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Tout ce qui a été posté par Quentin
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Relations Enfants/personnel Technique
Quentin a répondu à un topic de Quentin dans Le bureau du dirlo
C'est le problème que je soulevais au début de ce post : comment intégrer le personnel technique dans les animations sans pour autant augmenter sa charge de travail (qui ne sera pas payée en heures supp) ? Participer aux activités sur la base du volontariat, ça peut marcher, n'empêche que les agents de service se retrouvent avec un sacrée quantité d'heures travaillées/jour. Et dans ce cas, on n'est jamais très loin du nervous breakdown.... -
Rendez-vous Tchat....... Mercreci 15 Février.....
Quentin a répondu à un topic de kkouz59 dans Discussion générale
Ouais, le sujet sur les rapports entre l'équipe d'animation et la direction me plaît bien. Reste à voir comment tu pourras tourner ça Kkouz, de façon à ce qu'il y ait une réelle problématique, et donc matière à discuter. Mais je te fais confiance ! Le problème, c'est que le tchat fédère pleins de sites d'animation. Alors pourquoi commencer un débat sur le forum d'AnimNet plutôt que sur les autres sites ? C'est pas du juste :D Et puis j'ai peur que le tchat soit creux si certains estment que tout a déjà été dit qur le forum... -
Lilinnette, chaque BPJEPS a un intitulé précis. Il existe des BPJEPS "Activités Nautiques", "Technologies de l'Information et de la Communication", "Activités physiques pour tous", etc. Pour que l'on puisse répondre à ta question, il faudrait déjà que tu nous dises vers quelle formation tu souhaites t'orienter.
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La grille d'évaluation a cet avantage qu'elle permet de lister tous les critères sur lesquels est évalué le directeur adjoint, et donc de savoir précisément où l'on se situe et quelle marge de progression il nous reste. Pour qu'elle soit pertinente, il vaut mieux qu'elle fasse émerger les besoins/envies du stagiaire en plus des attentes du directeur chargé de l'évaluation. Bref, que ce soit un doc commun qui permette au stagiaire de se fixer lui-même des objectifs et qu'il s'auto-évalue. Le défaut de cette grille, en plus du côté scolaire qui a déjà été souligné, c'est qu'elle ne permet pas de faire apparaître le moral du stagiaire. On ne peut pas résumer des inquiétudes, des doutes ou un sentiment de mal-être simplement en faisant des croix. Il ne faut donc pas que la grille soit le seul outil d'évaluation du stagiaire : ça peut en revanche faire un bon support pour un entretien.
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Ouest France, jeudi 15 décembre 2005 (extraits) :
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Bah moi, j'en démords pas non plus ! Non de non, les PP ne se ressemblent pas tous. Peut-être qu'effectivement, au niveau des objectifs très généraux, il y a convergence : je pense par exemple qu'en CVL, on recherche tous l'épanouissement de l'enfant. Pourtant, si c'est un classique de la pédagogie d'aujourd'hui, ça n'a pas toujours été le cas des colos d'antan : les camps cathos se distinguaient par exemple par une obéissance obligatoire à l'adulte, voire à une soumission (on est alors loin de l'épanouissement). D'où cette constatation : si la pédagogie a évolué si rapidement, c'est que des gens (éducateurs, directeurs, enseignants) se sont bougés pour remettre en question les modèles dominants à une époque donnée. Partant de là, pourquoi ne pas considérer qu'il serait possible de battre en brèche les valeurs "classiques" des centres d'aujourd'hui ? Qui nous dit que dans 10 ans, on se battra encore pour telle ou telle valeur ? Les apports des pédagogistes nous feront peut-être reconsidérer ce que l'on pensait comme évident. Après, je comprends aussi que par paresse ou par facilité, certains directeurs se contentent de copier/coller des PP... C'est peut-être aussi pour ça que tu dis qu'ils se ressemblent. Et dans ce cas, ça ferait vraiment chier parce que ça voudrait dire que les enfants ne seraient plus confrontés qu'à un modèle pédagogique unique (et vive la variété !). Pour éviter cela, on peut aussi bâtir le projet péda avec l'équipe. Fastidieux ? Impossible ? Ben si le directeur amène déjà une base, c'est tout de suite plus simple. Ensuite, on organise des débats avec toute l'équipe : "quel rôle pour l'animateur pendant le temps du repas ?" ; "faut-il garder une certaine distance affective ?" ; etc. Ce qui permet à tout le monde de se poser des questions sur le fonctionnement du centre et les valeurs qu'on souhaite défendre. Ca passe généralement mieux qu'une lecture très scolaire du PP.
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Voir ce sujet pour tout comprendre !
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Automatiquement, non. Etant donné que les anims ont un salaire journalier, pourquoi ne pas considérer que ces temps "en plus" font tout simplement partie intégrante d'une journée et donc du salaire ? En fait, en demandant aux anims d'être volontaires sur des temps de travail supplémentaires, j'aurais l'impression de diviser le travail entre une partie payante, donc valorisée, et l'autre bénévole, peut être moins attrayante. Je préfère donc ne pas parler de volontariat tant qu'il s'agit de préparation d'activités, de réunions bilans, etc (tout ce qui fait finalement partie de la vie d'un centre). Cela dit, je n'ai jamais été confronté au cas d'un centre de loisirs, où j'imagine que les contraintes de la vie perso sont plus fortes qu'en colo. Je ne sais pas trop comment je m'adapterai à cette situation. Peut-être vaut-il mieux dès l'embauche donner un cadre horaire qui tienne compte de "temps volontaires" dans la journée : si on donne à un anim comme horaires 9h-18h en prenant en compte une réunion ou une prépa d'activité d'une heure, ça passera mieux que de lui annoncer 9h-17h et finalement le retenir 1h de plus chaque soir. Reste après à tenir ces horaires !
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Je ne parlais pas des nouveaux animateurs mais plutôt des chevronnés. Il est évident que lorsqu'on débute, on part avec un paquet de bonnes intentions ("faire passer de bonnes vacances ou "amuser les enfants"), mais on est pas encore porteur de valeurs au sens propre. Ce n'est pas condamnable, bien au contraire. C'est aussi notre rôle, en tant que directeur, d'aider les stagiaires à traduire leurs intentions en objectifs plus concrets. Par contre, là où ça devient gênant, c'est quand des anims qui ont plusieurs années d'expérience derrière eux se contentent du minimum dans leur lettre de motiv... Je ne demande pas forcément qu'on me sorte du Freinet ou du Montessori à la sauce CVL 2006 ! Mais au moins sentir une petite flamme, une raison qui fait qu'on sent qu'un anim défend une certaine conception de l'enfance ou des vacances. Ben si on ment... c'est que nos valeurs ne sont pas en accord avec celles de l'organisateur. Du coup, on lui parle de SA conception d'un CVL qui n'est pas la NÔTRE. A quoi bon postuler dans ce cas ? A coup sûr, ça ne collera pas. Ce n'était pas mon intention de dire ça ! Heureusement que la majorité des anims font efficacement leur boulot et qu'on sent qu'ils sont réellement au service de l'enfant. Désolé si ma formulation n'était pas claire ! Ce que je trouve inquiétant, c'est que tu puisses penser que tous les PP se ressemblent. Ca voudrait dire qu'on défend tous les mêmes valeurs ? Où passe alors la recherche pédagogique ? Le besoin d'aller de l'avant ? Je suis bien d'accord que les moyens diffèrent d'un directeur à l'autre pour atteindre tel ou tel objectif. Mais les objectifs de départ sont-ils vraiment tous les mêmes ? N'y a-t-il pas ou contraire de grands différences suivant les fédérations ? C'est plutôt pour la dernière hypothèse que je penche. A moins que je ne vive que sur mes illusions :D Bon désolé si je suis pas très clair dans ce post... Je sors d'une nuit blanche dans une dépanneuse, après m'être lamentablement planté sur la route à cause du verglas... Ceci explique cela :siffle:
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Salut ! J'adore que les enfants puissent vivre en collectivité, mais j'aimerai bien également pouvoir leur réserver un moment ou un endroit dans lequel ils pourraient souffler seuls, loin du groupe. Parce que mine de rien, c'est épuisant de vivre ensemble. Je pense (mais peut-être que je me trompe, dans ce cas arrêtez moi !?) que l'organisation d'un centre doit prévoir ce "droit à la solitude". Mais la chambre, qui est souvent partagée par 4 ou 5 autres enfants, ne permet pas de servir de refuge... Alors question : avez-vous des astuces pour permettre aux enfants d'être seuls à certains moments ?
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Euh... crois-moi Chebs, les imbéciles de l'animation sont incapables de citer des valeurs, encore moins de les défendre. "Je suis anim parce que j'aime les enfants", c'est ce que je lis trop souvent dans les lettres de motiv et c'est la seule "valeur" mise en avant. Ca fait un peu light tout ça, non ? Pose-la question à un anim : "Pourquoi fais-tu de l'animation" et tu verras que les valeurs sont bien différentes d'un individu à l'autre. C'est super inquiétant ce que tu dis Chebs ! Sérieusement, tu trouves que les projets péda se ressemblent tous ? Dans ce cas, à quoi bon s'emmerder à en pondre un avant chaque centre ? Jeunesse et Sports ne pourrait-il pas rédiger un projet péda national repris par tous les organisateurs de France ??? Tiens, par exemple, tu dis plus haut que tout le monde parle de "préparer les enfants à la citoyenneté" : ben ça, c'est une valeur absente de mes projets péda parce que je la trouve trop fourre-tout. Je ne nie pas qu'elle a son utilité mais je préfère axer mon projet péda sur 4/5 valeurs précises, suivies d'objectifs et de moyens opérationnels clairs et évaluables, plutôt que de faire un catalogue des bonnes valeurs. C'est trop facile de tout balayer d'un revers de la main en disant : "Tout les acteurs de l'animation pensent pareil". Ca revient à couper court au débat, à ne pas réfléchir sur la pédagogie mise en place alors que c'est justement ça le fondement même de notre boulot.
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Je persiste : on ne peut pas mettre sur le même plan un internat et un CVL. Un ado de 16 ans en internat ne se "gère" pas de la même façon qu'un ado de 16 ans en colo : en plus de ce que t'a dit H2O sur l'implication des jeunes dans les règles de vie, le CVL a cet avantage de n'avoir pas d'horaires fixes. On peut achever une soirée exceptionnelle à 0h00 alors qu'un autre soir, on éteindra les feux à 22h30 à la demande même des ados ! Bref, c'est libre... bien loin du règlement intérieur dont tu parlais dans un précédent post. Bah quel est le problème alors ? Le contact a l'air de bien passer, les ados participent à ses animations et il a l'air d'avoir de l'imagination pour se renouveler ! Est-ce si grave que ça son problème d'heure de coucher ? Et n'y a-t-il pas derrière un questionnement sur l'affaiblissement de son autorité, une peur de perdre le contrôle ?
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Nan... c'est une blague ?!? Sérieusement Totoch, tu trouves ta technique pédagogique ? Moi ça me rappelle surtout les bonnes vieilles colos cathos d'antan, où les anims s'appelaient sergents-majors et faisaient régner la loi d'une manière très militaire ! Va t'expliquer ensuite devant les profs qui trouvent leurs élèves internes étrangement mous le matin à 8h... Sauf que sur ce site, aucun parent ne participe régulièrement et qu'on ne compte que quelques maîtres d'internat, d'où le peu de réponses à ton goût. Et concernant les anims qui fréquentent AnimNet, la majorité exerce en centres de vacances qui est un contexte bien différent d'un lycée pro, avec ses horaires et son règlement intérieur intangible. Ton copain mène-t-il des animations le soir avec les ados ? (du genre conseil d'internat, débats entre ados, etc). Car c'est bien plus facile de se coucher après une animation qui a une heure de fin que de se coucher après avoir glandé des heures le soir. C'est sûr que plus on glande, plus on reste debout !
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Salut ! On entend ici ou là des animateurs ou des directeurs se plaindre de la réglementation trop rigide. "Tu peux plus faire d'activité sans demander l'autorisation à Jeunesse et Sports" caricaturait dernièrement un ami animateur. S'il est vrai que la réglementation des CVL/CLSH change régulièrement (sur plein d'aspects : activités physiques, encadrement, santé, etc), vous paraît-elle pour autant trop lourde ? Partagez-vous ce sentiment qu'il faut se plonger dans la paperasse réglementaire avant d'entamer n'importe quelle activité ? Plus largement, estimez-vous que certains interdits sont justifiés ou au contraire inutiles ? Avez-vous des exemples à citer ? A vos claviers :bye:
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Ben c'est très variable, comme partout ! Ca dépend notamment dans quelle structure tu travailles (asso, CE, mairie...), les salaires allant parfois du simple au triple. Pour info, le salaire minima d'un directeur annexe II indice 300 est de 19,94 €.
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Tu as raison de souligner que quel que soit l'âge, le coucher requiert une véritable attention de l'anim. Ceux qui expédient le coucher pour filer rapidement en réunion passent à côté de pleins de choses (confidences des enfants, partage de leurs inquiétudes, demande de conseils)... des choses essentielles à la construction d'une relation enfant / adulte équilibrée. Quelles techniques adopter ? Pffff, il y en a des tonnes, qui dépendent aussi de sa vision personnelle du coucher. Pour ma part, un coucher qui dure n'est pas forcément une mauvaise chose tant que ce n'est pas le bordel : oui, un anim peut et doit passer du temps avec les enfants. Même en tant que directeur, j'aime passer 2/3 minutes dans la pénombre de quelques chambres. Je pense qu'il est important de faire du coucher un véritable moment de transition qui permette à l'enfant de s'endormir serein. Parfois, quand on entend les anims se plaindre du bordel une fois les lumières éteintes, c'est parce qu'ils ont loupé cette transition. Je conseille également aux anims de suivre le coucher d'une chambre en continu (de la mise en pyjama au glissage sous les draps en passant par le lavage de dents) plutôt que d'aller d'une chambre à l'autre et de presser les enfants. Evidemment, ça demande que les enfants des autres chambres jouent le jeu, c'est-à-dire qu'ils se préparent de leur côté. Mais généralement, c'est efficace. Et les moments de complicité plus importants. Pour ce qui est des histoires à lire aux "grands-qui-ne-le-sont-pas-encore", on peut tenter le coup d'amener un livre dans la chambre et de le lire aux enfants. Ca peut faire un flop... comme ça peut ravir les gamins de 10 ans. Ca leur évite d'avoir à demander, et dès qu'ils verront que l'histoire plaît aussi à tous les copains de la chambre, il y a de fortes chances pour qu'ils en réclament une seconde un autre soir. Bon... ça reste un pari. Il se peut aussi que les gamins vous regardent avec de drôles de yeux façon de dire "T'as vu notre âge ?" :D Mais bon, en animation il y a parfois de petits échecs !
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Rendez-vous Thcat, Le Mercredi 1er Février À Partir De 21h00...
Quentin a répondu à un topic de kkouz59 dans Discussion générale
Avec un peu de chance, je vais réussir à motiver ma promo BPJEPS... En tout cas, le rendez-vous est pris ! -
C'est possible ! Et j'aurais eu également besoin de toi lorsque j'ai pris une simple conjonctivite en abrasion de la cornée ! (fin de la private joke) Pour compléter ce qu'a dit Clownette, on peut aussi ajouter qu'il est préférable que l'AS soit détaché pour bien faire son boulot : ça permet en effet d'étaler les heures d'ouverture de l'infirmerie, et donc d'éviter le rush du soir. Ainsi, on ne risque pas de bâcler les soins ou de faire des erreurs de diagnostics.
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Tous les organismes ne parlent pas forcément projet... Et parfois, leur projet prend différents noms : c'est peut-être pour ça Brioche que tu n'as jamais entendu parlé de projet d'animation. Tu l'as sans doute abordé sous un autre nom. Ne t'inquiète pas : tu as probablement déjà fait un projet d'animation sans même t'en rendre compte ! :D Lorsque tu réfléchis en amont de l'activité sur son aménagement (comment je vais l'amener ? l'organiser ?), sur son déroulement (rôle des anims, place des enfants dans le jeu) et sur son but, tu bâtis déjà un projet sans même le savoir ! Le projet sert surtout à formaliser les différents aspects de ton animation et à savoir où tu vas. Mouais Chebs... N'empêche que tout mettre sur papier, ça permet de ne rien oublier (notamment lorsque tu bosses sur des grilles vierges) et c'est drôlement pratique pour les débutants qui se sentent rassurés. C'est justement en faisant cette démarche de rédaction de projet qu'on s'assure de ne pas oublier que l'enfant est au coeur de l'animation : on rédige avant tout pour lui garantir une animation réussie, non pour faire plaisir au directeur en lui rendant sa copie dans les délais...
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Je vais parler en tant que directeur, car bien que j'aie l'AFPS, je n'ai jamais été AS en colo... Il est évident que l'AFPS est limité pour exercer pleinement la fonction d'AS. Il permet de donner des bases pour des gestes élémentaires qui permettent de sauver des vies (ce qu'au fond, tout animateur devrait connaître) mais pas vraiment de trucs et astuces en ce qui concerne le suivi médical d'un enfant : à partir de quelle température doit-on considérer qu'un enfant a de la fièvre ? faut-il donner de l'aspirine ou du paracétamol ? que faire en cas de maux de ventre ? etc... Du coup, lorsque je recrute une personne au poste d'AS, je m'assure qu'elle sait répondre à des questions de base comme celles citées plus haut. C'est très pratico-pratique, c'est vrai, mais je pense que l'AS est plus souvent confronté à ces petits bobos du quotidien qu'au véritable problème médical. De toute façon, dès qu'un problème dépasse l'AS, c'est direct le médecin ou l'hôpital, je préfère ne pas prendre de risque. Je conseille aux AS qui ne détienne que l'AFPS ne pas hésiter à m'avertir dès qu'ils ne savent plus comment agir : je crois qu'on ne peut pas reprocher à un AS de douter sur les soins à prodiguer... Car le risque inverse, c'est justement que l'AS ne fasse rien par peur de mal faire ! C'est comme ça que sur ma colo de cet été, on est passé à côté d'une infection urinaire...
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Haute Pierre, téléfilm de Jean-Yves Pitoun. Avec Jules Sitruk, Marie Matheron, Yvon Back. Ce soir, 22h35 sur France 3. Extrait de la critique du Monde TV & Radio :
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Salut ! Si on est bien d'accord pour ne pas avoir de relation type copain ou grand frère avec les enfants, il faut reconnaître qu'il y a des situations où la relation peut évoluer progressivement. Je pense à des enfants qui viennent d'une année sur l'autre à la même colo, parce qu'ils s'y sont fait des copains, parce qu'ils ont apprécié l'ambiance, qu'ils ont aimé les activités, etc. Je pense plus particulièrement à un enfant que j'ai connu à 9 ans et qui va aujourd'hui sur ses 15 ans. Nos relations sont devenues évidemment plus complices : lui connaît mon mode de fonctionnement, moi je sais comment il marche. Bref, on se connaît bien et on s'apprécie. Evidemment, on ne se voit que dans le cadre de la colo (une colo finie est bel et bien finie !). Je voulais avoir votre avis sur cette situation : le risque n'est-il pas de dériver vers de l'affectif ? se peut-il qu'on arrive à ne plus l'engueuler lorsqu'il fait une connerie ? comment garder une certaine distance lorsqu'on se voit chaque année ? Merci !
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Ben... je ne mets rien de particulier en place pour vérifier le travail de l'AS (sauf signer le cahier d'infirmerie tous les soirs, ce qui n'est pas vraiment une vérif), car je fais confiance à l'AS. Avant le séjour, on discute des modalités pratiques de son boulot, puis on fait un point en cours de séjour. Mais je ne veux pas aller jusqu'à fliquer l'AS pour ce qui est de l'administration des médocs... Quand on est directeur, il faut aussi savoir déléguer, même des tâches aussi importantes que celles de l'AS. Je crois que dans ce genre de situations malheureusement, le directeur est bien impuissant !
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Ben je le comprends comme un concours dans nos centres respectifs, qui aurait pour but de valoriser les colos en général. Après, diffusé ou pas... faut voir. Le concours a ceci d'intéressant qu'il permettra de voir/comparer nos visions des centres de vacances. Tiens, untel a plus mis en avant les activités... tel autre a valorisé la vie quotidienne... un troisième s'est intéressé aux échanges entre enfants, aux relations avec les adultes... Il faudrait quand même se mettre d'accord sur quelques consignes de départ, histoire que les spots puissent être comparé sur de mêmes bases (durée 1 min ou plus ?, clip ou pas clip ? etc). Peut-être as-tu déjà réfléchi à la question Olivier ?
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Ben ouais, mais c'est le propre d'un directeur de faire ça ! Faut parfois bousculer un peu les anims pour qu'ils sortent quelque chose d'original... Sur la démarche de ta (future) direction, ça me paraîtrait valable si on te donnait davantage d'indications. Car en l'état, rien ne dit que le projet que tu vas préparer soit réellement applicable dans le centre auquel tu postules. Et pour ma part, je n'approuve pas du tout qu'on fasse bosser un anim pour rien ! OK, c'est une sélection, il faut bien tester les candidats et donc les faire plancher sur quelque chose... Mais ce travail peut aussi se faire à chaud, pendant l'entretien, ce qui permet en même temps de tester la réactivité de l'anim.