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Directeurs Animateurs Stop Abus Pétition
Quentin a répondu à un topic de C2soleilpeti dans Le défouloir
Encore une fois, tu ignores nos interrogations, C2soleilpeti Pour revenir sur ce que disait Laballe, il est évident que le salaire des animateurs saisonniers n'est pas élevé. Il pouvait se comprendre il y a encore quelques dizaines d'années, lorsque l'engagement militant et donc désintéressé prenait le dessus sur les motivations financières. Il allait également dans le sens d'une tradition de dévouement des instits, qui étaient les premiers à se porter volontaires pour encadrer les colos. Avant que les anims fassent peu à peu leur apparition... Tout cela a changé (tant mieux ou pas, c'est un autre débat). Si je n'ai pas signé la pétition, ce n'est pas qu'en raison de la syntaxe désastreuse, mais aussi parce que j'estime que cette initiative individuelle n'aura aucune portée. Certes, c'est louable de prendre les devants, et il fallait effectivement que quelqu'un le fasse. Mais une action commune, regroupant des animateurs, des directeurs, des formateurs, des organisateurs, des fédérations d'éducation populaire, aura plus de poids. Le problème de cette pétition est qu'elle n'envisage les choses que sous l'angle des animateurs, alors que le problème est plus vaste. Si le salaire dégoûte les anims au point de plus vouloir bosser en colo, alors ce sont les organisateurs qui vont trinquer. Et au-delà, c'est l'esprit même des colonies de vacances qui va en prendre un coup. La première étape serait plutôt de constituer un collectif pluraliste, représentant plusieurs fonctions (anim, organisateur, etc) et plusieurs mouvances. Charge à eux de dresser un constat objectif de la situation actuelle, et de proposer des solutions. Ce n'est qu'après que la pétition serait envisageable. -
A La Recherche De Films Sur L'animation
Quentin a répondu à un topic de tonia-tong dans Moi j'ai vu...
Ca risque d'être difficile, car les téléfilms sont très rarement distribués en DVD ou VHS. Pour espérer le voir, il te reste le hasard des rediffusions sur les chaînes du câble ou du satellite, ou bien le militantisme de quelques passionnés qui vendent, sous le manteau, des DVD jamais sortis dans le commerce. -
Juste une petit précision par rapport au sujet de post : entre 10 et 12 ans, on est pas encore ado... 10 ans, c'est le CM1 seulement ! Reste donc dans des activités adaptées à cet âge.
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Le contrat n'a pas d'efficacité : si l'enfant ne reconnaît aucune légitimité aux adultes qui l'encadrent, alors il n'aura aucune raison de se conformer à un contrat rédigé par des adultes. Même chose pour le coup de faire appel à un adulte en cas de conflit : les anims ne sont pas toujours vu comme des recours utiles... Les responsabiliser au sein du groupe, mouais... Je ne vois pas l'intérêt de leur donner un pouvoir de décision alors qu'ils ont l'air de se l'arroger (cf. ton premier message où tu dis que ces enfants te contredisent). Il vaudrait mieux que chaque enfant ait le même pouvoir de décision au sein du groupe, ça me paraît plus équitable et ça montrera aux deux gamins qu'ils évoluent en collectivité, avec les règles que ça suppose. Parfois, les enfants "terribles" le sont à cause de choses toutes simples : - incapacité à rentrer en relation avec les autres - manque de confiance en l'équipe d'animation - difficulté à supporter la frustration - etc... Il vaut mieux agir sur ces leviers, ils ont parfois plus d'efficacité. Ca demande un travail préalable : savoir ce qu'on attend de l'enfant en terme d'amélioration du comportement (ça, c'est à voir au sein de ton équipe) et définir précisément quels actes il faut sanctionner (pour la cohérence du travail adulte).
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A La Recherche De Films Sur L'animation
Quentin a répondu à un topic de tonia-tong dans Moi j'ai vu...
Autre ajout à la liste de films traitant des colonies de vacances : Le Petit Bougnat, de Bernard Toublan-Michel (1969) Bougnat, surnommé ainsi car il vient de Clermont-Ferrand, vit à Sarcelles et rêve de partir en colonie de vacances. Mais le jour du départ, il s'aperçoit que sa mère a oublié de l'inscrire et désespéré, cherche un moyen de s'intégrer au groupe. En revanche, Rose refuse de rejoindre les autres gosses, fugue et se réfugie sur un toit avant d'être mise dans le car. Bougnat trouve un subterfuge : il change de nom, saute dans un train, se fait passer pour un enfant perdu et se fait ramener à la colonie... Dispo en DVD zone 2 (l'occasion également de voir les débuts d'Isabelle Adjani au cinéma !) MODERATIONFilm ajouté à la banque de média. Olivier. -
Directeurs Animateurs Stop Abus Pétition
Quentin a répondu à un topic de C2soleilpeti dans Le défouloir
C'est très bien de te décerner ce satisfecit, mais il reste que nous avons été plusieurs sur ce forum à faire part de certaines réserves sur ta démarche, ou tout au moins à demander des précisions... Plus tu éludes les questions, plus je trouve ta démarche bancale. C'est quand même un comble que quelqu'un qui lance une pétition ne soit pas capable de répondre à des questions simples ! L'orthographe n'est pas le pire, c'est surtout l'expression qui est catastrophique. On ne te comprend pas, ta pétition est mal rédigée et ne donne pas envie d'être lue... Je n'ose pas croire un instant que ce torchon sera envoyé au ministère. Quant aux près de 200 signatures que tu as recueillies, je n'y vois qu'une explication : elles sont été signées par des gens qui approuvent ta démarche sur le fond (un meilleur salaire et une meilleure reconnaissance), sans se pencher sur le texte en lui-même (cf. notamment les commentaires laissés par tes signataires !) Dernière question : à partir de combien de signataires considèreras-tu que ta pétition aura suffisamment de poids pour être transmise au ministère ? Car sans vouloir t'alarmer, la pétition pour le maintien du transport des vélos dans les TER Strasbourg-Bâle aux heures de pointe, avec plus de 400 signataires, semble bien mieux partie que celle-ci... :D -
A La Recherche De Films Sur L'animation
Quentin a répondu à un topic de tonia-tong dans Moi j'ai vu...
Salut ! Quelques ajouts à la liste de films : "Les joyeuses colonies de vacances", de Michel Gérard (1979) Le film a été descendu par la critique à sa sortie. C'est une sorte de "Nos jours heureux" avant l'heure, avec notamment des histoires de coeur entre anims ! Introuvable en France, je l'ai commandé en import aux Etats-Unis (pas encore reçu !). "Préparez vos mouchoirs", de Bertrand Blier (1978) Une histoire d'amour entre trois adultes, envoyés comme moniteurs en colonie de vacances. La femme du trio, Solange, y fait la rencontre de Christian, un surdoué de 13 ans qui ne la laisse pas insensible. La colo ne constitue pas le cadre principal du film mais de nombreuses scènes y sont tournées. Antoine chef de bande, d'André Turbat (1948) Ce film retrace la vie d'une patrouille de scouts orléanais. Il a été tourné avec des acteurs non professionnels, issus du mouvement scout. En noir et blanc. Epuisé en France mais trouvable en DVD zone 1 aux Etats-Unis. Par ailleurs, dans le cadre d'un projet plus vaste d'archivage de documents traitant des colonies de vacances (films, documentaires, photos, etc) et dans lequel pourrait être fondu l'album "Rétro colo", je suis en train de rassembler des films amateurs anciens. Il y a dedans quelques perles qui montrent le déroulement d'une journée en colo dans les années 50. Ce sont des films tournés en 16mm que je compte numériser prochainement, avant de les rendre disponibles sur Internet. -
Ta place est à définir avec ton directeur : tu peux être AS à part entière (surtout valable pour les colos importantes), ou anim et AS. Dans ce dernier cas, attention : la gestion de l'infirmerie ne doit pas être une charge en plus dans la journée. Tu dois demander à être déchargée de certains temps d'animation pour t'occuper de l'infirmerie. En 2005, j'étais directeur adjoint sur une colo dont une anim occupait en parallèle les fonctions d'AS. En cas d'enfant malade, c'était la direction qui l'emmenait chez le toubib, l'AS restant dispo au centre. En règle général, les blessures simples (écorchures, coupures, etc) sont traitées directement par les anims avec leurs trousses de secours, sans passer par l'AS (sinon, ton infirmerie serait comme les caisses d'Auchan aux heures de pointe) :D Il n'y a pas d'obligation légale à tenir une permanence, c'est à voir avec ton directeur. C'est toutefois préférable, notamment en fin de journée où les enfants reviennent avec des corps mutilés (pansements à refaire, pîqures de moustiques qui grattent, etc). L'avantage de la faire en soirée, c'est que bien souvent les enfants viennent te confier leurs soucis (moral, amour, etc) plus facilement qu'en journée.
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J'ai le sentiment que les animateurs ne connaissent pas tous leurs droits, et les recours possibles en cas d'infraction de leurs employeurs. Cela s'explique : les colos sont souvent la première expérience salariée, et beaucoup ne se voient pas déposer des recours contre leur organisateur de peur de se griller par la suite. Peut-être faudrait-il faire un topo en BAFA sur les abus possibles et les moyens de recours...
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Euh Isa... le coup de donner 20 centimes aux enfants, c'était de l'ironie :D Il va de soi qu'on ne rémunère pas les enfants pour des services rendus à la colo, et encore moins pour réparer leurs erreurs.
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Ce p'tit mot là aussi est joli :D C'est l'île d'Yeu !
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Je relance ce vieux sujet en raison d'une histoire qui vient de me tomber dessus, et qui remonte à un séjour dont j'étais le directeur adjoint il y a quelques années. Mon ancien organisateur a reçu un appel de la gendarmerie il y a quelques jours pour l'informer qu'un enfant ayant participé au séjour s'était plaint d'un viol par un garçon plus âgé que lui. Les circonstances restent floues d'autant que les faits viennent d'être portés à la connaissance des autorités, par le biais du 119. L'agresseur (14 ans à l'époque) l'aurait contraint une première fois à lui faire une fellation mais l'enfant avait refusé. La seconde fois, quelques jours après, il n'aurait pas eu le choix. L'enquête est en cours, l'enfant victime étant incapable de décrire son agresseur. Comme toujours dans ces cas-là, personne n'a rien vu ni entendu... Et comme toujours, l'équipe d'animation n'a rien soupçonné. Des moyens avaient été mis en place pour éviter cela : outre la séparation obligatoire des chambres entre garçons et filles, les enfants étaient regroupés par âge dans les chambres, les plus grands dormaient dans un couloir différent des plus petits (à l'origine, c'était surtout parce que les plus grands se couchaient plus tard...) et un anim effectuait une ronde tous les soirs durant une heure, lors de l'endormissement. Peut-on mettre en place des moyens supplémentaires ? Il me semble malheureusement que l'enfant qui veut passer à l'acte le fera, quelles que soient les barrières éventuelles.
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Directeurs Animateurs Stop Abus Pétition
Quentin a répondu à un topic de C2soleilpeti dans Le défouloir
Lorsqu'on se plaint de son salaire en colo, on oublie bien souvent de compter les avantages en nature, qui ne sont pas négligeables : - repas matin, midi et soir d'un prix avoisinant les 7 euros/jour - hébergement au prix moyen de 6 euros/nuitée - blanchissage du linge Ce qui fait qu'un animateur payé 25 euros net/jour gagne en réalité 38 euros net/jour (soit tout proche de tes revendications). A cela, on peut ajouter les frais de formation BAFA ou BAFD : en effet, de nombreux organismes paient tout ou partie de ces formations aux animateurs ou directeurs. Pour ma part, un organisme m'a payé mon base BAFD d'un prix de 607 euros, sans aucune contrepartie si ce n'est d'assurer une direction avec eux. Cette direction d'un mois m'a été payée 1100 euros, ce qui est effectivement peu si on inclut dans ce chiffre les responsabilités occasionnées par la fonction. Mais si tu ajoutes les frais de formation BAFD, ce salaire est très satisfaisant. Pour revenir à la pétition que tu as lancée, je ne la signerai pas car je suis en désaccord avec certains points : - "toujours plus de responsabilités" : y en a-t-il vraiment plus qu'auparavant ? Certes, la société s'est judiciarisée, les parents sont parfois plus procéduriers qu'il y a quelques années mais je ne considère pas que nous ayons plus de responsabilités sur nos épaules. Ou alors, il faudrait distinguer les responsabilités (qui sont les mêmes qu'avant) des peines encourues en cas de défaut d'encadrement (qui se sont peut-être alourdies, à vérifier) - "toujours plus de tâches administratives" : les anims font de l'administratif ? Je l'ignorai... Quant aux directeurs, remplir un listing de présence et envoyer un fax à la DDJS n'a jamais été une incroyable charge de travail ! - "les organismes engrangent durant l'été" : des chiffres, des preuves ! As-tu pris en compte l'entretien des bâtiments, qui grève une large partie du budget des organismes ? -
Directeurs Animateurs Stop Abus Pétition
Quentin a répondu à un topic de C2soleilpeti dans Le défouloir
Désolé, ce n'est pas dans mes habitudes de signer une pétition quand je ne sais pas de qui elle émane. Es-tu affilié(e) à un syndicat, fais-tu partie d'un collectif, ou est-ce une pétition que tu as lancé de ta propre initiative ? Il faudrait avoir bien plus de renseignements... D'autre part, l'orthographe déplorable de la pétition et l'argumentation peu convaincante risque de ridiculiser le secteur de l'animation si jamais elle était transmise au ministère... Et toi qui te déclares organisateur de séjours dans ton profil, j'aimerai savoir ce que tu mets concrètement en place pour assurer un meilleur salaire à ton équipe... Lorsqu'on veut un meilleur salaire, on en discute d'abord avec son employeur avant d'accuser la convention collective. -
Je rejoins Laballe sur la nécessité de faire du directeur le seul interlocuteur des parents en colo. Non pas que les anims ne sachent pas s'y prendre... Mais il n'y a rien de plus insécurisant pour des parents déjà inquiets de voir qu'on se refile le bébé entre collègues. En multipliant les interlocuteurs pour les parents, on prend le risque de se contredire d'un anim à l'autre, ce qui est encore plus inquiétant. Cet été, il y avait dans mon centre une cabine téléphonique. Des anims croyant bien faire avaient pris l'habitude de prendre la suite de la communication quand un enfant venait d'appeler chez lui en larmes, pour rassurer aussitôt les parents. Je ne suis pas favorable par principe à ce système, qui déjà donne l'impression aux parents qu'on épie la conversation de leur enfant... De plus, j'ai eu un soir sur mon portable un appel d'une maman paniquée : sa fille lui téléphonait en larmes depuis trois jours, et en trois jours elle avait eu trois anims différents au téléphone, qui lui avaient tenu le même discours pour la rassurer. Sauf que la situation de sa fille allait en empirant. Cette mère, qui avait eu une première impression favorable après qu'un anim lui ait parlé au téléphone juste après sa fille, avait progressivement eu le sentiment qu'on lui tenait un discours formaté destiné à la rassurer. Quand vous avez trois personnes différentes au téléphone mais que le problème ne se règle pas, il y a de quoi s'inquiéter... Même si ça alourdit parfois notre travail, je préfère communiquer mon numéro de portable aux parents avant le séjour, ce qui permet de se poser en interlocuteur direct en cas de souci. N'oublions pas que les parents n'ont rien à faire d'une boîte vocale "Allô colo" en cas de problème, ni du numéro du siège de l'organisateur fermé pendant les vacances...
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J'ai eu aussi trois désistements le mois dernier, ce qui fait que j'ai sérieusement remis en cause ma façon de gérer les embauches. Il faut reconnaître que ces trois anims avaient été engagés par téléphone (ce que je n'aime pas faire) et dans l'urgence, le nombre d'inscrits ayant subitement augmenté à quelques jours du début du centre. Les anims que j'avais recontré de visu lors d'un entretien d'embauche n'ont pas fait faux-bond, eux. Y a-t-il un lien de cause à effet ? J-2 du début du centre, 14h : Une anim m'appelle, la voix éteinte, comme si elle était à l'agonie, et m'annonce "une grave maladie" qui va l'empêcher de participer au centre. Deux jours avant, je lui avais envoyé un mail un peu sec dans lequel j'avais refusé l'une des veillées qu'elle voulait mettre en place pendant le séjour. Est-ce lié ? J-2 du début du centre, 20h : Je n'ai toujours pas de nouvelles d'un anim que j'avais engagé, et qui devait me renvoyer son contrat. Je l'appelle à 20h, flairant le mauvais coup. "Ouais attends, j't'entends pas, j'suis en veillée boum là... J'te rappelle". Evidemment, il n'a jamais rappelé mais j'avais pris les devants... J-1 du début du centre, 14h : Un anim, lui aussi recruté quelques jours avant, devait venir au centre par ses propres moyens, frais de transport remboursés. Afin de savoir combien de repas il faut préparer en cuisine pour le soir, je l'appelle pour savoir s'il arrivera avant ou après-manger. "Euh... T'as pas reçu mon mail ?" Non, je n'avais plus de connexion Internet depuis 2 jours... Là, il m'annonce qu'il a eu une offre qu'il ne pouvait pas refuser avec embauche immédiate. Louche... Alors maintenant, je demande systématiquement des justificatifs en cas de désistement. Arrêt maladie, certificat de décès, etc... Tant pis si je passe pour un tyran si la cause du désistement est réelle ! Comme ça a été dit plus haut, il n'y aucun moyen de pression tant que le contrat n'a pas commencé... A part les houspiller au téléphone pour décharger l'angoisse, que faire d'autre ? Demander une caution comme pour un logement ? :D Avant, je pensais qu'on postulait à un job sur ses dates de disponibilité... Je m'aperçois en fait qu'il y a pas mal de gens qui font se chevaucher des contrats pour être sûr d'être payé en continu, qu'il y en a d'autres qui candidatent "pour voir", etc. C'est hallucinant... Et quand ils t'appellent, ils te disent tous, comme un refrain : "J'suis désolé de te mettre dans la merde". Evidemment, ces désistements se sont gérés. Une anim qui vient de Brest, l'autre de Clermont-Ferrand, bref des aventuriers qui préparent leur sac sitôt que je leur ai dit oui au téléphone, ça existe encore. Merci à eux s'ils se reconnaissent. Mais justement, le problème, c'est que ces difficultés se gèrent. Les anims qui te lâchent sans crier gare restent persuadés que leur absence n'est pas si grave que ça, et n'ont aucun scrupule à le faire. Pour les directeurs, c'est retour à la case départ (se retrouver à recruter alors qu'on préparait l'accueil des enfants, c'est une cata), un budget déjà amputé (parce que ces anims renforts, il faut bien leur rembourser le transport), et une bonne dose de stress (dans Nos Jours Heureux, il manque encore la scène du directeur qui craque dans son bureau pour que la caricature soit complète !). Voilà, je lance donc un SOS aux directeurs qui auraient des astuces pour conserver intacte leur équipe patiemment recrutée...
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Je dispose d'une sauvegarde de l'intégralité des textes et photos de mon album, qui seront remis en ligne dès que j'aurai du temps (c'est-à-dire pas tout de suite, plutôt vers novembre/décembre).
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Salut Animim, Entre 12 et 14 ans, tu es à une période charnière où certains ne seront pas encore entrés dans l'adolescence alors que d'autres la débuteront. Le piège est souvent de grandir artificiellement les enfants... Pour moi, à 12 ans, on n'est pas ado. Comme Laballe, je pense que les enfants partiront au quart de tour sur un imaginaire approprié à leur âge. Une enquête policière bien ficelée, qui trouverait ses prolongements dans les activités sportives (ex : la rando VTT est l'occasion d'aller chercher des indices planqués la veille par les anims), a toutes les chances de fonctionner. A cet âge, les enfants seront attirés par un imaginaire collé à la réalité : mieux vaut donc ancrer ton enquête policière dans un contexte contemporain, tout en utilisant les dolmens et autres vestiges anciens (à relier à des phénomènes paranormaux, c'est une piste...)
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Il y a toujours une certaine déformation de la réalité lorsqu'un enfant appelle ses parents, qui peut aller dans les deux extrêmes inverses : soit le gamin dit que tout est génial car il sent l'angoisse de ses parents et veut les rassurer, soit il dresse un tableau noir du centre... Dans le dernier cas, une bonne discussion entre les parents et la direction suffit parfois à replacer certains événements dans leur contexte. En l'occurence, si tu as constaté que les enfants jetaient des papiers par terre, il est logique qu'ils les ramassent après. Tout dépend comment la sanction a été infligée... La déformation de la réalité, l'éloignement, la séparation mal vécue... font que les parents prendront souvent fait et cause pour leurs enfants, et c'est une réaction normale. S'ils sentent que leurs enfants vivent mal leur séjour, ils auront tendance à accabler l'équipe d'animation de tous les maux. Il faut aussi accepter que les parents déchargent leur trop-plein d'angoisse, même si ça se fait de manière maladroite comme dans ton cas. Par la suite, une franche discussion améliore généralement la situation, je l'ai encore constaté cet été.
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CLUSES (Haute Savoie), 12 août 2007 (AFP) - Un adolescent de 12 ans et un moniteur sont morts noyés et une monitrice a été grièvement blessée dans un accident de canyoning, dimanche matin, au canyon Balmes, sur la commune de Maglan, près de de Cluses (Haute-Savoie), a-t-on appris auprès des gendarmes. (...) La victime, qui était dans l'eau alors que les autres étaient encore sur la rive, "a passé le premier toboggan et a été aussitôt emportée par les flots" et s'est noyé. Un moniteur s'est immédiatement jeté à l'eau pour tenter de le rattraper et a été, lui aussi, emporté par le courant et s'est noyé à son tour, a expliqué le capitaine Alain Maury, du centre opérationnel de Haute-Savoie. La seconde monitrice, âgée de 24 ans, s'est alors jetée à l'eau mais n'a pas pu atteindre les deux victimes. Elle même en difficulté dans les flots, elle a pu être repêchée par les sauveteurs et a été hospitalisée "dans un état sérieux" à l'hôpital d'Annecy. (...) Huit plongeurs de la gendarmerie et des pompiers ont été dépêchés sur place et ont pu récupérer les corps des deux victimes. Il s'agit de Yannick Chassaing, 39 ans, moniteur dans un centre de vacances de Choisy-le-Roy (Hauts-de-Seine). L'identité de l'adolescent, originaire d'Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) n'a pas été divulguée, ses parents n'ayant pas encore été prévenus. (...) nd/jeb/sh AFP le 12/08/2007 18:13:00
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Si tu n'as pas de contrat de travail, tu peux alors partir sans même donner de préavis. Cependant, tu ne pourras prétendre à aucune indemnité ni salaire, sachant que tu as travaillé au noir. Avant de démissionner, vérifie cependant que l'organisateur n'a pas signé le contrat entre-temps : il arrive parfois que les organisateurs tardent à renvoyer le contrat, alors que la procédure de déclaration d'embauche a bien été effectuée dans les temps. Bon courage
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Léonie, peux-tu m'envoyer le fichier par MP depuis les forums, j'essaierai de le mettre en ligne après ?
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Salut, Certaines DDJS fournissent une attestation prouvant que tu as bien décroché ton BAFA. Renseigne-toi auprès de la tienne.
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Peut-on Passer Le Stage De Perf Avec Un Autre Organisme Que Le Stage T
Quentin a répondu à un sujet dans Discussion générale
Salut Coco ! Aucun souci, tu es libre de changer d'organisme en cours de formation BAFA. Bonne continuation -
Motivation Et Temps De Préparation De L'équipe D'anim
Quentin a répondu à un topic de laballe dans Forum des situations
Pour faire écho à ce que tu disais dans une autre partie de ton post, on ne fait pas souvent en BAFA un topo sur l'évacuation des enfants en cas d'incendie, ni sur la composition d'une trousse pharma... Il y a des choses qui s'apprennent au fur et à mesure, à condition que les animateurs soient épaulés dans leur apprentissage. C'est peut-être là le problème : il y a beaucoup d'anims stagiaires qui sont balancés dans le grand bain sans aucune aide... Parce qu'il y a certains directeurs pour lesquels la préparation d'un centre ne concerne que les activités, pas le fonctionnement général. C'est, au choix, que l'organisation actuelle tourne et qu'elle ne ressent pas la nécessité de la remettre en cause, ou qu'elle l'a définie elle-même sans en référer à l'équipe. C'est tellement plus simple de ne pas laisser la possibilité aux anims d'amender le projet pédagogique !