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Tout ce qui a été posté par Quentin
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Patou, j'aimerais bien comprendre quelle place occupe l'adulte dans ton centre... Tu parles d'auto-gestion, mais elle ne peut être effective qu'à partir du moment où les adultes ont disparu du centre. C'est con à dire, mais un anim aura pleinement réussi son boulot le jour où il ne sera plus utile à l'enfant. En quelque sorte, les anims travaillent donc à leur propre perte. Or, il y a bien une équipe d'adultes qui est présente sur ton centre. Sont-ils prêts à tout accepter de la part des enfants ? Ou bien, comme à l'ONU, y'en a qui ont un droit de veto ? Comme Jean, je me pose la question de l'utilisation de la liberté une fois qu'on la met dans les mains d'un enfant. Je ne dis pas que ça va forcément virer à l'anarchie, mais je m'interroge sur la pertinence de l'auto-gestion quand les enfants n'ont pas tous les outils en main pour l'apprécier pleinement. Je m'explique : 1/ Choisir un fonctionnement plutôt qu'un autre, ça demande déjà d'avoir de fantastiques capacités de mentalisation pour un enfant. Tous les enfants n'ont pas la possibilité de peser le pour et le contre de telle ou telle organisation d'un ACM avant de l'avoir vécue. 2/ Pour choisir un fonctionnement collectif, il faut argumenter. Or (ça va faire vieille France ce que je dis, mais je m'en fous), je trouve que les enfants n'ont pas un lexique de mots très développé. Souvent, lorsque je mène une discussion collective avec des enfants, il y en a qui prennent la parole puis subitement s'arrêtent : "J'arrive pas à expliquer". Ils ont l'idée, mais pas les mots. 3/ Je reste persuadé de la plus-value éducative qu'un adulte peut apporter dans un ACM. Les enfants attendent de leurs animateurs qu'ils leur ouvrent le champ des possibles : ça veut dire notamment proposer de nouvelles activités. L'animateur doit rester force de proposition, ce qui ne l'empêche pas de garder une oreille attentive aux souhaits des enfants. Il faut sans cesse rebondir sur ce que font ou disent les enfants, ou même ne disent pas. Ex : pendant une balade en forêt, des enfants ramassent de grands bâtons pour s'aider à marcher. L'animateur qui perçoit ce lien presque affectif au bâton proposera aux enfants de le personnaliser : graver leur nom dedans, le tailler, le peindre, le vernir, etc. C'est dans les demandes non formulées des enfants que se trouve le plus grand vivier d'activités.
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25/03/2007 : - création de l'album photos "Ketchup mayo" (photos de repas en plein air et de pique-niques) - ajout de 10 nouvelles photos dans la série "Ketchup mayo" Accès à l'album photos
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C Quoi Pour Vous Le Livre D'animation Reve?
Quentin a répondu à un topic de arielis dans Discussion générale
Un livre d'animation qui traite de péda, ce serait pas mal... Des conseils pratiques sur la méthodologie de projet, savoir fixer des objectifs éducatifs, etc. C'est souvent ce qui manque en colo. -
Ca te fait un repas à 1,75 euro/rationnaire, c'est limite si tu comptes dans cette somme la vaisselle plastique et le raccordement électricité du camping. Sans cela, c'est jouable mais les courses seront faites chez Lidl ! Que veux-tu dire ? Tu as un budget mini-camp spécifique ? Fais attention à ne pas viser le moins cher à tout prix, car c'est aussi là que tu risques d'avoir des voisins campeurs pas terribles... Plus que le prix, c'est surtout l'emplacement qu'il faut que tu négocies avec le camping : privilégie un coin à l'écart, si possible pas à côté d'un autre groupe (rivalité), ombragé de préférence, avec les sanitaires proches. Les parents ne vont pas tiquer... Ils savent pertinemment que des journées avec nuitées coûtent plus cher que des journées sans hébergement. Je prends le pari qu'ils seront prêts à payer plus, si justement tu leur proposes un camping milieu de gamme au lieu du moins cher.
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Salut à toi, camarade ! J'étais justement à Colmar il y a une heure... le monde est petit :wink:
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D'accord avec toi si tu es à la recherche d'un profil précis, mais si tu n'as pas de critères déterminants dans ta recherche d'anims, le CV n'a pas grande utilité. Sauf, comme l'a dit Esther, pour vérifier les classiques BAFA, AFPS, etc. Si les lettres de motiv sont sans suprise, pourquoi continuer à en demander ? Au contraire, il faut que la lettre fasse ressortir des points importants concernant le projet du séjour, une réflexion sur le positionnement en tant qu'anim, etc. Perso, je base l'entretien à plus de 50% autour de ce qui a été écrit dans la lettre : ça permet notamment de creuser la motivation de l'anim (et donc de vérifier si ce qu'il a écrit était du pipeau ou non).
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Salut Maïté, Ton plan est cohérent, pas de souci. Tu peux éventuellement ajouter une partie concernant les relations extérieures (avec les parents, les prestataires, l'organisateur). Dans la partie concernant l'évaluation, tu peux également inclure un sous-chapitre sur l'évaluation des animateurs, qui viendrait en écho de la partie III / 3. Mais c'est de l'optionnel, car il ne faut pas noyer ton propos non plus... Oui, passe-le plutôt en annexe, car tu n'es pas directement responsable, en tant que directrice, du taux de remplissage du séjour. Ce n'est donc pas en lien avec ta fonction, mais cela peut fournir un élément d'info intéressant en annexe. L'analyse est permanente, il n'y a pas de partie spécifique à lui consacrer. Comme l'a dit Kams, ton rapport est basé, dans chaque partie, sur le triptyque : constat > analyse > remédiation, que tu dois avoir à l'esprit tout au long de l'écriture.
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Salut ! Je ne reviendrai pas sur ce qu'ont dit Esther et Clément : tu as encore largement le temps ! Un conseil : cible d'abord ta recherche au niveau local. Pour ma part, je recrute toujours mon équipe dans la région où j'habite, ce qui me permet de réunir les anims très facilement pour les réunions d'avant-séjour. Pour cela, regarde dans l'annuaire à la rubrique "Centres de vacances et de loisirs" et passe des coups de fil pour obtenir les coordonnées des directeurs de l'été. Tu verras que c'est bien plus efficace que de répondre aux annonces (mais continue à les regarder, car il y a sûrement des séjours intéressants et ça doublera tes chances). Pour revenir à ce que disait Clément, je ne suis pas certain que les directeurs soient particulièrement attentifs au CV. Pour moi, c'est surtout la lettre de motivation qui fait la différence.
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Ce que tu as vécu en BAFA, c'est probablement ce que vivront tes animateurs lors des premières heures de ton centre : beaucoup ne se connaîtront pas et devront apprendre à le faire au cours du séjour. Trouver sa place dans un groupe n'est pas évident, que ce soit en formation ou lors d'un centre... Attention ! Dans une formation, on n'est pas jugé mais évalué. La différence à son importance : l'évaluation en BAFD, c'est un avis rendu à un moment T sur tes capacités à diriger un centre. Ce n'est pas un avis définitif sur ta personne. Pour continuer sur la comparaison avec un centre, c'est aussi ce que tu devras faire avec tes animateurs : avec un stagiaire pratique, tu devras porter une évaluation en fin de séjour. Et pour ça, tu devras l'observer au cours du centre. Fabien a déjà dit beaucoup de choses sur la formation. Tu peux également passer des coups de fil à des organismes de formation pour qu'ils te renseignent sur les contenus. Mais je ne comprends pas très bien pourquoi tu veux te lancer dans une formation BAFD si tu ne sais pas ce que tu vas y faire...
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Salut ! Non, en général, les organisateurs ne paient pas le temps passé à préparer le séjour. Plusieurs raisons à cela : - il est tacitement prévu que les directeurs ne soient pas payés pour la préparation. OK, ce n'est écrit nulle part, mais un organisateur ferait une drôle de tête si tu lui demandais à être rémunérée. Pour beaucoup, la préparation d'un séjour relève, au choix, d'une forme de militantisme ou de bénévolat. - un organisateur préferera toujours rémunérer un directeur lors de journées de travail effectives, plutôt que de payer une heure par-ci, et une heure par-là. - pour être payée lors de la prépa du séjour, il faudrait que tu déclares sur l'honneur des heures de travail que ton employeur n'a aucun moyen de vérifier, puisque la préparation d'un séjour se déroule à distance. Je n'ai pas encore jamais croisé d'organisateur qui fassent confiance à ce point :D
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Salut Emilia, Se lâcher demande d'avoir une certaine confiance, que tu n'avais peut-être pas encore acquise à l'issue du stage BAFA. Certains animateurs, une fois leur BAFA en poche, continuent d'être prudents dans leurs animations (en les cadrant énormément, en suivant une sorte de feuille de route, etc) et ont eux aussi l'impression de ne pas se lâcher. Pourtant, un animateur qui ne part pas systématiquement dans des délires n'est pas mauvais... On a souvent cette image de l'anim qui fait rire les enfants, qui improvise en permanence, qui ne se prend pas au sérieux. Cette image, sans être erronée, n'est pas commune à tous les anims. Les enfants aiment aussi des anims posés, car ils apportent une certaine sécurité affective. Tout est affaire de tempérament : on ne te demande pas de te transformer pour être anim, mais bien de garder ton caractère. Plus à l'aise, pas forcément... En stage pratique, tu bosses sans filet alors qu'en base, tu étais accompagnée des formateurs. Certes, ton directeur et tes collègues joueront ce rôle, mais ne seront pas systématiquement à tes côtés lors de tes animations pour "rattraper le coup". Il y a donc un peu de stress lorsqu'on anime en colo, et c'est bien normal... Plus performant, oui. On s'améliore à force d'animer... et de commettre des erreurs ! Tu auras des animations qui vont foirer, c'est probable. Mais ce sont les enseignements que tu vas tirer de ces erreurs qui vont te permettre de progresser. Ca paraît évident, mais on ne peut pas savoir d'instinct ce qui va marcher ou pas avec les enfants... Tout dépend de chacun, et notamment de ce que les formateurs t'ont dit à la fin de ton base BAFA. Ils t'ont sûrement donné des conseils, que tu devras avoir en tête lors de ton stage pratique.
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Plus précisément, qui t'a reproché d'être trop proche des enfants ? Est-ce la directrice ou des parents, voire des enfants ? Quels faits précis t'ont été reprochés ? Cela peut venir d'une mauvaise interprétation des mots de l'enfant. Les parents ont parfois tendance à traduire trop hâtivement les paroles de leur gamin, soupçonnant des faits d'attouchement. Les questions mêmes des parents peuvent induire les réponses de l'enfant, car quand il sent le malaise des parents, il a tendance à aller dans leur sens en fournissant les réponses attendues. Cela me semble trop radical. Commencer par un dialogue posé entre la mère et ta directrice peut permettre d'y voir plus clair. Quitter la structure reviendrait à faire de toi un coupable...
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08/03/2007 : - création de l'album photos "En plein air" - ajout de 13 nouvelles photos dans la série "En plein air" Accès à l'album photos
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Jean a posé une bonne question, mais personne ne répond : qu'entendez-vous précisément par autogestion (Patou, Fab ?). Car j'y vois deux sens possibles : - un centre dans lequel les enfants peuvent proposer des idées d'activités, mises en place ensuite par les anims, où la participation à telle ou telle activité est laissée à l'initiative des enfants. Bref, l'enfant se construit son programme plutôt que de suivre un programme établi par d'autres. L'autogestion ne concerne ici que les activités. - un centre dans lequel les enfants prennent en charge la gestion concrète du centre. A savoir : ils sont impliqués dans la composition des menus, définissent eux-mêmes des sanctions à appliquer, gèrent les finances du centre, etc. L'autogestion concerne ici tous les aspects du fonctionnement du centre. Je rejoins Jean quand il dit que les enfants ne pèsent pas assez les responsabilités. L'autogestion, quelle que soit la forme qu'elle prend, ne peut se faire qu'avec le soutien des adultes pour aider les enfants à prendre les bonnes décisions. Faire des choix, peser le pour et le contre, ça s'apprend, ça ne se décrète pas. Du coup, la question se pose : si les adultes sont présents, est-ce encore de l'autogestion ? Car ça devient alors facile d'orienter les enfants... Et puis, il ne faut pas oublier qu'il y a des enfants qui sont paniqués à l'idée de faire un choix. Choisir une possibilité, ça veut dire renconcer à une autre : il y a des enfants qui ne sont pas prêts à cela, et à qui un système où l'adulte décide pour eux convient tout à fait. Je balance ça pour faire un peu de provoc, mais bon : posons-nous la question de la pertinence de l'autogestion pour ces enfants là... Ce qui serait sympa, c'est que vous donniez des exemples pratiques d'autogestion afin qu'on puisse en débattre, sinon ça va vite partir en discours théorique :D
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Il n'y a pas une partie de ton BEATEP que tu peux faire valider ? Tu repasserais uniquement les UF manquantes dans ce cas. Je sais que ça se fait pour le BPJEPS, à voir si c'est aussi le cas pour le BEATEP... En ce qui concerne le BAFA, c'est sûr que ça va te paraître superficiel à côté du BEATEP. Certaines personnes seront probablement dans ton cas : elles doivent passer le BAFA parce que leur structure employeur le leur demande, afin de pérenniser un poste d'anim qu'elles occupent parfois depuis plusieurs années. Les projets montés en BAFA sont plus simples, on ne te demandera pas de scénario péda pour chaque activité comme ça a pu être le cas en BEATEP. Mais c'est aussi un autre versant de l'animation : le BAFA a l'avantage d'être uniquement axé autour du public enfants/ados, alors que ta formation a été généraliste. Cela va donc te permettre d'approfondir tes connaissances sur ce public. En tout cas, je te conseille de ne pas paraître suffisant lors de la formation... Cela pourrait jouer contre toi. Bon courage !
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Tu peux développer ce dernier point car il est intéressant : je suppose que tu as encadré des jeunes sur l'eau, tu peux donc en parler car cette expérience est différente de celle du jardin d'enfants (un directeur qui lit "canoë-kayak" traduit "prise en compte des normes de sécurité"). Tu peux supprimer la référence à ton stage de 3ème, car j'imagine qu'elle figure également dans ton CV. Ca permettra de te grandir ! N'hésite pas à préciser ce que tu as fait concrètement en jardin d'enfants. Tu peux garder cette anecdote sous le coude pour l'entretien, dans le cas où le directeur te demande : "Vous dites que vous êtes à l'écoute, comment ça se traduit ?" (c'est important de garder des armes pour l'entretien). Je la retirerai donc de la lettre de motivation. Ce serait intéressant que tu relies les capacités imaginatives des enfants à ton projet théâtre. Ca t'évitera de dire simplement "j'aime voir leurs capacités..." OK pour le projet théâtre, prépare-toi à avoir plein de questions dessus en entretien ! Concernant le projet nature, ça reste flou : si même toi n'y vois pas clair, je te conseille de le retirer de la lettre. Un conseil concernant les projets d'animation : peut-être que ceux que tu développes ne correspondront pas à la thématique du séjour pour lequel tu postules. A moins de cibler des séjours théâtre et activités nature... Attention au mot "psychologie", beaucoup l'emploient sans trop savoir ce qu'il recouvre (bon, c'est mon côté anti-anims-qui-font-de-la-psycho-de-comptoir qui ressort... disons que les anims qui prétendent tout régler des problèmes de l'âme enfantine, je m'en méfie sérieusement). Plus simplement, tu pourrais dire : "Le stage de base m'a permis d'approfondir mes connaissances sur les besoins physiques, intellectuels et affectifs des enfants selon leur âge". C'est l'occasion de glisser juste après avec quelle tranche d'âge tu te sens à l'aise et pourquoi (ex : la curiosité manifestée par les 6-7 ans s'accorde avec un projet de découverte de la nature). Pour le reste, ça roule ! N'hésite pas à demander l'avis d'autres personnes autour de toi.
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Le raccourci est effectivement maladroit, mais se base sur l'étymologie du mot "pédophile", qui signifie bien "qui aime les enfants". Pour info, le terme de pédophile n'existait pas il y a encore 30 ans avant que les médias le préfèrent au terme pédérastie, qui évoque davantage les relations entre adultes. Fin de la parenthèse étymologique, sortons vite du glauque ! Comme l'a dit Jean, la lettre permet un premier tri des candidatures. Ce serait donc dommage de louper cette étape ! En BAFA aussi on m'avait sorti, études scientifiques à l'appui, que les recruteurs ne passaient pas plus de 20 secondes sur la lettre de motivation. La réalité est bien différente, les directeurs de colos ne sont pas des DRH : les directeurs que je connais lisent les lettres avec attention, d'autant qu'elles servent généralement de support au cours de l'entretien...
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Salut Lilinoun ! Et bienvenue sur les forums d'AnimNet ! Contrairement à des jobs plus classiques, il n'existe pas de lettre de motivation type dans l'animation. Comme c'est un milieu plutôt ouvert, toutes les fantaisies sont permises ! Néanmoins, quelques points importants : - évite le cirage de pompes (genre "Votre centre est magnifique et les enfants que vous accueillez sont tous très charmants" > rigole pas, c'est du déjà lu) - précise tes compétences en terme d'animation et les projets que tu te sens capable de mettre en place avec des enfants (on ne te demande pas décrire un projet d'animation de A à Z mais de lister quelques projets faisables, correspondant à la thématique du séjour) - n'hésite pas à parler des apports de ton stage de base, mais aussi à être critique (dépasse le stade du "C'était génial") - si l'organisateur propose plusieurs séjours, indique les séjours qui t'intéressent en priorité, et éventuellement les tranches d'âge sur lesquelles tu te sens plus à l'aise - précise clairement tes dates de disponibilité Tu peux rédiger un brouillon de cette lettre de motivation et la poster ensuite sur le forum si tu souhaites qu'on la corrige (profites d'avoir autant de directeurs sous la main !).
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Bah c'est plus simple de lire un sujet en entier pour savoir ce qui s'y dit... :D Tu aurais vu qu'on ne s'est pas incendié ! Dans l'animation, on croise des gens passionnés avec des valeurs qu'ils défendent très haut, c'est normal que par moment il y ait des discussions intenses, non ? Et puis, Jean est un modèle de calme !
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Stagiaires Bafa Pas Motivés Du Tout !
Quentin a répondu à un topic de Carine123 dans Les secrets des formateurs
Je ne regarde plus les appréciations du base BAFA au moment de recruter, peut-être parce qu'elles sont devenues si bateau qu'elles n'ont plus vraiment de signification. Ce sont souvent les mêmes qualificatifs qui reviennent ("dynamique", "motivé", etc), tellement dénués de sens qu'on ne peut pas les interpréter. Plus encore, je me méfie d'une appréciation portée par quelqu'un qui a peut-être des critères d'éval différents. Certains stagiaires s'inquiètent de savoir s'ils vont être engagés en stage pratique malgré une éval mitigée en base BAFA. Je leur dis souvent que cette appréciation n'est absolument pas rédhibitoire, car elle est une évaluation portée à un instant T de la formation du stagiaire. Les directeurs qui refuseraient d'engager des stagiaires à cause d'une éval mitigée oublient purement et simplement leur rôle de formateur... -
Attention à ne pas confondre ! "Débiles" ne veut pas dire que les enfants avaient un handicap mental mais qu'ils étaient fragiles physiquement. Cela vient du sens ancien du mot "débile", dont voici la signification :
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25/02/2007 : Nouvelle actualisation pour rattraper le retard dans les mises à jour. - ajout de 2 nouvelles photos dans la série "Va te laver !" - ajout de 4 nouvelles photos dans la série "Tous au bain" - ajout de 2 nouvelles photos dans la série "A table !" - ajout de 2 nouvelles photos dans la série "Extinction des feux" - correction de légendes incomplètes dans 3 séries Accès à l'album photos A venir dans les prochaines semaines : de nouvelles séries thématiques consacrées aux repas en plein air, aux goûters et aux anciennes activités des colos.
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24/02/2007 : - ajout d'une nouvelle photo dans la série "J'ai tombé" - ajout d'une nouvelle photo dans la série "Extinction des feux !" - ajout de 2 nouvelles photos dans la série "A table !" - ajout de 2 nouvelles photos dans la série "Va te laver !" - ajout de 2 nouvelles photos dans la série "Soigne ton corps" - suppression de l'album générique "Rétro colo" : toutes les photos sont désormais dispatchées dans des albums thématiques - correction des liens erronnés sur ce sujet du forum Accès à l'album photos
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Salut, Tu peux te renseigner auprès des organismes qui accueillent des stagiaires en formation BPJEPS Techniques de l'Information et de la Communication : ce n'est pas le BPJEPS le plus connu, mais il correspond tout à fait à ta recherche. Je pense qu'une offre d'emploi peut intéresser les stagiaires (en mon temps, ç'aurait été le cas !)
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Situation pas évidente que tu décris... La solution intermédiaire que tu peux employer, c'est simplement de faire écran entre la personne handicapée et les enfants en te mettant entre eux. Les enfants ressentiront un sentiment de sécurité (d'autant qu'ils te connaissent), et la personne handicapée s'en prendra à la limite à toi, mais plus aux enfants. Tu peux donc t'interposer entre les deux sans forcément être violent. Après, s'il s'en était pris physiquement aux enfants, je pense qu'une réaction immédiate se serait imposée. Pas forcément en étant violent (coups), mais en ceinturant fermement la personne handicapée. Et j'espère que tu n'aurais pas été le seul à intervenir dans le bus...