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Le Travail D'anim En Séjours De Découverte C'est Quoi?
Quentin a répondu à un topic de jean dans Forum des situations
Il faut distinguer deux types d'emploi d'animateurs en classes de découverte : les anims spécialisés et les anims vie quot. La dernière espèce est en voie de disparition : de plus en plus, les centres n'incluent plus dans leur prestation la mise à disposition d'un anim vie quot. Ce sont très souvent les parents accompagnateurs qui jouent ce rôle. Cette situation arrange tout le monde : le centre peut se passer d'un poste, et l'instit voit le coût de son séjour diminuer. Concernant les anims spécialisés, il y a de tout : parfois, un simple BAFA suffit à être embauché dans un centre de classe de mer. Mais est-on capable de gérer des animations sur le thème marin quand on a aucune connaissance ? Plus encore, un anim BAFA est-il apte à mener des séances qui ont plus à voir avec des apprentissages scolaires que des animations ? Normalement, c'est le rôle des instits mis à disposition d'établir le programme. Mais dans les faits, il arrive souvent que les animateurs BAFA soient livrés à eux-mêmes. Après, quand on a un BEATEP ou un BPJEPS avec une spé particulière, il est légitime de postuler dans ces centres. Mais le souci, c'est que les profils de poste n'intègrent pas qu'une compétence : un centre de classe de mer peut aussi proposer un séjour classe nature. Résultat : un anim qui a une spé liée au milieu marin doit parfois accepter de mener des animations nature pour pouvoir être embauché... Mais là encore, en a-t-il les compétences... et l'envie ? Pour ma part, je suis anim spécialisé multimédia et journalisme. Je suis aux 35h, même si dans les faits je me rapproche davantage des 40h. Qu'importe, les heures supp sont transformées en vacances : c'est ainsi que je bénéficie des vacances scolaires. Concernant mes horaires, ils tournent entre 9h-12h le matin et 14h-18h30 l'après-midi. Parfois, j'assure des veillées de 20h à 21h. Pour le moment, je suis sur un CDD reconductible en CDI. -
Tu tombes bien, je viens de terminer une semaine de classe de découverte sur le thème de la presse écrite, pendant laquelle les enfants (CM1) ont réalisé deux journaux. Au préalable, il est important de te poser la question du contenu du journal et de ses lecteurs. Si tu bosses en CLSH, il peut être intéressant d'utiliser le journal comme outil pour ouvrir la structure sur le quartier ou la ville : concrètement, il s'agit de réaliser des articles sur ce qu'il se passe autour du CLSH et non plus dans le CLSH. C'est en plus l'occasion de faire de multiples sorties pour des reportages, avec des gamins le stylo dans une main, le carnet dans l'autre, et l'appareil numérique en bandoulière ! L'objectif est donc double : à la fois tu enrichis les enfants en les ouvrant sur la vie de leur ville et d'autre part, tu fais connaître ta structure à la population en te déplaçant pour des reportages ou en distribuant le journal. Concernant les lecteurs justement, il faut que les enfants se posent la question suivante : à qui va être distribué/vendu le journal ? Souvent, le donner aux parents se révèle assez limité. Ca peut néanmoins être un bon point d'accroche pour impliquer les parents dans la vie du centre. Mais je te conseille d'aller au-delà et de viser une distribution dans le quartier de ta structure. Et plutôt que de déposer le journal chez des commerçants, rien ne vaut la bonne vente à la criée d'autrefois ! C'est l'occasion unique pour les enfants de rencontrer ceux qui les lisent ! C'est vraiment enrichissant pour les enfants d'avoir des retours sur les numéros déjà publiés. En ce qui concerne le logiciel à utiliser, il est possible de faire un journal "light" avec Word ou OpenOffice. Mais pas le peine d'espérer des choses grandioses avec ces deux logiciels (ce sont des traitements de texte, pas des logiciels de PAO). Le mieux est d'utiliser Scribus, logiciel libre de PAO, équivalent d'InDesign ou de QuarkXPress. Assez facile d'utilisation (les CM1 que j'avais cette semaine l'ont utilisé sans souci), il reste néanmoins puissant. Dès que j'ai le temps, je joins sur le forum un des numéros publiés, le temps d'effacer les photos et les noms des enfants (ils ont une autorisation de publication de leur photo sur le journal... mais pas sur Internet !)
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Interdiction De Fumer Dans Les Lieux Publics
Quentin a répondu à un topic de Olivier dans Discussion générale
C'est sûr que la méthode utilisée n'est pas la plus diplomatique... :D La récente loi exige simplement que les fumeurs aillent se griller leur clope en dehors du centre, rien de plus. Décréter que le tabac est non grata dans l'équipe, c'est encourir le risque de se mettre une partie de l'équipe à dos en allant plus loin qu'une loi qui est déjà contestée... La discussion autour des pauses doit inclure l'ensemble de l'équipe, fumeurs comme non fumeurs. Je ne suis pas du genre à imposer des temps de pause comptabilisés à chacun et préfère compter sur le bon sens des anims. Plutôt que de centrer la discussion sur le tabac, je pense qu'il est préférable de s'interroger sur les moments de repos qu'a le droit de s'accorder chaque anim, afin d'être efficace. C'est une façon de ne pas stigmatiser les fumeurs et d'éviter la guerre stérile entre les pro et les anti. -
Peut-être aurait-il fallu faire la mise au point avant le repas, qui est parfois source d'excitation (et plus encore s'il y a eu de l'agitation dans la journée). Ca aurait permis à l'équipe de reprendre la main assez vite et d'éviter d'écourter le repas. Peut-être que les activités proposées dans la journée n'étaient pas adaptées à un aussi grand groupe, ce qui a occasionné des débordements. Lorsqu'il y a autant d'agitation, il ne faut pas hésiter à casser la structure du groupe : on peut faire deux activités différentes, avec 20 enfants dans chaque petit groupe, et c'est tout de suite plus calme ! Quoiqu'il en soit, une mise au point s'imposait et tu as bien fait de la faire rapidement. Qu'a donné la discussion ?
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Mistral, une petite question : quand tu parles d'une cafétéria, s'agit-il du réfectoire du camp ou d'une cafétéria située en ville, à l'extérieur du centre ? (problème de correspondance du vocabulaire québecois/français). Lorsqu'un groupe refuse en bloc d'écouter, ça ressemble fort à une "mutinerie" : les enfants ou les ados peuvent vous en vouloir et tenter, en utilisant la force du groupe, de vous le faire payer. A mon sens, il faut crever l'abcès tout de suite et mettre sur le tapis ce qui ne va pas : le réfectoire, parce qu'il est un lieu où tout le monde est rassemblé, est sans doute un endroit plus propice à une mise au point que les chambres, où tu ne pourras pas discuter avec l'ensemble des jeunes. Cela dit, je trouve curieux que les enfants refusent d'écouter deux anims... Généralement, il ne font pas attention au sous-nombre de l'équipe. La parole d'un adulte, quel qu'il soit, doit normalement suffire à ramener le calme.
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Interdiction De Fumer Dans Les Lieux Publics
Quentin a répondu à un topic de Olivier dans Discussion générale
Si tu es devant le portail du centre, c'est bon... L'essentiel, c'est de pouvoir être joignable et intervenir rapidement s'il y a besoin. Ca ne pose donc aucun souci. Si nécessaire, tu peux t'arranger avec la directrice ou son adjoint(e) pour suppléer les anims lorsqu'ils prennent leur pause. Il y a des solutions pour respecter la loi sans pour autant rendre l'organisation ingérable. Souvent, les centres disposent de petites bâtisses attenantes (appart de fonction, maison du gardien, etc) : ces locaux, s'ils sont à usage privé, peuvent être utilisés pour fumer. Pour en revenir au sujet des pauses, notons ce fait terrible : sachant que les centres sont généralement entourés d'un parc, il faudra plus de temps à l'anim fumeur pour rejoindre la sortie du centre qu'il ne lui en fallait autrefois pour griller sa clope derrière un arbre... Voilà qui va raviver la guerre entre anims fumeurs et non fumeurs : "Non, moi j'ai le droit à une plus grande pause parce qu'il faut que je marche 500 mètres aller/retour pour fumer !" -
Et pourquoi la télé serait-elle une activité à pratiquer que lorsqu'on est crevé ? Où est le plaisir de regarder un film si on arrive même pas à rester éveillé ? Pour moi un enfant fatigué va se coucher, point. Ce n'est pas toujours nécessaire d'avoir une veillée tous les soirs (comme si les colos devaient suivre un programme à la lettre...).
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C'est surprenant de voir que le seul argument avancé par les "pro-gages", c'est qu'ils font rire les enfants. Si c'est votre seul critère de réussite d'une animation, alors il reste un bon bout de chemin à faire... Pourtant, l'idée de se racheter après une erreur est positive : l'enfant a la possibilité de ne pas rester sur son échec et de poursuivre le jeu. Mais la plupart du temps, les gages sont tellement déconnectés du jeu que les enfants ne tirent aucun mérite à les réussir : ainsi, on peut gagner à un quizz musical sans avoir répondu à aucune question mais simplement en ayant réussi tous les gages. Les gages vident alors le jeu de son intérêt en se substituant aux épreuves principales. Sans abandonner le principe du rachat, n'est-il pas plus simple de permettre aux enfants de participer à une seconde épreuve ou de répondre à une deuxième question en cas d'échec la première fois ? Dans ce cas, les épreuves ou les questions restent liées à la thématique du jeu, ce qui est d'autant mieux.
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Ce serait gênant si ton coin livres ne traitait que de ça :D Mais je ne vois pas où est le problème d'introduire quelques ouvrages d'éducation sexuelle à l'école... Ce n'est pas pour autant que les enfants vont se mettre à parler davantage de sexualité et ce n'est pas ça qui va "pervertir la jeunesse" (pour reprendre des arguments de certains conservateurs). Si ces enfants peuvent avoir une première connaissance de la sexualité par le biais de livres conçus pour eux plutôt que de films porno, c'est bien mieux ! NB : Par rapport à l'anecdote que je citais dans mon premier post, j'en ai une bien meilleure signée Simon, 4 ans, lors de la pause périscolaire de ce midi : "C'est un garçon et une fille qui prennent leur bain ensemble. A un moment, le garçon dit : "Eh, j'ai mis mon doigt dans ton nombril ! " La petite fille répond : "Mais c'est pas mon nombril !". Et le garçon de dire : "Bah c'était pas mon doigt non plus..."" Sacré Simon :wink:
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Ton post me rappelle quelque chose LetM ! La scène s'est passée vendredi dernier en classe de découverte avec des CM2, après la traditionnelle boum. Au moment où les enfants se couchent, Hugo me demande : "Mais pourquoi elles sont pas mixtes les chambres ici ?". Je lui parle de respect de l'intimité quand il m'arrête : "Non mais je l'ai déjà fait dans une chambre, hein... - T'as fait quoi Hugo ? - Bah, embrasser !" Tout ça pour dire que oui, la question passionne les enfants mais qu'ils n'y mettent pas les mêmes représentations que les adultes. Quand ils parlent de coucher avec une fille, ils ne font que se projeter dans ce qui les attend dans quelques années. La plupart du temps, ce n'est pas sérieux (ouf !). Discuter crûment de la sexualité, c'est aussi confronter ses représentations à celles des copains, une façon de vérifier qu'on s'en fait une idée juste. Pour répondre plus précisément à ta question, le CM2 correspond généralement à la fin de la période de latence. La masturbation commence chez certains, sera plus tardive pour d'autres. Rien d'anormal à ce que les enfants échangent sur leurs découvertes, même s'ils y mettent un langage souvent cru (en même temps, il faut bien appeler un chat un chat...). Comme l'a proposé Sonia, tu peux mettre un coin livres... même s'ils sont déjà nombreux à posséder chez eux leur "bible" sur le sujet (Titeuf, Le Guide du zizi sexuel)
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Le Journal des Enfants est un hebdo qui, comme les autres journaux type Mon Quotidien ou Les clés de l'actu, traite de l'actu nationale et internationale en version adaptée aux enfants. Il a une pagination plus importante que les autres titres (car eux sont quotidiens et comportent généralement 4 pages). Après, je ne considère pas qu'un titre est supérieur à l'autre : c'est tout aussi bien d'habituer les enfants à naviguer entre différents journaux pour qu'ils définissent eux-mêmes leur titre préféré plutôt que de leur imposer. Ce qu'il faut savoir, c'est que Le Petit Quotidien colle moins à l'actualité chaude, à l'inverse des Clés de l'actu Junior. Pour le Journal des Enfants, j'avais pu abonner le centre gratos cet été dans le cadre d'une offre découverte (3 semaines offertes). Pour prolonger l'abonnement, pas de secret, il faut payer ! Pour les titres de Playbac Presse, l'abonnement est bon marché : compte environ 5 euros le mois. Ce que j'avais fait l'été dernier, c'est que j'avais abonné le centre à 4 exemplaires par jour, ce qui m'était revenu à 20 euros pour le mois. Quand on y réfléchit, ça correspond à l'achat de 2 ou 3 bouquins pour enfants... L'avantage, c'est qu'avec 4 exemplaires par jour, le titre circule beaucoup plus entre les enfants.
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Le système de soleil/lune, après l'avoir utilisé pas mal de fois, ne me plaît pas vraiment. Je réfléchis comme Aurore à une alternative. Première solution, toute simple : un animateur circule dans les couloirs à partir du moment où la salle de réveil (ça fait hôpital...) est ouverte aux enfants. Il informe ceux qui se lèvent qu'ils peuvent rejoindre cette salle et vérifie qu'il n'y a pas de bruit dans les chambres. C'est une façon d'assurer une présence humaine plutôt que de recourir à des bouts de cartons scotchés aux portes. Deuxième solution : permettre aux enfants de savoir l'heure exacte et d'agir en conséquence. Avec des horloges digitales lumineuses apposées au bout de chaque couloir, chaque enfant peut savoir l'heure qu'il est. A lui de voir ensuite ce qu'il fait en fonction de l'heure : se recoucher, aller en salle de réveil, s'habiller pour aller prendre le petit déj... Un panneau présent près de l'horloge conseille les enfants : Si l'horloge est : - entre 22h00 et 0h00 : si tu n'arrives pas du tout à t'endormir, tu peux aller voir tes animateurs en salle de réunion. - entre 0h00 et 6h00 : c'est la nuit ! Recouche-toi, tu peux encore faire de beaux rêves ! - entre 6h00 et 8h00 : si tu es encore fatigué, tu peux te recoucher ! Sinon, tu peux aller en salle de lecture sans faire de bruit - il est plus de 8h00 : tu peux t'habiller pour prendre le petit déjeuner Je réfléchis également à la possibilité de supprimer ce panneau pour que les enfants décident eux-mêmes de ce qu'ils font, ce qui implique toutefois de faire un travail préalable autour de l'heure. On l'oublie parfois, mais apprendre à lire l'heure en colo, c'est une vraie activité ! A partir de là, on peut laisser les enfants gérer leur rythme comme ils le souhaitent. Par ailleurs, j'envisage aussi (ne criez pas tout de suite !) de laisser l'accès à la salle de lecture/jeux à toute heure de la nuit, y compris sans la présence d'un adulte. Je me souviens que gamin, quand je n'arrivais pas à me rendormir, je ressortais mes petites voitures pour jouer 20 minutes et je me rendormais après. J'aimerai bien pouvoir transposer ça en colo, en expliquant bien sûr très précisément le fonctionnement aux enfants. D'après mes souvenirs d'enfance, bouquiner ou jouer m'a toujours aidé à me rendormir après un cauchemar. Quitter la chambre est un bon moyen d'évacuer l'angoisse pour ceux qui ont fait des cauchemars ou de se changer les idées pour ceux qui n'arrivent pas à trouver le sommeil.
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Les Inspections Jeunesse Et Sports
Quentin a répondu à un topic de tonia-tong dans Le bureau du dirlo
J'ai demandé une inspection l'été dernier mais Jeunesse et Sports ne s'est pas déplacé... J'ai par contre eu l'occasion de discuter avec un inspecteur JS, vu en dehors d'un centre. Pour lui, les points examinés varient fortement d'un inspecteur à l'autre : certains sont très attentifs à l'état des locaux, d'autres à toutes les mesures de sécurité, certains sont vigilants sur la formation du personnel (animation + technique), d'autres encore se penchent surtout sur le projet péda... Peut-être que l'impression générale à l'arrivée joue sur la suite de la visite : si l'inspecteur constate d'emblée que le centre a l'air délabré, il axera sa visite là-dessus... Voir aussi ce document JS, page 37. -
21/01/2007 : Ajout de 11 nouvelles photos dans la série "Tous au bain", consacrée aux baignades en colonie de vacances. Ajout de 6 nouvelles photos dans la série "J'ai tombé", consacrée aux soins prodigués aux enfants en colonie de vacances. Ajout de 3 nouvelles photos dans la série "Va te laver !" Accès à l'album photos Suite à une proposition d'Olivier, chaque série de photos fait désormais l'objet d'un album spécifique afin de mieux vous y retrouver. L'album "Rétro colo" contient encore des photos que je vais dispatcher cette semaine dans différents albums. Merci de votre patience...
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Pour trouver des brochures adaptées, tu peux faire un tour dans les CCAS, les foyers de jeunes, les MJC, dans les mutuelles étudiantes, la CPAM ou encore les foyers de jeunes travailleurs. Vois aussi du côté de l'INPES ce que tu peux trouver, je crois me souvenir qu'ils envoient des affiches et des brochures sur simple demande.
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Petit retard dans la mise à jour : deux nouvelles séries de 20 photos chacune sont prévues ce week-end. Désolé pour le contretemps !
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Ca devait pas leur suffire de payer des adwords dans Google et d'avoir une bannière quasi permanente dans un autre site d'animation... Les "nouvelles colos" dont parlait dans une interview Olivier Nakache, l'un des réalisateurs, ce serait donc seulement Aventure Scientifique qui les proposerait ?!? :malade:
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Un ancien post sur ce thème (tu avais déjà des idées !)
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Les Nuitées Sur Un Accueil De Loisirs
Quentin a répondu à un topic de tonia-tong dans Discussion générale
J'adore les chefs qui prétendent que c'est très long de monter un dossier, et qui arrivent finalement à le remplir en quelques heures :D C'est tellement facile de se réfugier derrière la lourdeur administrative ! En tout cas, c'est une bonne nouvelle ! -
"Je me lance dans une formation BAFA parce que j'aime bien les enfants", c'était aussi ma motivation quand j'ai commencé. Je ne pense pas pour autant que c'était négatif. C'était un premier point d'appui pour les formateurs, qui m'ont ensuite aidé à traduire cette motivation en actes. Moins motivés, qu'avant les stagiaires ? Peut-être que les intérêts qui poussent à entrer en formation sont plus variés, mais n'est-ce pas la motivation au cours du stage qui est la plus importante ? Entre quelqu'un qui arrive avec pas mal d'idées mais qui ne les fait pas aboutir et celui qui semble débarquer au BAFA par hasard mais qui se transforme en une semaine, mon choix est vite fait ! Tout ça pour dire que la motivation se mesure tout au long du stage et pas simplement en faisant un tour de table le premier jour. Et à la décharge des stagiaires, il n'est pas toujours évident à tout juste 17 ans de connaître tout des raisons qui poussent à entamer une formation. C'est souvent le résultat d'un processus qu'ils ne découvriront que plus tard... Laissons-les trouver par eux-mêmes ce qu'ils cherchent avant d'exiger un projet personnel abouti.
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Salut Olivier ! J'ai un souci avec le Messager personnel. Pas de souci pour ouvrir la boîte de réception, mais quand je veux lire un message, voilà ce que ça m'affiche : Fatal error: Allowed memory size of 10485760 bytes exhausted (tried to allocate 14592 bytes) in /home/www/users/1/a/n/i/animnet/www/version5/forums/sources/classes/post/class_post.php on line 1784 Diagnostic, docteur ? :D
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Caméra De Surveillance Dans Un Centre
Quentin a répondu à un topic de Quentin dans Discussion générale
Salut et merci pour vos réponses ! Quelques précisions : il n'y a pas d'anims vie quot dans le centre de classes découverte où je travaille, ce sont uniquement des parents accompagnateurs qui assurent la vie quot. Par conséquent, cette caméra ne leur sert qu'à eux (moi, j'ai constaté la présence de cette caméra lors d'un cinquième auquel j'ai participé). Sur la fin du dernier séjour, les adultes sont allés au cinquième environ 1h30 après le coucher des enfants, en sachant qu'ils sont restés présents dans les couloirs pendant tout ce temps-là. Je modère donc ce que j'avais dit un peu vite il y a quelques jours : la présence de la caméra ne semble pas inciter à partir plus vite au cinquième (à vérifier sur les séjours suivants). Sachant que les utilisations d'une caméra peuvent varier d'un centre à l'autre (je me réfère à vos expériences), je ne peux pas me prononcer pour ou contre. Mais en y réfléchissant, je me dis qu'une caméra peut être utile quand elle est le prolongement d'une présence humaine. Prenez par exemple un centre avec trois bâtiments distincts. Tous les soirs, lors de la réunion, un anim est exempté pour faire un tour dans les couloirs de ces bâtiments dans les deux heures suivant le coucher. Si une ou deux caméras sont reliées au bureau de la direction, le directeur peut rapidement prévenir l'anim pour lui indiquer dans quel bâtiment ça bouge. Par conséquent, il peut se rendre sur place plus rapidement que si personne ne l'avait prévenu. Point négatif de ce système : ça oblige à garder un oeil sur la caméra pendant la réunion, d'où une attention moindre. PS privé : H2O, j'ai un souci avec le messager pour te répondre ! -
Salut ! Que pensez-vous de la présence de caméra de vidéo-surveillance, que l'on trouve dans certains centres de vacances ? Certaines caméras sont implantées pour surveiller les alentours du centre (portail, route d'accès), d'autres sont présentes à l'intérieur des locaux. Vous est-il déjà arrivé de travailler dans un centre avec vidéo-surveillance, même discrète ? Comment l'utilisez-vous (pour surveiller un couloir lors de la réunion ? avec enregistrement des images ou sans ?). Trouvez-vous qu'elle est pratique pour faciliter le travail des animateurs ? D'autre part, prévenez-vous les parents et les enfants avant le séjour de la présence d'une ou plusieurs caméras ?
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Les Nuitées Sur Un Accueil De Loisirs
Quentin a répondu à un topic de tonia-tong dans Discussion générale
Salut Sonia, Tu dis que le manoir est équipé d'escaliers de secours et d'une alarme incendie : c'est déjà pas mal ! En fait j'ai l'impression à te lire que ce bâtiment a déjà reçu une autorisation d'ouverture en tant qu'établissement recevant du public (ERP). Dans ce cas, il resterait simplement à obtenir de la DRDJS une habilitation pour l'hébergement collectif de mineurs. En gros, une partie du boulot semble déjà faite. Concernant maintenant ta dernière question, je n'engagerai pas ma responsabilité si la DRDJS m'oppose un refus formel (au passage, la responsabilité de l'organisateur est aussi engagée dans ce cas de figure). Car si le manoir n'a effectivement aucune habilitation, ça veut dire qu'il n'y a pas de maintenance des extincteurs ni de visites régulières de la commission de sécurité : par conséquent, les garanties en terme de sécurité incendie sont faibles, malgré la présence rassurante d'une alarme. D'autre part, ça pose également un problème pour tes anims. Imaginons que l'un d'eux se blesse, même si c'est léger : sur la déclaration d'accident du travail, tu ne pourrais pas indiquer le manoir comme lieu de travail, car l'anim ne devrait pas s'y trouver... Par conséquent, c'est tout pour sa pomme (pas cool quand l'accident devrait normalement entraîner une ITT ou quand les soins sont coûteux, si ton anim n'a pas une complémentaire terrible...) -
Je n'apprends pas avant les prénoms des enfants turbulents, pour la bonne raison que je ne sais pas d'avance sur qui je vais tomber ! Mais il est évident que l'on retient davantage les noms des enfants "qui bougent" parce qu'on les appelle régulièrement. Après, je ne sais pas si connaître un prénom est une façon de "mieux contrôler" un enfant... Dans tous les cas, c'est sûr que j'essaie d'apprendre rapidement les prénoms. Je préfère dire "Maxime et Lucas, on y va !" plutôt que "les garçons, on y va !". Les enfants sont déjà perdus lorsqu'ils arrivent dans un centre, pas la peine de les dépersonnaliser encore plus en ne retenant pas leur prénom et en faisant primer le groupe sur l'individu...