Quentin

Tsss... Dois-je te rappeler que tu as signé ton contrat ? :D Ne t'en va pas, je préfère mille fois quelqu'un qui doute et s'interroge en permanence sur sa pratique d'anim plutôt que quelqu'un qui est sûr de lui/d'elle... Le côté "Je ne m'en sens pas capable" s'effacera rapidement devant les responsabilités que tu prendras (sur le papier, elles font peur mais une fois dans le feu de l'action, il n'y a plus de souci). Et puis, il y a bien un moment où il faut y aller, sans filet !

Il me semble toutefois qu'un régime dérogatoire existe en la matière, en attestant sur l'honneur dans son contrat n'avoir subi aucune condamnation devant figurer dans ce volet du casier judiciaire... Toutefois, par précaution, je continue à le demander : il est tellement facile à obtenir pour les anims et... tellement "rassurant" pour un directeur que je ne vois pas pourquoi je m'en passerai !

Je comprends ta situation Seb, et je pense que tu fais le bon choix en gardant coûte que coûte un pied dans l'animation, bien que tu pourrais gagner autant avec les aides de l'Etat. A terme, je veux croire que c'est une stratégie qui s'avèrera payante. Le sujet des pauses t'a mis en rogne... Pourtant je ne vois pas ce qu'il a de scandaleux. L'animation est éreintante physiquement et nerveusement, et en tant que directeur, j'estime qu'il est nécessaire que mes anims aient deux à trois pauses/jour dans une journée qui, au mieux, commence à 8h et s'achève à 22h30. Sonia disait tout à l'heure que les stagiaires avaient tendance à ne pas prendre leurs pauses pour continuer leur travail. Leur attitude témoigne certes de leur motivation, mais ils ne se rendent pas service : avec l'expérience, on apprend vite qu'il faut se ménager des temps de repos pour savoir souffler. L'été dernier, faute d'avoir appliqué cela après 30 jours de direction adjointe de colo, j'ai terminé par un accident du travail en faisant un malaise sur une 4x4 voies, avec sortie de route à 110km/h, pompiers, voiture flinguée et tout le toutim. Tout ça parce qu'à force de ne pas prendre de pause, mon corps a finit par dire "stop". Depuis, je suis un fervent militant de la bonne gestion du sommeil et des pauses. On peut aimer passionnément son boulot, mais pas au point de risquer sa vie. Sans compter que ce sont aussi les enfants qui peuvent encaisser notre nervosité... Je préfère donc 100 fois un anim qui vient me voir en me demandant une pause d'1/2h, plutot que cet anim continue son travail jusqu'au nervous breakdown. On ne joue pas avec la santé des gens. Bon, je m'éloigne un peu, désolé... je ne réponds pas forcément à tes propos, j'en suis cosncient. Juste pour revenir à ce que tu disais, je sais que beaucoup d'entreprises ne ménagent pas de pause pour leurs salariés. Toutefois, ne nous trompons pas : cela encourage les salariés à prendre des pauses en cachette et contribue finalement à créer un mauvais climat de travail. En animation (puisque c'est de ça dont on parle à la base !), je n'impose pas des temps de pause fixe. Je rappelle juste aux anims ce que la loi leur permet et ajoute des pauses "bonus" qui tiennent compte de notre investissement dans le travail. Aux anims de se les répartir comme ils le souhaitent, tant que le boulot est bien fait.

Si tu n'es pas d'accord avec ce qui a été dit, libre à toi de t'expliquer et d'argumenter. Mais ce n'est sûrement pas en coupant court au débat que l'on parviendra à échanger. Peut-être trouves-tu que j'ai déformé tes propos ou caricaturé, mais dans ce cas, fais-le moi savoir !

Sauf que, aux dernières nouvelles, l'animation ne vise pas la productivité... Ta comparaison avec l'usine est donc assez limitée. Je sais que certains salariés n'ont pas de pause dans leur boulot, mais ce n'est pas parce que cette situation existe qu'on doit forcément la copier. A un moment, il faut aussi qu'on nivelle par le haut plutôt que de reprendre les techniques du "toujours moins" (moins de pauses, moins de droits, etc). En l'occurrence, je fonctionne comme Sonia (au fait, j'suis OK pour tenter l'expérience de bosser avec toi ), à savoir une grande pause quotidienne de 20 minutes à 1/2 heure et une autre pause, plus courte, que les anims peuvent prendre quand ils le souhaitent dans la journée, dès lors que l'équipe est au courant et que les conditions le permettent. Je n'ai jamais connu d'anims qui abusaient des temps de pause, comme quoi on peut aussi faire confiance aux anims au lieu de toujours les cadrer en permanence. Tu dis que ça permet d'éviter la glandouille, je te réponds que ça revient à les infantiliser.

Sauf quand tu parles en langage SMS... ça me donne envie de zapper :D Pour le projet d'animation, tu trouveras ton bonheur dans ce sujet.

Merci Sonia pour tes bons conseils ! J'ai trouvé différentes méthodes pour chaque atelier, c'est bon ! Je pense comme toi que toutes les questions autour de la vie quotidienne se prêtent bien aux débats, alors que sur des questions plus complexes, il est bon de trouver des méthodes plus ludiques (pas forcément pour que ça soit marrant, mais pour impliquer davantage les anims et surtout leur pemttere d'appréhender facilement des thèmes a priori complexes). Pour Lucien (que j'avais zappé... ) qui me demandait quelles étaient les techniques dont je parlais au début du post, voici un rapide topo : Le brainwriting La méthode est assez proche de celle que décrit Sonia pour la vie quotidienne. Il s'agit de disposer par exemple quatre feuilles sur quatre tables qui contiennent des questions sur un point précis. Les participants, qui ont tous un stylo en main, passent de table en table à leur gré et notent sur le paper board un élément de réponse qui leur paraît pertinent. Une fois les paper boards remplis, l'animateur de la réunion fait une synthèse des avis exprimés et dégage une ligne directrice. La méthode Philips 6x6 Je ne la connais pas sous sa forme originale tant il y a de variantes ! Tu as au moins deux tables, 6 participants/table, tu leur donnes 6 questions et ils ont 6 minutes pour y répondre. Au terme des six minutes de discussion, les porte-paroles de chaque groupe exposent les avis exprimés. La méthode métaplan (aussi appelée réunion post-it) L'animateur de la réunion remet des post-it et un feutre à chaque participant. Il leur pose ensuite une question, à laquelle ils ne doivent répondre que par un mot (bien réfléchir à la formulation de la question !). Ils collent leur post-it sur plusieurs paper-boards affichés dans la salle. L'animateur de la réunion regroupe ensuite les post-it en les classant en plusieurs grands ensembles en fonction des réponses. Suit une question de pondération, du genre : "Avec quel grand ensemble vous sentez-vous en accord ?" Puis vient une phase d'exploitation et de discussion avec le groupe (c'est pas clair ce que je raconte, désolé).

Euh... on peut aussi profiter de ces cinq minutes pour laisser souffler les enfants, qui nous ont déjà sur le dos toute la journée ! Faire une activité au moindre temps mort, je n'en vois pas l'intérêt... En tant qu'adulte, lorsque j'ai cinq minutes de battement entre deux activtés, j'en profite surtout pour faire une pause, pas pour me lancer dans une troisième activité. C'est la même chose pour les enfants : il faut les laisser respirer, les laisser jouer de manière informelle, les laisser discuter aussi pendant ces temps morts... sans toujours être derrière eux à les étouffer.

Quand tu écris "J'ai entendu dire", ça reste des rumeurs ou tu as bel et bien entendu l'organisateur ou le directeur en parler ouvertement ? Dans un premier temps, il faut t'assurer que le fonctionnement adopté n'est pas conforme à la réglementation. Il faut en effet que tu puisses t'appuyer sur des faits circonstanciés pour donner l'alerte. Je connais un anim qui avait prévenu les gendarmes suite aux agissements délictueux de son directeur : il n'a pas été considéré comme un mauvais anim, mais a reçu une lettre de félicitations ministérielle venant des mains de Jean-François Lamour ! Mieux vaut donc se griller avec un organisateur (surtout s'il n'est pas sérieux), ce qui ne t'empêchera de trouver du boulot dans d'autres structures. Tu as raison ! Dès qu'on demande d'agir hors du cadre réglementaire, il faut que appelles la DDJS de ton département. Si les faits que tu déclares sont suffisamment graves, ils pourront déclencher une inspection en urgence, qui pourra aller jusqu'à la fermeture administrative du centre. Oui, tu peux invoquer ton droit de retrait. Le droit de retrait permet à un salarié de se retirer d’une situation de travail dont il avait motif de penser qu’elle présentait un danger grave et imminent (Code du travail, article L 231-8-1). Mais je crois que ce danger est relatif à ta santé, non à l'intégrité physique des participants d'un centre par exemple...

J'ai bien lu vos réponses, mais l'arrêté (que j'ai enfin trouvé !) du 2 juillet 1982 relatif aux transports en commun de personnes dit ceci : Du coup, si je comprends bien l'arrêté, l'apposition d'un pictogramme de transports d'enfants dans un minibus 9 places n'est pas obligatoire. Si je le mets quand même par mesure de sécurité, est-ce que je suis en infraction ?

Tu as raison Sonia, j'aurais dû détailler les points que je souhaitais aborder avec mes anims lors de la réunion de prépa... J'ai pris le problème à l'envers ! Donc je voulais les faire travailler sur : - les règles de sécurité Objectif : faire une piqûre de rappel sur la réglementation (en déplacement, à la piscine, ...) ; les interpeller sur la nécessité de rester vigilant même quand un BE prend en charge une activité - les règles de vie Objectif : savoir comment et à quel moment du séjour les introduire ; réfléchir à la place qu'on laisse aux enfants dans leur élaboration ; se mettre d'accord en équipe sur les points qu'on interdit et trouver une échelle de sanctions. - laisser le choix aux enfants Objectif : trouver un mode d'inscription simple aux activités proposées ; comment permettre aux enfants de faire un choix en connaissance de cause ? - les repas Objectif : définir la place et l'attitude de l'animation dans les repas. - le premier jour du centre Objectif : réfléchir à l'accueil des enfants ; savoir aider l'enfant qui en a besoin à gérer la séparation d'avec ses parents ; définir une répartition des tâches pour que chacun sache ce qu'il aura à faire En écrivant ces différents points, je pense aussi qu'il serait possible de mettre en place des jeux de rôles (par ex. pour le point sur les repas). Merci de me dire ce que vous en pensez et de me faire part de vos idées pour mener ces ateliers !

Salut Fanny ! Content de voir que je t'ai poussé à t'inscrire sur les forums d'AnimNet ! Ce n'est pas évident de se lancer pour une première fois, surtout que ton animation s'est faite dans la précipitation : tu n'as donc pas pu préparer ton anim et c'est ça qui t'a gênée. Fondamentalement, il n'y a pas grand chose qui varie entre une animation informatique avec des enfants et une autre des adultes : les séquences seront plus courtes et plus diversifiées avec les gamins (pour s'adapter à leurs facultés de concentration) ; le côté ludique sera par ailleurs renforcé avec les schtroumpfs (n'oublie pas que les enfants viennent avant tout pour s'amuser, alors que les adultes viennent souvent pour se former). N'hésite pas à poser des limites : tu n'es pas superwoman, tu ne peux pas te multiplier à l'infini. Ca va être l'occasion de travailler sur l'autonomie et, pour eux, d'apprendre à se passer de l'adulte ! 1/ Pour ne pas être constamment dérangée, tu peux encourager les échanges enfants/enfants plutôt que les échanges enfants/anim : ça va grandement te soulager (ils se montreront leur travail entre eux plutôt que de te demander ton avis en permanence). 2/ Pour qu'ils te lâchent la grappe, il y a une bonne technique : viens les voir où moment où ils ne te sollicitent pas. Ils verront ainsi que tu leur accordes de l'attention même quand ils n'en font pas la demande et ça les surprendra agréablement. Petit à petit, ils comprendront que tu passes régulièrement auprès de chaque enfant et commenceront à moins te solliciter. 3/ Si tu réponds à chacune de leur sollicitation, ils vont vite s'y habituer et te réclamer une présence permanente, ce qui n'est pas possible. A toi de leur faire comprendre que tu dois te partager entre chaque enfant, en veillant à l'équité d'attention. Faire attendre un enfant parce que tu es occupée, ce n'est pas gênant. Ca le deviendrait si tu oubliais d'aller le voir au bout de quelques minutes. Est-ce si gênant de perdre 2 minutes pour montrer à un enfant comment faire son lacet ? En colo, on est en vacances, on a pas besoin de se presser en permanence avec un planning à respecter à la lettre ! Donc les 20 gamins attendront (au pire, ils iront ailleurs avec l'autre anim) et toi, tu pourras expliquer à Maurice comment faire son lacet.

Sonia a déjà fait une sacrée liste, qui englobe tous les points incontournables (sécurité, communication, repas, affectif...). Pense à bien regrouper chaque item pour ne pas donner l'impression de faire une liste de points décousue. N'oublie pas également qu'il est important que tu devances les questions des parents, c'est rassurant pour eux de voir que tu partages les mêmes préoccupations qu'eux et que tu as déjà réfléchi à des moyens à mettre en place. Tu peux installer pendant la réunion un diaporama des photos de Manosque (c'est notamment pratique si les enfants sont là : ils connaîtront par avance le lieu où ils vont aller). Si tes anims sont là, ils peuvent "extirper" les enfants de la réunion pour se présenter plus individuellement aux gamins et commencer des jeux ensemble. Au moment de clore la réunion, précise-bien que tu reste à la disposition des familles pour discuter de problèmes d'ordre personnel, car les parents sont pas très chauds pour évoquer devant toute l'assistance les problèmes de pipi au lit de Célia, la peur du noir de Valentin, le traitement anxiolytique de Ludivine, etc :D Tu verras que les parents vont se ruer sur toi sitôt la réunion officiellement terminée ! Autre chose : lors de la réunion familles que j'ai fait samedi dernier, j'ai informé les parents de la sortie du film "Nos jours heureux", en les incitant à aller le voir, bien que la réalité soit sans doute éloignée de ce qui est montré dans cette comédie ! :wink:

Tu es au bon endroit ! Va déjà faire un tour dans les différents espaces du site, tu devrais y trouver des choses intéressantes. En ce qui concerne la prépa des animations, je te conseille d'aller faire un tour ici pour voir à quoi ressemble la méthodologie de projet. Pour l'évaluation de tes anims, c'est par ici !

Comparé à Pacé, c'est sûr :diable: Mais c'est surtout le nom qui me fait marrer, la ville étant effectivement assez dynamique, surtout au niveau sportif. N'empêche qu'il faut quand même une carte Michelin quand on va à Montfort !

Surtout quand on sait que le propriétaire du centre n'avait pas déposé de permis de construire en mairie au moment de bâtir son centre. Et sa stratégie de défense, qui consiste à dire que la réglementation était trop pointue pour qu'il puisse l'appliquer à la lettre, me fait dire que ce type est bel et bien un inconscient ! Attention aux mots :D Il s'agit ici d'un jugement (tribunal correctionnel) et non d'un verdict (cour d'assises).

Salut ! Dans la convention collective de l'animation, il est marqué que les contrats de travail doivent mentionner la date et l'heure de l'embauche. Mon organisateur soutient qu'il s'agit de la date et de l'heure où le contrat est signé, alors que je pense qu'il s'agit plutôt du jour et de l'heure de la prise de fonction au sein du centre. Y'a quelqu'un pour me permettre d'y voir plus clair ?

Tu as des droits dans ce cas, Sabry : un contrat en CDD qui n'est pas signé dans les 48 heures suivant l'embauche se transforme alors en CDI ! C'est bon à savoir...

Sauf que tous les contrats que j'ai signé avec d'autres organismes indiquent bien la date et l'heure à laquelle tu commences ton travail d'animateur... Je devrais faire confiance à mon organisateur, c'est vrai, mais sur ces choses-là, je préfère être carré en vérifiant par deux fois ! Et pour l'instant, je suis pas convaincu, je ne juge que sur les textes de lois !

Bienvenue à toi, je crois que tu es la première Belge du forum ! Nous avions déjà des Québecois, mais la famille francophone n'était pas totalement réunie ! Avec quelle tranche d'âge pars-tu au Valeureux Liégeois (j'adore ce nom !) ?

Si ça fonctionne comme ça chez toi, je ne vois pas quel intérêt tu as à faire ce centre ! Le côté "Fermez vos gueules, je suis le directeur donc j'impose mes idées" ne me convient absolument pas. Sachant que tu n'approuves pas ce fonctionnement, je ne vois pas comment tu pourras te sentir à ton aise dans ton boulot. Ou alors, continue à remettre son fonctionnement en cause : ça a marché une fois, pourquoi pas deux ?

Pourquoi vouloir à tout prix se démarquer de l'animation occasionnelle une fois passé pro, alors qu'on sait pertinemment que les passerelles sont continues entre ces deux "mondes" ? Je n'aime pas trop cette distinction, qui établit une hiérarchie entre anim pro et anim saisonnière. Mais certains sont tellement contents de brandir leur diplôme d'anim pro qu'ils voudraient quasiment qu'on les appelle Monseigneur...

Le souci, c'est qu'on est parfois contraint d'employer des termes anciens devant les parents, car ce sont les seuls qu'ils connaissent. Ma structure organise un centre de loisirs et plusieurs centres de vacances, mais les parents se trompent à chaque fois entre les deux. Le sketch véridique de ce matin au téléphone : " Allô bonjour, je vous appelle parce que je voudrais inscrire ma fille au centre de loisirs mais je crois qu'elle n'a pas le bon âge : elle a 6 ans. - Mais si, c'est possible, madame. - Ben sur votre brochure vous mettez que c'est à partir de 7 ans... - Ah... Pour les centres de vacances, oui, mais pas pour le centre de loisirs. - Ben oui, mais c'est là que je veux incrire ma file : au centre de vacances ! - Vous voulez donc qu'elle parte en colo, c'est cela ? Centre de vacances et colo, c'est la mê... - Ah NON ! Elle partira pas en colo ! Je veux qu'elle aille au centre de vacances ! - Madame, laissez-moi vous expliquer parce que je pense qu'on ne s'entend pas sur les termes..." Ca a duré cinq bonnes minutes comme ça !

Doucement Sabry ! Le bulletin numéro 3 ne contient que des peines assez lourdes, parmi lesquelles on trouve principalement les condamnations à des peines d'emprisonnement d'une durée supérieure à 2 ans avec sursis ou dont le sursis a été révoqué. Si la justice peut effectivement condamner une personne pour des propos insultants, la condamnation ne dépassera jamais cette durée !

C'est quoi ce système de bouton ? Je ne connais que le boîtier avec la vitre à casser pour que ça sonne... Et pour la casser, il faut vraiment le vouloir : il y a donc peu de risques de sonnerie intempestive !