Quentin

Le seul hic, c'est que tes collègues ne sont pas forcément obligés d'approuver ta façon de faire. Tu auras beau leur montrer comment tu t'y prends, ils ne changeront pas leur fonctionnement pour autant. D'où le risque d'avoir deux lignes de conduite différentes au sein de l'équipe, ce que les enfants ressentent très vite. Or, une équipe ne doit tenir qu'un seul discours. Ah bon ? Le démissionnaire n'est donc qu'un je-m'en-foutiste qui prend du plaisir à planter la colo en se barrant ? Je ne crois pas. Celui qui démissionne a généralement de bonnes raisons de le faire, souvent parce que la ligne imposée par la direction ne lui convient pas (je ne parle pas d'un simple désaccord qui ne justifie pas une démission mais d'une totale opposition de styles où le bien-être de l'enfant est menacé par ces tiraillements internes). Il est alors du ressort de la direction de faire face à cette situation. Ben voyons ! Je ne voudrais pas polémiquer mais ce sytème de liste complètement subjectif me rappelle une époque pas si lointaine et on sait ce que ça a donné :malade:

Ben Sabry... Tout le monde se tasse un peu et sur une table de 6, tu fais tenir 7 personnes.... ou même 8 quand tu mets des gens aux extrémités. Je ne vois pas tellement le souci :D

Je m'interroge quand même quand je vois des gamins qui promettent, à 8 ans, de ne jamais fumer et qui, à 11 ans, grillent leur première cigarette. Le discours de prévention est très efficace chez les plus jeunes (peut-être parce qu'ils mettent en place leur système de valeurs) mais beaucoup moins chez les pré-ados ou les ados. Tout se passe comme si la prévention n'avait marché que quelques années avant de disparaître complètement de l'esprit ! Arrêtez-moi si je me trompe mais il n'y a pas de politiques de prévention différentes suivant l'âge des enfants. Or, ça me paraît important de ne pas tenir le même discours à un enfant de 8 ans qu'à un ado de 14. Avec les ados, ce qui marche assez bien, c'est de leur prouver qu'ils sont manipulés par les fabricants de cigarettes. Un ado déteste savoir qu'on l'utilise :D Evidemment, il n'y a pas de panacée. Mais je suis certain que c'est en innovant dans la prévention, en se creusant toujours plus la tête à cherchant de nouvelles solutions qu'on parviendra à convaincre les enfants de ne pas commencer à fumer.

Pour des exercices incendie, je ne vois pas l'intérêt de prévenir les animateurs avant. Le but même de l'exercice, c'est justement de voir comment réagit l'équipe. Si on dit aux animateurs : "L'alarme va sonner à 18h20, tenez-vous prêts", ça n'a strictement aucun intérêt ! Il est mieux de "surprendre" les anims et analyser ensuite en réunion du soir la réaction de chacun.

OK ! Je ne connais pas bien le cadre scolaire, j'ai plus l'habitude des CVL. Néanmoins, je te rejoins sur l'importance de valoriser le travail fait en classe par les enfants. L'informatique ouvre des débouchés nouveaux, permettant une véritable plus-value des productions des enfants. Ce qui me paraît intéressant, c'est d'exploiter l'informatique comme prolongement des sorties scolaires par exemple. Tu peux ainsi créer un site relatant les différentes sorties réalisées par la classe au cours de l'année. Quelle que soit l'idée que tu retiendras, n'oublie pas qu'un site s'actualise régulièrement. Il faut donc que tu sois sûr qu'il y aura plusieurs mises à jour à effectuer au cours de l'année. Concernant la partie technique, il y a deux écoles : soit tu t'occupes de la mise en page tout seul (les enfants se contentant du contenu rédactionnel), soit tu associes les gamins. Si ça te fait un petit peu peur, sache qu'il y a des logiciels très pratiques pour créer des sites facilement, qui s'utilisent comme des traitements de texte. Tu peux également procéder de manière automatisée, comme avec les blogs par exemple.

Je faisais un reportage pour France 3 hier sur la création d'un jeu de prévention à l'alcool et aux drogues, présenté à des 5ème dans un collège de Guingamp. Pendant le jeu, l'animateur a parlé aux enfants du GHB, aussi appelé drogue du violeur. Après le jeu, j'interviewe un enfant sur ce qu'il a retenu du jeu : "J'ai découvert plein de choses, la cocaïne, le cannabis, le BHV...." :D Comme quoi, l'achat compulsif est une drogue :diplome:

Pas forcément besoin d'être un as de l'informatique pour pouvoir mettre en place ce projet, Rémy ! Avant de t'intéresser aux trucs techniques, commence par définir le projet que tu veux bâtir. A qui s'adresse le site ? Que doit-il contenir ? De combien de jours disposons-nous pour mener le projet à bien ? etc... Si tu bosses dans une école, le projet que tu monteras sera sans doute mené en partenariat avec l'enseignant. Autre point à prendre en compte dans la génèse de ton projet : le niveau des enfants. Certains n'ont jamais touché à un ordi de leur vie, d'autres sont des cracks plus forts que toi ! Suivant leur niveau, le projet peut varier. Avec des néophytes de chez néophytes, il est préférable de passer par une petite initiation à l'ordinateur avant de se lancer tout de suite dans Internet. Une fois que le projet est bien défini (pense à associer les enfants à la réflexion), tu peux alors étudier les moyens dont tu as besoin : fais un inventaire des moyens existants (nombre de postes informatiques, connexion Internet, appareils photos, webcams...), liste ceux que la structure ne possède pas et essaie de les commander. Contrairement à ce qu'on pense trop souvent, l'activité informatique est loin d'être une galère : les enfants sont toujours partants et le fait de créer tout de A à Z est super motivant pour eux. Mais pour pouvoir t'aider, il faudrait quelques éléments supplémentaires. N'hésite pas à nous révéler le projet qui te trotte dans le tête Rémy !

J'y réfléchis dans les jours à venir mais on devrait pouvoir mettre ça en place rapidement. D'ici là bon courage, ne craquez pas et fréquentez le forum :)

Même remarque que Jean sur les enfants malléables... je vois ce que tu veux dire mais le mot est peut-être mal choisi. Parce que dit comme ça, ça me rappelle les techniques de bourrage de crâne qui n'ont rien à faire en CVL. Je veux bien faire de la prévention mais je doute que le CVL soit le lieu pour ça. Certes, rien n'empêche les petits débats informels autour de la clope mais de là à à organiser toute une activité autour du tabac en colo... J'aurai aussi du mal à aller voir un gamin fumeur et lui faire un speech sur les méfaits du tabac. D'une part parce que je ne suis pas vraiment qualifié pour ça, n'étant pas médecin. D'autre part, je ne vois pas l'intérêt de ressortir les discours classiques sur les méfaits de la clope. On a tous vu en primaire des photos de poumons encrassés, inutile les remontrer aux gamins qui les ont déjà matées plein de fois. Clownette, t'as des techniques de prévention plus innovantes, différentes du râbachage actuel (comme si les enfants ignoraient que le tabac est nocif... c'est bien naïf) ?

Je tiens à protester contre cette entreprise délibérée de faire déprimer les anims qui ne peuvent pas animer pendant les vacances parce que justement ils n'en ont pas :D ! La profusion de ce type de messages occasionne de graves problèmes psychologiques aux anims déjà dépressifs, qui rêvent de plaquer leur boulot pour faire de l'animation à l'année... mais qui ne peuvent pas le faire :D Je propose la création d'un centre de cure ambulatoire pour anims ne pouvant pas animer. Les soins sont remboursés par la Sécu, la prise en charge est effectuée par des personnes compétentes ayant déjà connu ce type de problème par le passé. N'hésitez pas à vous manifester :teteblonde:

Bingo, je suis choqué En fait, ton message m'a juste rappelé que l'été dernier, j'avais eu dans mon groupe un gamin dont le père étaient atteint d'un cancer lié au tabac et dont la mère était en prison après avoir connu des problèmes d'alcoolisme. J'imagine la gueule qu'il aurait tiré si je lui avais tenu un tel discours La stigmatisation n'est pas forcément une bonne technique de prévention. Derrière le fait de fumer ou de boire, il y a des raisons plus complexes qu'il faut savoir affronter plutôt que de se cantonner à la surface des choses. Les expliquer aux enfants, les faire parler de leur éventuel vécu et ressenti par rapport à ces situations (je ne dis pas que les enfants boivent hein ! je pensais à leurs parents !), ça me paraît une meilleure chose.

Ce n'est pas parce que tu n'as pas rencontré d'anims phobiques qu'il n'y en a pas... Il faut aussi savoir regarder un peu plus loin que le bout de son nez ! Nous en avons d'ailleurs un joli spécimen sur le forum :D :D Que tu détestes faire du cheval mais que tu en fasses pour accompagner les enfants, je trouve ça très bien, il n'y a rien à redire. Mais ne compare pas une activité qu'on n'aime pas avec une activité qui rend véritablement phobique.... Il ne s'agit pas d'une affaire de goûts mais bien de peur véritable. Un anim qui balise vraiment en escalade, c'est clair que je ne vais pas lui en faire faire. Celui qui en revanche traîne les pieds parce qu'il ne se sent pas motivé pour faire de l'escalade, il va quand même y aller Enfin bref, comme l'a bien dit Olivier, évitons les insinuations douteuses, c'est la meilleure façon pour déstabiliser ue équipe d'animation.

Salut Darkflash, Tu trouveras quelques éléments de réponse dans un précédent post : c'est par ici ! Quelques ajouts par rapport à ce post : - demande à ton organisme de te fournir avant le départ la liste des enfants AVEC un numéro de tél pour joindre les parents en cas de souci (retard). Ca te permet de savoir si le gamin retardataire va bien arriver ou non et donc d'éviter de trop stresser - si le point de rassemblement n'est pas très précis ou si la gare est grande, n'hésite pas à venir avec des panneaux ou des tee-shirts aux couleurs de ton organisme. Ca fait très homme-sandwich mais c'est efficace pour que les parents te repèrent - il est devenu difficile de rassembler tous les bagages en un seul endroit depuis que la SNCF a condamné les inter-wagons pour cause de plan Vigipirate. N'hésite pas dans ce cas à demander aux contrôleurs la permission de les utiliser, certains acceptent quand même... Ou alors, tu y vas à la barbare, ça marche aussi :D Voilà, il y a sûrement plein d'autres choses à dire, je laisse les autres compléter :)

Je vais dans le même sens que Sonia : un séjour court n'est pas forcément une contrainte pour la mise en place d'un projet et, au-delà, pour le bon déroulement de la colo. L'essentiel est que la mayonnaise prenne vite : le groupe doît se souder dès les deux premiers jours, sous l'influence bien sûr des anims. Un projet s'adapte de toute façon à la durée du centre : sur un séjour de 15 jours, on peut prévoir un projet ambitieux ; sur une semaine, ce sera plutôt un projet plus court. Cela n'empêche pas d'avoir des idées construites et fouillées dans les deux cas. Ce qui est plus problématique, c'est la dynamique de groupe. Il faut parvenir à la mettre rapidement en place. En effet, les enfants mettent généralement du temps à se découvrir... Dans le cas d'un séjour d'une semaine, ils devront se séparer au moment où ils commençaient à se répérer des affinités, à tout juste se connaître. Je reconnais que ce n'est pas évident, d'autant que l'anim ne peut pas vraiment "accélérer" cette phase de découverte : il faut savoir respecter le rythme des enfants, les laisser se "chercher".

Même chose que Jérôme ! Evidemment, quand je me suis lancé dans l'animation, j'avais une petite idée derrière la tête de ce que je voulais transmettre aux enfants : mais est-ce que je suis pour autant un militant ? Je l'avoue, j'ai encore du mal à cerner toutes les valeurs portées par les différents organismes... Si j'ai passé mon BAFA avec l'UFCV, c'est avant tout... parce qu'ils ont été les premiers à m'envoyer leur catalogue :D Je serai éventuellement militant le jour où je m'investirai totalement dans l'animation. Mais pour l'instant, ma pratique reste trop occasionnelle pour que j'en sois un. Je milite simplement pour la survie de mon asso, multipliant les petites actions bénévoles parce que je crois dur comme fer aux valeurs de mon centre. Mais sorti de là, je suis un peu dépassé Peut-être que lorsque j'aurai plus d'expérience, ça viendra...

Y'a sûrement des trucs intéressants dans ce que tu as dit aXuRiT mais j'aurais besoin d'un petit décodage (comment ça je sais pas lire ?!?) : Merci pour tes éclairages ! :teteblonde:

lol :D Vive les stéréotypes ! L'anim "baba cool" dans ses habits ne va pas venir avec un pétard au bec, faut pas exagérer. Il faut savoir différencier ce qui tient de l'habillement du reste Au-delà des parents qu'il faut rassurer au moment du départ, il faut aussi se poser la question des enfants : comment vont-ils percevoir leur anim ? Le côté négligé d'un anim n'est pas forcément rassurant pour un gamin.... Je rejoins Jérôme quand il dit que l'habillement doit tenir compte du public reçu en colo. Ca n'empêche pas bien sûr quelques "excentricités", dans la limite de l'acceptable.

Ouah Sonia, on ne t'arrête plus sur le forum ! Que de messages postés... Désolé, j'ai pas le temps de répondre à chacun de tes posts, juste à quelques-uns ! :D Pour répondre à ta question, il faudrait peut être commencer par analyser le public des stages BAFA. En effet, tous les stagiaires n'ont pas le même âge (il y a certes une majorité de 17-25 ans mais aussi des quadras), ce qui peut avoir une influence sur leur comportement au cours du stage. Je me souviens que lors de mon base BAFA, il y avait une grande différence de maturité entre jeunes du même âge : certains voyaient l'animation comme un lieu d'éclate et de vacances gratos, d'autres avaient une réelle réflexion sur le job et les enfants. Les motivations de chacun ont donc une influence directe sur le comportement du groupe. Concernant les formateurs, je ne me souviens pas qu'ils aient infantilisé le groupe. Certes, on jouait les enfants à certains moments, notamment pendant les animations, mais c'était aussi le rôle qu'on nous demandait de jouer Cependant, le stage me paraît trop court pour qu'on puisse parler d'une véritable émancipation ou, comme tu le dis, "d'une phase initiatique vers l'âge adulte". D'une part parce que certains stagiaires sont déjà adultes, d'autre part parce que le but du stage n'est pas réllement de s'émanciper. Dans mes souvenirs, les formateurs n'utilisaient pas complètement les capacités de chacun, ils ne nous forçaient pas vraiment à les enrichir Pareil pour la réglementation : c'est pas parce qu'on te balance à la figure les normes JS que ça va faire de toi un animateur responsable... En fait, le plus émancipant (ça existe comme mot ??? ) c'est pendant les colos !

Désolé de raviver un très vieux sujet Mais j'ai trouvé un site vraiment sympa qui élabore des menus tout prêts suivant la saison et le public. Evidemment, on n'est pas obligé de suivre les menus à la lettre mais c'est un site à utiliser lorsqu'on est en panne d'imagination C'est par ici !

Merci pour vos messages d'encouragement :D Je veillerai sur le forum en votre absence et dès que vous reviendrez, oubliez pas d'y raconter vos anecdotes, drôles ou graves, histoire qu'on ait matière à discuter. Et pendant votre centre, faites de la pub pour AnimNet, comme ça on sera encore plus nombreux Bonnes animations à tous

Je serai pas aussi catégorique que toi CLSH Pacé. Tous les enfants ne veulent pas devenir stars et certains sont même très lucides là-dessus, ils m'étonnent régulièrement. La part de rêve existe toujours quand les enfants songent au métier qu'ils aimeraient faire, ils idéalisent la profession avant de se rendre compte, en grandissant, des inconvénients qu'elle possède aussi. Quant aux fillettes qui imitent leurs idoles par leur look, ça a toujours existé, les enfants ont besoin de modèles à qui s'identifier, et s'en détacher ensuite une fois qu'ils auront construit leur propre personnalité. J'ai confiance : les enfants ne sont pas c..., ils sont souvent très clairvoyants, souvent plus que ce qu'on pourrait penser.

La situation que tu rapportes est typique des classes transplantées, où les instits, souvent pas habitués à l'animation, ont parfois tendance à interpréter des gestes à tort, comme pourrait le faire n'importe quel adulte. J'ai des habitudes qui passent sans problème en colo mais qui coincent parfois en classe découverte, justement parce que les instits sont extérieurs au milieu de l'animation et à ses us et coutumes (j'entends par là dire bonne nuit aux enfants par ex). Du coup, les soupçons peuvent naître très vite... A l'inverse des profs des écoles, un directeur de colo, s'il n'est pas un planqué du bureau et a quelques souvenirs de ses années d'animation, sait généralement faire la différence entre un geste anodin et des caresses. Bon, malheureusement, il y a aussi des dirlos qui font exception...

Merci pour ton éclairage très intéressant Clownette, je te suis parfaitement dans ta démarche ! Par contre, je ne comprends pas pourquoi tu dis regretter aujourd'hui ce que tu as fait à cette petite fille... Certes, le geste est très délicat mais lorsqu'il est rendu nécessaire médicalement, on ne peut pas y échapper. Bel exemple en tout cas de confiance de la part d'une enfant, comme quoi les gamins savent faire la différence entre le geste purement médical et un attouchement, ce que tous les adultes ne font pas...

On se comprend Sonia, c'est juste que je n'ai pas été très clair dans ma formulation. Je voulais dire que certains enfants peuvent mal vivre la piscine (se montrer en maillot n'est pas aisé pour tout le monde, d'autres y mettent les pieds pour la première fois et redoutent cette expérience). Le seul souci, c'est que les anims ne peuvent pas le savoir à l'avance, surtout si l'enfant ne montre aucun signe d'appréhension préalable ou qu'il ne va pas voir un anim pour lui faire part de ses inquiétudes. Régulièrement, quand j'emmène des enfants à la piscine, je ne me rends qu'une fois sur place que quelques-uns sont vraiment mal à l'aise. Il est alors évident que je m'adapte à la situation. Un enfant complètement paniqué (c'est rare, heureusement) restera donc sur le bord à faire, comme tu le dis, arbitre ou chronométreur. Je ne suis pas tortionnaire non plus ! Pour la petite histoire, à 8 ans, mon oncle avait appris à nager en étant balancé dans le port par ses parents... Il est évident que ce genre de pratique n'est pas héréditaire, j'évite de faire subir le même sort aux enfants en colo :D

mdr :D Ton message est assez juste au fond... C'est vrai que pour qu'un gamin n'aille pas à la piscine, il faut qu'il soit dans le plâtre ou (pour une fille) qu'elle ait ses règles. Alors que les anims, eux, s'en voient dispensés pour tout un tas de raisons, des justes comme des moins justes. Car je suis certain que certains enfants qu'on emmène à la piscine le vivent mal mais n'osent pas le dire Cela dit, je ferai une différence entre le gamin qui pisse au lit que l'anim veut pas changer et le coup de la piscine. Dans le premier cas, c'est clairement une situation qui se pose régulièrement en CVL et qu'il faut savoir "affronter" : être mal à l'aise quand tu changes des draps souillés, ça n'a jamais tué personne... A l'inverse, comme le disait Sonia, c'est vrai un anim gêné à la piscine, c'est problématique car il ne sera pas à fond de ses capacités et là, ce sont les gamins qui en seront victimes.