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Tout ce qui a été posté par Quentin
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Merci beaucoup Olivier, je t'admire pour ta rapidité Et puis moi je l'aime bien Thomas, faut pas l'changer en Père Noël :D Il fait un peu partie du décor depuis le temps qu'il est là... D'ailleurs, ça lui fait quel âge à Thomas maintenant ?
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Je vais être un peu radical mais bon : si tu n'as pas d'idées sur la question posée, ce n'est pas la peine d'aller plus loin avec ce centre. Comme toi, je sèche sur la question tout simplement parce que je déteste les thèmes et que j'ai une autre manière de fonctionner. Je ne vois pas à quoi bon "tricher" sur ta demande d'encadrement en trouvant un thème si ça te botte pas plus que ça. Je sais que ce n'est pas évident de trouver un centre pour faire son stage pratique et que ça peut te gêner de leur claquer la porte comme ça, mais il faut aussi faire un choix par rapport au fonctionnement du centre : si ce n'est pas en adéquation avec ta manière de voir les choses, inutile de poursuivre l'aventure...
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Mais bon, les anims qui n'ont pas le BAFA mais beaucoup d'expérience, je me sens toujours obligé de leur demander en entretien pourquoi ils ne passent pas le BAFA... Je veux bien croire qu'il y a une histoire de sous derrière mais bon, s'ils ont déjà bossé dans 3 ou 4 centres auparavant, ils se sont fait bien assez d'argent pour pouvoir payer leur formation... J'ai rien contre les autodidactes mais il faut reconnaître qu'une formation sonne comme une bonne piqûre de rappel par moments... Sans compter que dans un centre, on ne peut pas cumuler les anims non-diplômés à l'infini, y'a aussi des normes d'encadrement à respecter.
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Ce qui m'étonne dans l'histoire, c'est que tu doives trouver un thème seule... D'habitude, ce genre de réflexions se mène en commun, ou tout au moins avec la direction du centre. Parce que quand t'auras trouvé le thème, je te vois mal en train de dire aux autres anims : "Voilà sur quoi on va travailler cet été" :D Concernant ton thème, je peux pas trop t'aider parce que je suis loin d'être un fan des thèmes ! Essaie de piocher parmi différentes époques (un thème Moyen-Age par ex) ou différents pays... mais bon, je trouve ça bateau... C'est comme les centres à la Toussaint qui fonctionne quasiment tous sur le thème Halloween... ! Ce serait pas possible de ne pas prendre de thème ? Ca vous évite d'avoir une contrainte thématique dans toutes vos activités et ça donne bien plus de liberté et surtout de diversité dans les animations... Parce que bon, je me mets à la place des petits loups qui doivent bouffer du thème "On vit comme les Indiens" pendant une semaine alors qu'ils n'aiment pas les Indiens... Ou alors, faudrait leur permettre de pouvoir choisir entre plusieurs thèmes, et dans ces cas-là, ça veut dire associer les enfants à ta réflexion.
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Ce n'est peut-être pas de l'animation "pure" comme tu dis, n'empêche que toutes ces personnes ont un contact avec un public, jeune ou adulte. Dans une ludothèque, tu mets en place des ateliers, tu conseilles des enfants sur un jeu, etc. Même chose en réinsertion, il y a un énorme travail relationnel à la base, qui fait que tu côtoies une multitude d'acteurs (assos, élus locaux, entreprises, etc).
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Plutôt d'accord avec Jean... En fait, il y a plusieurs problèmes en un. Pour certains, il faut être anim jeune pour une question de condition physique (pourtant, y'a des anims quadras qui pètent la forme). Pour d'autres, on peut animer jusqu'à un certain seuil (en gros, 25 ans au vu des réponses du sondage). Pour d'autres encore, on peut animer "vieux" mais à condition de rester jeune d'esprit... C'est bizarre qu'on s'interroge autant dans le secteur de l'animation alors qu'il y a plein de professions où la question ne se pose pas : est-ce qu'il y a une limite d'âge implicite pour être instit ? pour être puéricultrice ? pour être pédiatre ? Non, et pourtant tous ces boulots se font au contact permanent des enfants. Au-delà de l'âge ou de la condition physique, il suffit de se dire qu'on peut rester anim tant qu'on est à même de comprendre le public qu'on a en face de soi et de lui proposer des animations en rapport avec ses attentes et ses besoins. Un enfant ne va pas se bloquer sous prétexte que son anim a 40 ans mais il se bloquera s'il sent que l'animation qu'il lui propose ne lui convient absolument pas. Il n'y a pas besoin d'être jeune ou de rester jeune pour comprendre les enfants ou les ados. Il faut juste se tenir au courant de toutes les évolutions d'une nouvelle génération... C'est sûr que la Star Ac' ou les Skyblogs n'existaient pas "de notre temps" (putain, ça file un sacré coup de vieux ce que je dis !) mais c'est justement en s'intéressant aux loisirs, au mode de vie, etc des enfants/ados qu'on peut rester "en contact" avec la new generation. Mais ça veut pas dire tomber dans le piège de rester jeune à tout prix, en écoutant "leur" musique, en s'habillant avec "leurs" fringues, etc. Les enfants et les ados n'attendent pas qu'on leur ressemble, ils veulent qu'on soit des adultes crédibles dont il pourront s'inspirer plus tard.
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On s'est compris Rémy ! En fait, je faisais allusion dans mon premier message à la première étape de sélection, celle du dossier. Ce que je voulais dire, c'est que l'intitulé du bac ne joue pas pour grand chose, la différence se faisant justement sur les épreuves de sélection écrites et orales. Deydey, ton projet me paraît un peu flou... entre d'une part le BAFA et d'autre part une formation pro... Je ne sais pas quels sont tes projets mais ça me paraît important de pouvoir toucher à l'animation occasionnelle avant de se lancer dans l'anim pro. Ca ne veut pas forcément dire bosser en CV ou en CLSH, mais par exemple travailler en périscolaire, dans une ludothèque, etc. Pour résumer, il est bon d'avoir eu des expériences au contact d'un public, quel qu'il soit, avant de se lancer dans l'anim pro.
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En entrant en formation BPJEPS, on n'est plus dans un cadre scolaire : le jury d'admissibilité n'est donc pas très regardant sur ton parcours scolaire. Il va plutôt s'intéresser aux expériences que tu as pu avoir en animation ou dans l'activité dans laquelle tu te spécialises (ex : si tu tentes un BPJEPS golf et que tu as une longue pratique du golf, tu mets des chances de ton côté). Bon je dis ça, mais il faut quand même pouvoir justifier son parcours scolaire, expliquer ses choix. Un jury est tout à fait capable de comprendre que tu aies passé un BEP pour telle ou telle raison si cela est bien argumenté.
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Bien sûr, je n'ai pas dit que l'organisme le moins cher était le moins bien ! Mais il ne faut pas que le seul critère de choix soit le prix de la formation... C'est la même chose lorsque tu t'engages dans un CVL : avant de regarder la paie qu'on te propose, tu t'intéresses au projet péda du centre pour voir si tu es en accord avec. Il n'est pas nécessaire d'avoir le bac pour passer le BPJEPS. Que tu viennes d'une série générale ou de STT, cela n'a pas d'importance : c'est la cohérence de ton projet professionnel qui fera la différence.
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Deydel, ne tombe pas dans le piège classique qui consiste à choisir l'organisme de formation le moins cher. Ton premier critère de choix doit être les valeurs véhiculées par l'organisme : si tu es en accord avec elles, alors fonce. Si tu as des doutes, choisis un autre organisme. Je sais que ce n'est pas évident lorsqu'on débute de devoir se plonger dans ces histoires d'orientations péda mais elles ont leur importance ! Pour être sûr de ton choix, n'hésite pas à te renseigner auprès d'anims déjà en poste qui pourront t'aiguiller. ... et bienvenue dans l'animation !
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Encore un Guest qu'on ne comprend pas sur le forum... :D C'est dingue comme ça pullule ces bêtes-là ! Donc Guest, tu es invité (oh ! jeu de mots !) à t'enregistrer et à te faire comprendre de la population animnaute...
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J'ai rarement vu des enfants se rendormir une fois réveillés... Quand ils sont debout à 7 heures, c'est généralement qu'ils sont frais et dispos, je ne vois pas l'intérêt de les laisser couchés jusqu'à 8h... Mais en même temps, tu as l'air de dire que ça a bien fonctionné, alors... :D Mais c'est vrai que si les enfants se réveillent à 6h, et qu'ils te jurent "sur la tête de leurs mères" qu'ils sont en forme, y'a des raisons d'avoir des doutes et de les renvoyer au lit. Car dans l'histoire, il faut aussi leur faire comprendre que pendant ce temps, leurs anims dorment et qu'ils ne peuvent donc pas tout se permettre. Je ne sais pas Sonia (puisqu'au départ, la question s'adressait à toi) si tu as mis une heure mini de lever, mais ça me semble s'imposer...
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Effectivement, les directeurs ont le choix, et sont à une très large majorité sollicités par des animateurs détenteurs uniquement du BAFA (le registre de l'animation occasionnelle est peu l'affaire des pros). Et c'est délicat de vouloir se faire employer tout en demandant un salaire plus élevé que les autres ! Je ne nie pas que tu es plus qualifiée, mais les organisateurs fixent souvent les barèmes de salaires suivants : non-diplômé, stagiaire, diplômé BAFA, AS, SB. Nulle part n'apparaît une mention du style "diplômé BEATEP" ou, dans ton cas, "diplômé IUT". Les directeurs n'ont donc pas une marge de manoeuvre très importante. Tu peux néanmins faire valoir tes compétences. Il fait que tu mettes en avant les acquis de ta formation, et surtout ce qu'elle a de plus qu'un BAFA. Il n'y a pas de raison pour que tu ne trouves pas...
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La Magie De Noël Au Centre De Loisirs
Quentin a répondu à un topic de tonia-tong dans Discussion générale
Mais le rêve existe toujours, avec ou sans Père Noël ! Les décorations, les illuminations, les chansons... Tout ça participe d'un moment de fête et de rêve. Certains ont voulu en rajouter en créant un gros bonhomme rouge : était-ce vraiment la peine ? Cro mignon, peut-être... mais les mômes s'y perdent un peu, entre le Père Noël qu'ils ont croisé à la fête du CE, le Père Noël du centre commercial, le Père Noël de l'école, le Père Noël de... Hier soir, alors que je rentrais du boulot, j'ai croisé un gamin qui disait : "Oh regarde maman, le Père Noël !". En fait, c'était un groom à l'entrée d'un hôtel... :D Tu vois, ils deviennent dingues les mômes, ils voient des Pères Noël partout ! -
La Magie De Noël Au Centre De Loisirs
Quentin a répondu à un topic de tonia-tong dans Discussion générale
Ouais bah moi pas d'accord avec ce qui a été dit ! Mes parents ne m'ont jamais fait croire au Père Noël et quelque part, je les en remercie :D Quand j'entendais mes copains à l'école dire qu'il existait bel et bien, ça me paraissait inconcevable. Pour faire le tour de toutes les cheminées du monde sans se gourrer dans sa liste, il lui faut de sacrées rênes bien entraînées ! Et puis ce Père Noël qui vole, très peu pour moi... Logiquement, il devrait s'écraser. Voilà pour mes pensées mathématiques d'enfant. Aujourd'hui, je pense toujours la même chose. Le Père Noël est la plus grosse supercherie au monde après l'annonce par Orson Welles de l'invasion des ovnis. Autant je suis d'accord pour cultiver l'imaginaire de l'enfant, qui est une étape indispensable à son développement, autant j'ai du mal à mentir à ce point. Ce qui me gêne le plus, c'est que ce "conte de Noël" vient se superposer à la réalité. Tôt ou tard, l'enfant saura et il faudra alors faire machine arrière pour lui dire : "Oui, je t'avais dit il y a quelques années que le Père Noël existait mais en fait, c'était nous qui t'offrions des cadeaux". En gros, on travestit une réalité en histoire merveilleuse avant de revenir là-dessus quelques années plus tard... Alors oui, je vois en venir certains de loin.. "Tu voles une partie de leur enfance aux enfants en ne leur faisant pas croire au Père Noël". Oui, bah faut pas pousser le bouchon trop loin non plus, ça n'a jamais tué personne ne jamais croire au Père Noël... "Tu ne laisses pas de places à l'imaginaire"... Bah ça c'est faux. Disons que pour moi, l'imaginaire, ce n'est pas ça. Les contes et les histoires merveilleuses, au-delà de la part de rêve, ont d'abord pour but de résoudre les conflits intérieurs des enfants. L'image de l'ogre ou du loup est un moyen de les aider à apprivoiser ce qu'ils ressentent. Mais le Père Noël, je ne vois pas ce qu'il apporte (hormis des cadeaux) :D Après, reste le délicat débat : lorsqu'un enfant croit au Père Noël, qui doit lui signifier qu'il n'existe pas ? Je pense que c'est du ressort des parents, même si nous animateurs, nous sommes confrontés à des questions du style : "Hier, j'ai vu mon papa revenir du supermarché avec des cadeaux... Est-ce que c'est lui le Père Noël ?"... et c'est pas facile d'y répondre. Quand l'enfant croit au Père Noël, j'essaie de ne pas casser son mythe tout de suite mais je me refuse à l'entretenir en lui ajoutant plein de détails. -
D'ailleurs au passage, si on pouvait éviter les messages du style "Tel organisme à fuir"... D'une part, c'est délicat de faire une généralité à partir d'une expérience. Un organisme qui organise 40 séjours mais qui en loupe 2, pour moi ça reste un bon organisme... D'autre part, gare à l'image qu'on donne de ces organismes. N'oubliez pas que des parents nous lisent sur ces forums... Eux vont croire que cet organisme n'est pas sérieux vis-à-vis des enfants alors que toi tu râles parce que tu n'as pas été assez bien payée ! Ou alors, tu développes un peu plus avec des arguments à l'appui... Car pour l'instant, ton post ressemble plus à l'anim dégoûtée qui vient déverser sa haine sur Internet qu'autre chose :D
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Innovantes, non :D Disons que dans mon asso, on a déjà complètement revu la politique de communication "promotionnelle" (mieux se faire connaître). Maintenant, on réfléchit à la politique de communication "pédagogique", de façon à impliquer les parents dans le centre de loisirs. Le boulot est vaste... L'année passée, pour les colos, on avait créé un site Internet mais il n'a pas fonctionné bien longtemps à cause d'une panne du routeur du centre... L'outil était pas mal puisque les parents avaient la possibilité de laisser des commentaires... mais je trouve qu'ils ne se sont pas assez servi de cet outil ! L'axe de travail le plus important aujourd'hui est de tout miser sur la relation triangulaire organisateur - parents - enfants. On ne veut plus, si je puis dire, des parents qui déposent leur enfant le matin en laissant tourner le moteur de la voiture et qui reviennent le soir "choper" le môme sans quitter le volant ! :D Une des solutions pourrait être d'impliquer les parents dans le projet péda, qu'ils en soient réellement acteurs. Par exemple, plutôt que de présenter le projet péda aux parents en réunion, pourquoi ne pas leur demander de participer à la rédaction ? Je ne sais pas ce que ça peut donner, pour l'instant, la réflexion est au stade embryonnaire... Chez nous aussi on se bat ! En fait, le problème est que les locaux du centre de loisirs appartiennent à la mairie, qui ne veut nous les prêter que l'été. Donc on se bat pour pouvoir ouvrir aux petites vacances, ce qui serait déjà un grand pas (oui, je sais, par rapport à d'autres CLSH, on est bien en retard dans le domaine). Le hic, vous l'aurez compris, c'est que la mairie ne veut rien lâcher et que la politique jeunesse est un terme qu'elle vient de découvrir. Reste à lui faire comprendre ce que ça veut dire !
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Salut ! Je vais juste répondre à la deuxième question, je laisse le soin aux gens plus compétents que moi de répondre à la première :D Quel que soit le jury, l'écrit a de toute façon son importance. Une des qualités demandées au directeur est de savoir s'exprimer clairement à l'oral comme à l'écrit. La communication occupe une bonne partie de notre travail (équipe, famille, prestataires, élus) : si tu n'arrives pas à aligner dans ton bilan une seule phrase grammaticalement correcte, ça risque donc d'être problématique ! Mais on ne demande pas non plus aux directeurs d'être de brillants littéraires. La concision et la clarté du propos sont préférées aux envolées lyriques à la Proust ! L'essentiel es d'être compris : pour cela, tu peux déjà faire relire ton bilan par des personnes extérieures au champ de l'animation et voir la tête qu'elles tirent après lecture, excellent indice de la qualité de ton travail Tu peux également te renseigner auprès de certains organismes de formation qui proposent une aide à l'écrit BAFD. Je ne sais pas ce que ça vaut mais tous les conseils sont bon à prendre !
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On tombe dans la question de goût après... Z'allez quand même nous faire le répertoire des musiques qu'on peut écouter en CVL et celles qu'il faut bannir, non ? :D Je suis bien d'accord avec vous quand vous proposez d'élargir les horizons musicaux des enfants. Mais il y a des tubes incontournables, qui sont peut-être commerciaux, certes, mais qui sentent bon l'été Tant que les CVL ne se transforment pas en bras droit de la Star'Ac, je ne vois pas le problème. Crazy Frog a autant le droit de cité dans mon centre que Téléphone... Pour en revenir à la question des textes véhiculés par les chansons, le problème n'est pas tant leur soi-disant dangerosité mais surtout leur platitude. Ecouter Chimène Badi nous dire qu'elle "vient du Sud", c'est un calvaire :malade:
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Salut ! Je souhaite revoir complètement le fonctionnement de la ludothèque dans mon centre, qui jusqu'à présent se limitait à une malle fourre-tout... Et ça me fait un peu mal au coeur de voir que quasiment plus aucun jeu n'est complet, que certains ont vraiment pris la poussière et que d'autres sont en piteux état. Bref, la malle de jeux tient plus du charnier rwandais qu'autre chose :malade: Alors voilà, je suis à la recherche d'infos sur la façon dont organiser une ludothèque. Bon, j'ai déjà quelques idées mais je sais pas si je vais dans le bon sens... Déjà, je comptais classer les jeux : pas forcément par âge (y'a des jeux faits pour les 4 ans avec lesquels je m'éclate), mais par exemple par nombre de joueurs ou par "thème". Côté mobilier, je suis également à la recherche d'aménagements sympa et pas trop coûteux (les deux sont-ils compatibles ?)... Voilà, je sais que j'en demande beaucoup mais bon... y'a des spécialistes par ici... Madgoblin, tu es là ??? :D
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A ceux qui ont la chance d'avoir le bouquet Canalsat : Clément, d'Emmanuelle Bercot, avec Olivier Guéritée, Emmanuelle Bercot (2001, 2h19). Sur Cinécinéma Emotion le 30 Novembre à 02H15, le 02 Decembre à 15H20, le 07 Decembre à 01H35, le 08 Decembre à 16H45, le 09 Decembre à 07H00, le 10 Decembre à 02H25.
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Ouach Rémy... Dans les réponses que tu proposes, la première me fait particulièrement flipper : "Jusqu'à 18 ans". Entre 17 et 18 ans, ça ne laisse pas beaucoup de temps pour animer tout ça... Serait-on entré dans l'ère de l'anim jetable ? :D Bon, je dirais qu'il y a pas vraiment d'âge limite... même si je dois reconnaître que dans les recrutements que je fais, l'âge des anims ne dépasse jamais les 30 ans. Ce n'est pas que j'ai pas envie des "vieux" (quoique vieux à 30 ans, ça fait un peu mal), mais les candidatures que je reçois sont exclusivement le fait d'anims jeunes (comprenez entre 17 et 30 ans environ). Toutefois, s'il m'arrivait d'être intéressé par des plus de 30 ans (je parle de recrutement, hein, pas d'autre chose...), je pense qu'il serait honnête que je les prévienne de certains points pas évidents, notamment le fait de débarquer dans une équipe souvent très jeune, qui a forcément moins de recul et qui a les délires de son âge... C'est un point dont m'ont parlé quelques anciens directeurs, qui ont pris leur retraite de l'anim occasionnelle parce, arrivé à 40 ans, le feeling ne passait plus avec leur équipe de jeunes anims. Je vous renvoie également à cet ancien post qui aborde (un peu) le sujet. En ce qui concerne l'anim pro, il y a de tout et c'est tant mieux. Il faut dire aussi que le travail est différent : pour monter des grands projets à l'année, j'aurais davantage tendance à m'en remettre à une personne de 30 ans qu'à un jeune de 18... Maintenant, je constate aussi dans les offres d'emploi que beaucoup de postes sont ouverts aux -26 ans seulement (souvent en raison du type de contrat proposé)... Si tu as 40 ans et que tu veux soudainement te lancer dans l'anim pro, ça doit pas être évident de démarrer.
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Hello ! Suite à une déconvenue avec un prestataire de service l'année passée, je souhaite renégocier un contrat complet avec lui pour l'été prochain. Je compte y mettre noir sur blanc les prestations qu'il doit nous fournir, vérifier les diplômes de ses encadrants, renégocier la place qu'occupe mon équipe d'anims dans son activité, etc. Mais je voudrais également ajouter une partie qui prévoit "une sortie de crise" en cas de non-respect de ses obligations contractuelles. Car si l'activité demandée à la base n'est pas respectée, quel moyen de pression ai-je sur lui, hormis lui mettre le contrat sous le nez et le traiter de tous les noms ? :D Vous allez dire que si j'ai pas confiance en un prestataire, alors autant en changer... Ce n'est pas faux ! Mais par sécurité, je préfère blinder les contrats. Des idées pour cela ?
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Salut ! L'expression "centre de vacances" s'est peu à peu substitué aux "colonies de vacances", comme les "centres aérés" sont devenus des "centres de loisirs". Mais pourquoi ce changement ? Qu'a-t-on voulu changer dans l'image des CVL en choissant une nouvelle expression ? "Colo", ça faisait trop vieillot ? Les parents ne s'y retrouvent pas toujours dans ces appellations et continuent à utiliser les termes "colo" et "centre aéré", ce qui me fait dire que le changement n'est pas encore rentré dans les habitudes. D'après vous, faudrait-il revenir à l'ancienne appellation ? Si oui, pourquoi ? Que pensez-vous que les CV et les CL aient à gagner de leur nouveau titre ?
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Rémy, je ne pense pas non plus que tu inventes mais j'aimerai bien connaître la source de ton info... Si tu tires cela d'un simple historique rédigé par une personne lambda, on n'est pas à l'abri d'une erreur. Par contre, si tu me trouves un texte de loi, un décret ou une instruction JS, je m'inclinerai :D Mais en l'état, je doute toujours... Le site de JS semble considérer derrière l'appellation CVL les centres de vacances comme les centres de loisirs : http://www.jeunesse-sports.gouv.fr/jeuness...resentation.asp