc, je n'en doute pas. Mais dans ce cas, en amont du départ, il faut préparer le groupe à la séparation. Une salle des adieux, avec d'énormes affiches vierges, pourra être installée deux jours avant le départ : les enfants y glisseront un petit mot. A table, avant le départ, les animateurs pourront discuter avec les mômes pour savoir ce qu'ils font après la colo : il y a ceux qui enchaînent avec une autre colo, ceux qui partent chez les grands-parents, ceux qui restent chez eux. C'est important de les projeter dans ce moment. Je me souviens d'une colo où un gamin était triste à l'idée de partir. En parlant avec lui à table, il se souvient d'un coup que ses peluches l'attendent sur son lit à son retour. "Ah bah ça va mieux alors..." Les crises de larmes, ça s'évite. Dans ce domaine, il n'y a rien de pire que les départs brutaux (du genre on se lève à 6h pour être dans le car à 7h) ou les départs qui traînent en longueur (du genre étalés sur toute la journée, où des petits groupes partent les uns après les autres). Un départ qui se fait sur 1h ou 1h30, c'est parfait (surtout que ça dégage du temps aux anims pour ranger le centre !). J'ai eu ce sentiment il y a 6 ou 7 ans, quand je débutais en animation. Par la suite, on apprend à prendre sur soi et l'attachement aux gamins devient différent. Au fil des expériences, tu t'aperçois que chaque colo est perfectible. Quand tu termines un séjour, il y a plein de choses à noter pour faire mieux au séjour d'après. Et se dire qu'on fera mieux la prochaine fois est un sérieux stimulant pour ne pas sombrer dans la nostalgie...
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Dans ce cas, la fin alternative du film te plaira... ^_^
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Aide Pour Une Lettre De Motivation Pour Le Creps Formation Bpjeps Agff
Quentin a répondu à un topic de anto dans Bpjeps
Salut, Commence par nous donner le plan de ta lettre si tu souhaites de l'aide... ou tout au moins les points que tu souhaites aborder. -
Salut ! Et toi, qu'entends-tu par séjour long ? Je ne pense pas que l'AS ait plus de missions lorsque la durée du séjour est longue. Les missions habituelles que je confie aux AS pendant les séjours : - suivi des traitements - gestion de l'infirmerie - gestion des trousses de secours - écoute "active" des enfants - communication avec les familles pour les maladies et blessures - conseils auprès de l'équipe sur le rythme et les conditions de vie des enfants pendant le séjour Pour ce qui est de l'hygiène corporelle (oreilles, ongles, etc), c'est du devoir de chaque anim de veiller à cela. Concernant le poids et la croissance, je ne vois plus l'intérêt de les noter au début et à la fin du séjour. Lorsqu'il y a un enfant à emmener chez le toubib, sauf exception, c'est moi qui me déplace de manière à laisser l'AS sur le centre. Dès lors qu'un enfant est avec un médecin, la présence de l'AS n'est plus nécessaire. Pour terminer sur les fiches sanitaires, c'est une obligation légale de les rendre aux parents. Lorsqu'un enfant est malade, je faire remplir au toubib la case concernant les obervations faites en cours de séjour (ça laisse une trace que les parents peuvent glisser dans le carnet de santé). Mais le plus souvent, c'est "RAS" et un coup de tampon !
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Bonjour Emilie, Tu peux t'adresser à la DDJS de ton département qui pourra te fournir une liste des organisateurs de séjours de vacances. Renseigne-toi aussi auprès de mairies importantes de ta région, qui ont parfois un secteur vacances, et d'un point info-jeunesse, où tu trouveras de nombreuses offres d'emploi.
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En classe de découvertes journalisme, Leïla rédige une brève à partir d'une dépêche d'agence de presse. Elle a écrit que "La glace fond rapidement dans l'Océan Article". Je la relis et lui signale une erreur dans cette phrase. Elle revient deux minutes plus tard, toute fière, et me présente sa feuille : "La glace fond rapidement dans l'Océan Artistique" :clown:
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Rien dans le message de Gaëtan ne permet d'affirmer que son souhait était de "passer des vacances" ou de "gagner de l'argent"... Se décider à passer le BAFA un an avant d'avoir l'âge requis me semble au contraire un signe de maturité, d'autant que Gaëtan cumule pendant ce temps une expérience avec des enfants en encadrement sportif. Ne généralisons pas... Certains sont aptes à encadrer des enfants dès 17 ans, d'autres ne le seront toujours pas à 25 ans et plus. C'est aux formateurs et aux directeurs de séjours de déterminer, au cours du cursus BAFA, si les stagiaires sont aptes ou pas. Reculer l'âge d'entrée au BAFA ne résoudrait rien. Plus encore, cela risquerait d'aggraver la pénurie d'anims.
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C'est un conseil entendu partout, et qui me scandalise car tout cela se fait au mépris de l'enfant. Mettons-nous dans la situation du gamin qui a du mal à se dépatouiller avec la douche, et qui appelle à l'aide un anim en qui il a confiance et devant qui ça ne le dérange pas de se montrer nu. L'anim en question devrait, selon ce conseil, appeler un collègue en renfort pour prouver qu'il n'y a eu ni attouchement ni viol. Soit deux adultes devant un gamin nu... Euh, j'en connais qui ne vivraient pas bien la situation. Ca peut être beaucoup plus troublant dans ce cas de figure... L'affinité n'a rien à voir avec le fait de se montrer nu. Tu peux avoir de vrais liens affectifs avec quelqu'un et ne pas souhaiter te montrer nu devant lui. Il faut distinguer amitié et pudeur.
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Salut, Attention à ne pas alerter Jeunesse et Sports sur un cas comme celui-ci, qui est loin de justifier une interdiction d'animer auprès d'enfants. Ce problème doit d'abord se régler en interne : je ne sais pas de quelle structure tu dépends (municipale ? privée ?), mais tes responsables doivent être informés et une réunion doit avoir lieu. S'il n'y a jamais de réunion régulière dans ton travail, c'est logique qu'il y ait du ressenti de part et d'autres : lorsqu'on supprime les temps de discussion dans une équipe, on en vient à se parler de moins en moins... Et ce ne sont pas des discussions entre deux portes qui vont pouvoir dénouer le problème.
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Salut PetitLu, Je n'ai encore jamais eu d'enfant qui est venu avec un PAI digne de ce nom... A la place, il y a eu une prise de contact par téléphone avec les parents, mais pas avec les éducateurs (il s'agissait d'enfants à handicap moteur). Le PAI a pourtant l'avantage de formaliser les renseignements demandés, et permet ainsi de ne rien oublier. Je ne pense pas qu'un PAI fige l'enfant. Les renseignements permettent à l'équipe de bien préparer l'accueil d'un enfant handicapé ou souffrant de troubles de santé, en réfléchissant notamment à l'aménagement des locaux, aux possibilités et aux limites d'intégration dans un groupe, à la gestion de la vie quotidienne. C'est essentiel d'anticiper l'accueil de l'enfant. Les renseignements permettent surtout de mener un travail en continuité avec ce qui est réalisé à l'année par les parents, les médecins et les éducateurs. Les anims n'ayant souvent pas de formation préalable liée au handicap et aux pathologies, ce sont les renseignements fournis qui vont servir de base à leur travail. Cela n'empêche pas, bien sûr, de sortir par moments du cadre formel du PAI : le temps des vacances est aussi un temps d'expérience pendant lequel un enfant peut se montrer sous un jour différent.
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Merci, j'y vois plus clair ! Je réfléchis aussi à la mise en place de PAI dans certains cas, car il me semble important d'avoir un avis médical fondé, en plus des explications des parents. C'est notamment pratique lorsqu'un infirmier doit venir au centre prodiguer des soins quotidiens : les explications du médecin sont souvent plus concises que celles des parents.
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Comment Devenir Animateur Pour Les Colos?
Quentin a répondu à un topic de Overlolo dans Discussion générale
Salut Joëlle, Désolé, le BAFA, c'est à partir de 17 ans ! Lorsque tu auras l'âge requis, tu pourras demander à l'antenne départementale de Jeunesse et Sports de te fournir la liste des organismes habilités à dispenser la formation BAFA. -
Je suis partant ! Tu as déjà un thème en tête ?
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Salum Clemclecle, Au CRIJ, tu verras surtout des offres d'emploi exigeant le BAFA : tu ne risques donc pas de trouver par ce biais. Mieux vaut contacter des centres de loisirs ou des centres de vacances, en leur expliquant ta démarche. Insiste un peu pour passer le barrage de la secrétaire au téléphone et demande à parler directement au directeur (demander ses coordonnées s'il ne travaille pas sur place). Près d'Obernai, dans un bled tellement perdu que je n'ose pas en dire le nom :lol:
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Salut, Qu'est-ce que cette formation apporte de plus que l'AFAS, qui existe depuis plus longtemps que la FFAS (qui d'ailleurs n'est citée nulle part ailleurs que sur ton site) ? Pourquoi ne pas avoir repris le programme de l'AFAS ? Autre question, plus perso... J'ai vu que ta formation traitait aussi de l'accueil d'enfants atteints de troubles de la santé : est-ce que tu recommandes l'établissement d'un PAI, comme dans l'Education Nationale, ou cela te semble superflu sur une aussi courte durée que les colos ?
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Bien d'accord avec toi ! Et comment on fait dans ce cas là ? Je ne me vois pas rester debout jusqu'à 4h pour aller coucher les derniers, je tiens aussi à mon sommeil OK, les colos sont aussi un temps de partage entre adultes, et les soirées après la réunion sont toujours agréables. Mais ça me fait mal de voir des anims usés en fin de centre, qui même s'ils auront globalement bien géré avec les enfants, quittent la colo lessivés...
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Salut Clemclecle, ... et bienvenue dans le monde de l'animation ! Le statut d'aide-animateur n'existe plus légalement. Il te reste la possibilité de participer au séjour en tant que bénévole : tu seras ainsi couverte en cas d'accident. Dans ce cas, veille néanmoins à ce que le directeur du séjour définisse bien des "missions" qui soient en rapport avec ton boulot, qui doit rester une première découverte de l'animation : tu dois par exemple refuser de te retrouver seule en charge d'un groupe. En revanche, tu peux te proposer pour aider à la préparation d'un grand jeu, donner quelques coups de main en vie quotidienne (c'est-à-dire tous les temps comme le lever, la toilette, les repas, etc)...