Jeff

En fait je ne demande plus de lettre de motivation justement. Je fais mon équipe en fonction de profils précis, que je sélectionne sur CV, ensuite, je demande aux animateurs que je souhaite rencontrer de se positionner sur le projet du séjour, sur le rôle de l'animateur, sur ces motivations avec un questionnaire qui sert de base à l'entretien... Nos méthodes ne sont donc pas si différentes...

Je suis d'accord avec les premières réponses... Il est encore très tôt. Par contre, personnellement, je regarde bien plus le CV que la lettre de motivation. Elle ne retiendra mon attention que si elle est originale, si elle sort du lot... et je trouve que c'est assez rare. Le CV, s'il est bien fait, permet de trouver assez facilement le profil que l'on cherche, l'entretien permettra de valider la motivation bien plus que les quelques lignes souvent sans surprises des lettres de motivations... Bon courage dans ta recherche...

Bonjour, je commence par la seconde question : Non ! tu n'es pas obligé de faire ton stage pratique dans le même organisme que pour le base... et heureusement, les débouchés seraient vraiment trés limités (déjà que ce n'est pas toujours facile...). Certains organisme de formation n'organisent pas de centres de vacances ou de loisirs (accueil collectif de mineur à caractère éducatif pour faire moderne) et beaucoup d'organisateur de colo, de centre de loisirs ne sont pas des organismes de formation (CE, Associations, mairies,...). Quand au choix de l'organisme, à chacun ses préférences, le mieux est certainement que tu visites les sites internet des principaux, que tu leurs demandes leur docs, ... parfois (et souvent malheureusement, le choix de l'organisme de formation pour le stage de Base est un avantage ou un inconvénient pour trouver un stage pratique selon les préférences du directeur...) Amuse toi bien sur ton stage, Jeff

Je fais aussi deux colo d'ans l'été, soit comme anim soit comme directeur. Pour ma part, je fais attention à choisir deux séjours, deux projets très différents... L'été dernier, j'ai été animateur sur un séjour en dur en normandie en juillet et directeur sur un séjour itinérant en corse en août. Je suis d'accord, se ménager en juillet permet d'assurer en août. je veille aussi à ne pas faire de 5ème trop long. Quelques jours de repos entre les deux permettent une coupure pour se mettre dans l'autre séjour. dans tous les cas, je crois qu'il est bien de se préparer à l'un et l'autre des séjours, mais aussi à toutes les différences qu'il pourra y avoir. Être prêt à découvrir un fonctionnement, une équipe, des enfants très différents. Je fais presque un parrallèle avec les séjours sur lesquels j'ai travaillé plusieurs années de suite : L'équipe change en partie, les enfants changent ou grandissent, je change aussi... le séjour n'est jamais le même d'une année sur l'autre. c'est un peu pareil quand on enchaîne deux séjours de façon rapproché... ce sont bien deux séjours différents... dans 15 jours je dirige deux séjours au ski consécutifs, sans pose entre les deux et avec une équipe qui change pour moitié... j'espère y vivre deux séjours bien différents... ... mais aussi riche l'un que l'autre ! à bientôt jeff

Personnellement, comme directeur, je ne prendrais pas ce risque non plus. Le risque d'accident, même s'il est faible, existe quand même. Il faut avoir conscience qu'au moindre accident, ta responsabilité pourrait être engagée. Si les locaux sont aussi sécurisés que tu le dis, ils sont certainement habilitables, c'est certainement pas mal de paperasse à remplir, mais si vous faites ces nuitées régulièrement, que les enfants sont demandeur, cela vaut certainement le coup de se battre un peu pour obtenir l'autorisation. C'est s'embêter un peu pour être tranquille à chaque fois que tu organise ces nuits. L'idée est bonne, elle plaît aux enfants, aux anims, obtenez l'habilitation... Bon courage.

Il me semblait que dans l'ancienne réglementation, le directeur comptait dans l'effectif pour les centres de loisirs, et pas pour les centre avec hébergement. Si c'est bien le cas (à vérifier), la nouvelle réglementation ne change pas grand chose. Pour les séjours avec très peu d'enfants accueillis, ne pas compter le directeur dans l'effectif permet d'assurer le taux d'encadrement lorsqu'un des anims est en congé. C'est vrai que l'argumentation ne tient pas pour les séjours de moins de 7 jours, ou la journée de congé n'est pas nécessairement prise pendant le séjour, et là, je suis d'accord, cette réglementation récente n'est pas forcément logique.

ce qui est merveilleux c ke lorsque qu'on bosse une demi journée on est payée la journée mais la ou le bas blesse c si on ne peut pas travailler en perisco pour une autre assoc la c grave Et que les employeur ne le disent pas c encore plus aberrant

De façon plus large, je pense qu'il s'agit de developper toutes les richesses humaines disponibles dans une équipe. Du recrutement de l'équipe avant le séjour ou le centre à l'évaluation du travail accompli en passant par les relations entre chaque personne, les communications dans l'équipe, la place de chacun, la formation des anims, ...

Pour l'été je recrute vers avril / mai. Je pense que c'est le cas le plus fréquent pour beaucoup de directeurs qui travaillent avec des associations qui font des séjours pendant les vacances de paques. On se met à la prépa de l'été aprés les séjours de paques. Il arrive souvent que des organisateurs (mairies) commencent plus tôt. un recrutement dès décembre est trés pratique pour avoir tout le temps de préparer le séjour, mais d'un autre côté, en décembre, il y a des animateurs qui ne savent pas encore ce qu'ils souhaitent faire en juillet, qui ne connaissent pas précisement leurs dates de disponibilité....

Que de bonheur ces petites chansons de colo... j'ajoute ma petite collection de chanson aussi, je bosse, en juillet sur un séjour dans la Manche (50), avec des 7-14. Nous avons créés un spectacle sur le thème des contes de fées dont nous avons créés les musique et chansons. Remix, de "prommenons nous dans les bois", "qui a peur du grand méchant loup" version country, plus chanson de la colo... je vous laisse les découvrir en ligne sur http://colo.imbranville.free.fr bye jeff

Je vais faire mon 1er stage pratique bafd cet été moi aussi, je me suis posé un peu la même question... Voilà un début de liste commencé par les anims du séjour. Ballons de volley, de foot, de rugby, balles en tout genre.... Raquettes de plage et raquette de tennis Boules de pétanque Frisbee cerf volant Epuisette Jeux de sociétés, de cartes... Perles Fils pour bracelet brésiliens Terre glaise Poste radio-CD-k7 Papier de couleur, Feutres, crayons, pastel.... Matériel de jonglage. peintures et pinceaux agrafeuses, attache, trombones, ciseaux, ... maquillage Cartes du coin C'est une liste type déjà faite en fonction du séjour (camps en Corse). pour moi : à chaque séjour sa liste de matos, mais si ça peut t'aider un peu... je suis aussi prenneur de tous compléments.

ça dépend de l'employeur non ? A mon avis, le plus souvent c'est un mélange entre la tenue vestimentaire, le sourire, la politesse, ... :D Maintenant, je vois mal quelqu'un postuler à un poste d'anim en disant, "je suis toujours habillé n'importe comment, je ne souri jamais et je suis malpoli... mais je veux travailler avec vous !" Finalement, la "bonne présentation" dans une annonce : cela sert-il vraiment ?

Bonjour, Pour moi cet été, ce sera 6 semaines d'animation en CVL. En juillet, je serai à la pointe nord est du cotentin (la manche - 50) pour un séjour à dominante spectacle. En août je dirige un séjour en Corse. bon été à tous !

Je suis bien d'accord avec toi Nico. C'était simplement pour répondre à Olivier, démissionner d'un cdd n'est pas permis... aprés, dans la pratique, ça se fait et peut-etre est-ce aussi bien.

Je n'ai pas été clair, c'est vrai. Pour la période d'essai : c'est 1 jour par semaine de séjour. si l'animateur été dans cette période, il pouvait partir librement, avec son salaire pour les jours travaillés. Aprés cette période, l'animateur ne peut pas partir sans l'accord de l'employeur (rupture du contrat d'un commun accord). S'il le fait, il cause un préjudice à l'employeur. ce préjudice est (en droit, dans les faits c'est souvent différent) réparé par le paiement, par l'animateur, d'une indemnité qui est égale au montant du salaire qu'il aurait du percevoir s'il avait travaillé. Cela surprend souvent, d'apprendre que c'est bien le salarié qui doit indemniser son employeur. L'idée, c'est que le salarié, comme son employeur, s'engage sur une durée déterminée. C'est la garantie, pour l'un comme pour l'autre d'un travail jusqu'à la fin de cette période. si l'employeur veux se séparer de son salarié, il doit lui verser son salaire jusqu'à la fin de la période et réciproquement pour le salarié qui veut quitter, contre la volonté de l'employeur.

Dans l'animation occassionnelle, l'annexe 2 de la convention collective précise que les repas, hébergement ne sont PAS des aventages en nature compte tenu des impératifs de l'animation justement. Il est Illicite de faire payer repas ou hebergement. Par contre le bénévolat est lui licite, l'animateur n'est simplement pas payé pour le travail qu'il effectue. Le contrat d'engagement bénévole permettant, en effet, d'assurer l'animateur sur son temps de travail.

Pas illégal non mais pas permis non plus ! Je m'explique : Je suppose que l'animateur démissionnaire était engagé en CDD (comme tous le monde dans l'animation occassionnelle). Or la particularité d'un CDD est justement que la durée est "déterminée", cette durée est fixée pour tous le monde : employeur ET salarié. Un nsalarié qui rompt son contrat de travail à durée déterminée le fait de façon unilatérale et s'expose à devoir, à son employeur, des indemnités de rupture unilatérale du contrat. Cette indemnité correspond au préjudice subi par l'employeur : le salaire pour la période du contrat qui n'est pas exécutée. (article L 122-3-8 du code du travail alinéa 1,2 et 4) Cela supose que l'employeur réclame le paiement de cette indemnité, ce qui n'est presque jamais le cas. Rares sont les animateurs (et les directeur qui le savent). Cela dit, une réflexion me viens à l'esprit : empécher un animateur de partir d'un séjour où il ne veut pas rester, c'est aussi s'exposer à un séjour assez peu agréable voir trés difficile ! Le droit ne résout pas tout ! (exeption à ce que je dis plus haut : le salarié peut partir librement s'il justifie d'une embauche en CDI)

Tiens je vois que ça parle de pédophilie... ça me rappelle un p'tit truc. Je suis en cours devant un PC il y a quelques jours à l'IUT et mon prof arrive et me demande : "c'est quoi ce fond d'écran ?". Je lui réponds "je suis anim' et c'est une petite fille de ma première colo qui me l'a dessiné et me l'a envoyé par e-mail ! n'est-ce pas mignon ?". Et la le prof me regarde et après quelques secondes d'arrêt me dit : "Pédophile !". Si même les profs s'y mettent...