Invité Julien (Invité) Signaler ce message Posté(e) 5 août 2007 Bonjour à tous. C'est assez urgent vu que c'est une affaire qui arrive maintenant tout de suite. Une amie à moi est actuellement en colo et s'aperçoit sur place que les valeurs et le projet péda défendues par le directeur ne sont pas du tout les siennes. Grosse erreur de sa part, elle a malheureusement déjà signée son contrat, elle est censé avoir accepté et soutenir projet. Mais très vite elle voit que l'ambiance n'est pas bonne, que les enfants sont là pour "être mit dans le droit chemin" et que la "pédagogie actuelle, c'est de la merde". Elle souhaiterait demissionner mais son directeur la menace de la poursuivre en justice pour rupture de contrat, qu'elle sera signalée à la ddjs elle qu'elle pourrait perdre son bafa, ou du moins être sur une liste noire. La connaissant, il lui sera plus que difficile de travailler efficacement dans ces conditions de pression constante. Elle est arrivée hier est a déjà craquée. Elle voit deux choix s'offrir a elle: soit démissionner pendant sa période d'essai et prendre le risque évoqué plus haut d'être signalé et placé sur liste noire, soit elle "s'assoit" sur ses principes le temps de la colo. Que risque t'elle vraiment? Quel choix a t'elle vraiment? Merci de répondre très vite c'est plus qu'urgent. Et merci de ne pas revenir sur le fait qu'elle aurait bien du tout lire avant de signer son contrat, ça n'aide vraiment pas, elle sait qu'elle a fait une erreur mais il nous faut vite des réponses et une solution. Merci beaucoup. Julien Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
jean 7 Signaler ce message Posté(e) 5 août 2007 Il me semble que les cdd, ou les contrats d'engagement éducatif (qui sont des cdd, non?) déterminent une période d'essai. Et cette période d'essai, c'est la période pendant laquelle l'employé ou le directeur peuvent rompre le contrat sans devoir de contrepartie. Pour les urgences, il y a d'autres contacts plus pertinents que le forum, je trouve. Premièrement la police, téléphone numéro 17. (pour trouver directement le commissariat le plus proche, c'est un numéro classique qu'il faut faire, le numéro de ce commissariat doit être affiché dans le centre il me semble) Dans le cas précis que tu décris, le numéro de la police n'est pas forcément le plus pertinent. Mais pour donner à ton amie le numéro de l'inspection du travail, si besoin, je suppose qu'ils devraient être compétents. Et puis deuxièmenent, la DDJS. Le numéro de la ddjs du département où se trouve le centre doit être affichée aussi. Eux, c'est comme une boite de chocolat... Mais des gens normalement constitués devraient pouvoir aider ton amie, en lui disant notamment ce qu'elle a le droit de faire et ce dont elle n'a pas le droit. Ensuite pour cette histoire de liste noire, pareil il faut demander conseil à la ddjs, et moi je peux me tromper : Depuis quelques temps, sur ce forum, plusieurs personnes différentes sont déjà intervenues pour dire qu'on place sur la liste noire de la ddjs les gens qui sont dangereux pour les enfants, et qu'on fait cette inscription pour des actes qui nécessitent un jugement. En résumé : -contactez des gens compétents qui vous répondront dans l'instant, police, ddjs, inspection du travail -une démission pendant la période d'essai est légale -le directeur ne peut pas inscrire ton amie sur la liste noire si elle n'a rien fait de mal Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BorisKarloff 0 Signaler ce message Posté(e) 5 août 2007 Alors: 1- Il n'existe pas de liste noire DDJS ou organisateur, il n'existe qu'une liste des interdits d'exercer et cette interdiction est liée à une condamnation et une inscription au casier judiciaire de certains crimes ou délits. (la rupture de contrat même illégale n'est pas un délit et même en cas de condamnation au tribunal compétent pas d'inscription possible sur cette liste) 2- Durant la période d'essai le contrat peut être rompu à l'initiative de n'importe laquelle des deux parties sans aucun justification et sans préavis... (la période d'essai peut varier de 3 à 8 jours sur les contrats court et doit être inscrite sur le contrat qu'elle a signé) 3- Même en cas de rupture abusive du contrat il est très rare dans le domaine de l'animation qu'il y ait des poursuites... Les organisateur préfèrent bien souvent se séparer des personnes à l'amiable ce qui vaut mieux pour tout le monde... (image de l'asso ou de la collectivité, frais à engager...) 4- Ton directeur n'a pas compétence pour poursuivre un animateur seul l'organisateur peut éventuellement engager des poursuites et pour les raison évoquée au 3 ils évitent en général. Donc si elle est encore dans les temps elle n'a qu'à faire un courrier (recommandé AR) pour mettre fin à son contrat. Si elle n'est plus dans les temps prendre contact avec l'organisateur pour lui signifier la volonté de mettre fin à son contrat et trouver un arrangement à l'amiable... Un accompagnement syndical ou un contact avec l'inspection du travail devrait lui confirmer ce que je dis (je suis moi-même ex représentant syndical) Amicalement. Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Quentin 5 Signaler ce message Posté(e) 5 août 2007 Si jamais sa période d'essai est achevée (cas des séjours très courts où la période d'essai est de 2 jours) et si la situation qu'elle vit est vraiment intenable, il lui reste la solution de se mettre en arrêt maladie. Mais pour cela, il faudrait qu'elle craque vraiment et ne soit plus en état de travailler... est-ce le cas ? Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
laballe 1 Signaler ce message Posté(e) 7 août 2007 Je suis d'accord avec tout ce qui a été écrit précédemment, je veux juste rajouter ceci. Ton amie n'est pas obligée d'envoyer sa lettre de démission avec AR car cela repousse son départ. La date de départ est déterminée à la réception du courrier. Donc il faut compter un à deux jours pour que l'AR arrive à l'organisateur. Elle peut très bien donner directement sa lettre de démission à l'employeur en ayant préparé une attestation stipulant bien cette remise en main propre. Elle doit être signée par l'employeur et l'employée. bon courage et tiens nous au courant stp Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Kasia Signaler ce message Posté(e) 13 juillet 2008 Bonjour je poste sur ce sujet car je suis dans une situation semblable à celle de ton amie (si ça se trouve elle était l'une des mes collègues... la date du message et tes dires concordent) j'ai commencé une colo début juillet. Je ne vais pas raconter tout ce qui s'est passé là bas alors je dirais simplement que je ne pouvais pas travailler dans ses conditions Au bout de trois jours, moi et deux autres collègues avons tenté de démissioner, sans succès. Le directeur nous a "convaincues" de rester, notamment en nous menacant de nous signaler à jeunesse et sport pour abandon d'enfant et en utilisant des arguments du style "si vous partez ma colo est gâchée" ou "là c'est que le début mais après ça sera mieux". Nous avons donc pris sur nous et décidé de rester Malheureusement les choses ont empirées et c'est un euphémisme. Avant hier après avoir passé une matinée très difficile à m'occuper d'une trentaine d'enfants surexcités car enfermés, tandis que mes collègues se la coulaient douce dans le bureau, pour ensuite me faire crier dessus et humilier j'ai perdu mon sang froid et je suis partie. Le directeur m'a affirmé qu'il allait porter plainte. J'adore l'animation, j'attends toujours l'été avec impatience pour pouvoir faire des colos et maintennant je ne sais même pas si je pourrais continuer à en faire (après cette expérience désastreuse et déprimante je ne sais même pas si j'en ai encore envie) et en plus j'ai peur de finir au tribunal. Alors si jamais l'un de vous avait des connaissances juridiques et pouvait m'éclairer sur ce que je risquais... Merci. Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Kasia Signaler ce message Posté(e) 13 juillet 2008 Je viens de me rendre compte que tu as posté ce message en aout 2007 donc non ça ne concorde pas^^ Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
laballe 1 Signaler ce message Posté(e) 14 juillet 2008 Salut Kasia, Voilà une situation bien difficile que nous décrit là. Si j'ai bien compris, tu es partie de la colo sans donner de lettre de démission? Tout ce que je peux te conseiller, ce sont deux choses: 1) joins la direction du travail (DDTEFP) pour connaître tes droits puisque tu as quitté ton poste, savoir si tu es dans ton droit ou ce qu'il faut faire et ce que tu risques, ils sont les mieux placés pour te répondre, 2) joins la DDJS et parles-leur de ce qui se passe au centre, ensuite, ils agiront en fonction. En appelant ces instances, cela te permet d'avoir les bonnes informations donc n'hésites pas et tiens nous au courant bon courage Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
laballe 1 Signaler ce message Posté(e) 14 juillet 2008 Une dernière question, en as-tu parlé à ton employeur directement? Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Kasia Signaler ce message Posté(e) 14 juillet 2008 Bonjour Je vais appeller la DDJS et la direction du travail demain puisqu'aujourd'hui c'est férié. J'en ai parlé à mon directeur qui m'a dit qu'il allait porter plainte contre moi. Mais ensuite mes collègues m'ont dit qu'il ne le ferait sûrement pas car une procédure judiciaire était longue et qu'en plus il était déjà en procès avec un autre animateur... Il y a une dernière chose que j'ai oublié de préciser et qui peut être jouera en ma faveur : je n'ai signé mon contrat que la veille de ma "démission" c'est à dire neuf jours après avoir commencé à travailler. La chose que je crains le plus est d'être signalée à jeunesse & sports. Merci de ta réponse, oui je vous tiens au courant. Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
laballe 1 Signaler ce message Posté(e) 14 juillet 2008 Les menaces verbales sont toujours faciles à prononcer. Je peux te conseiller une chose dont j'ai vraiment une grande expérience, c'est de tout mettre par écrit. Prépares un dossier dans lequel tu vas relater tout ce qui s'est déroulé dans le centre. Fais-toi aider par les anims présents si tu as encore des contacts avec eux, c'est très important de noter les jours, les heures, les enfants et autres personnes impliquées, sois très précise et si tu n'es pas sûre, ne mets rien. Ensuite, fais un courrier à ton employeur en expliquant ton départ, surtout argumentes, ne mets pas, j'ai aimé ou j'ai pas aimé car tu es dans le monde du travail, utilises des adjectifs. Surtout, gardes un double de tout ce que tu écris et marques toi tout ce que tu auras discuté avec la DDJS et DDTEFP. Après ta peur d'être signalée à jeunesse et sports n'est pas fondée, je pense. Les gens qui sont interdits d'exercer, c'est pour des cas très graves. C'est pour cela que je te conseille de les appeler, au moins, tu sauras exactement ce que tu risques. Allez, bon courage et ne te laisse pas intimider par des menaces, il n'y a que l'écrit qui peut avoir de la valeur donc demandes lui de te les écrire... Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
nico 0 Signaler ce message Posté(e) 14 juillet 2008 Bonjour Kasia, Sache que dans le cas d'une demission, vu que c'est un cdd, ton employeur peut exiger de toi que tu lui payes l'équivalent en salaire de la période non effectuée. Or ici, tu n'a pas écrit de lettre de démission donc il ne peut rien exiger de contractuel vis à vis de toi. tu as bien fait de ne pas demissionner dans un cas comme ça. Que menais tu comme activité a ce moment là? Pour ce qui est des menaces que te fait ton directeur: - Elles ne sont pas fondées, l'abandon de poste existe, c'est un terme lié au contrrat de travail, au droit du travail. il entraine une procédure disciplinaire qui aboutit, en l'abscence de réaction de ta part, à un licenciement. Dans ce cas, ton employeur doit te payer ton salaire jusqu'au jour où tu as quitté ton poste. Il n'y a pas de plainte a déposer, simplement parce qu'il n'y a pas de faute aux yeux du droit pénal, ça releve uniquement du droit du travail, a part te licencier, il ne peut rien. - La notion d'abandon d'enfant ne se fait pas de façon aussi simple et il ne déposera pas de plainte a ton encontre pour une raison simple: s'il le fait, il le fait contre lui. Par cascade de responsabilité, si il reconnait que les enfants ont été mis en danger par ta faute, il reconnait qu'il en est responsable, et tant que directeur... (tu es responsable de ton groupe, lui de l'ensemble du groupe et des actions de son équipe) Donc no soucis.... tu ne finiras pas au tribunal... Au besoin, passe a la JS pour expliquer a un conseiller ou un inspecteur ce qui s'est passé, ça te rassurera et ils iront certainement faire un tour par la... Pour ce qui te concerne, keep cool, part en vacances te changer les idées et reviens nous en forme pour de nouveaux séjours qui se passeront mieux... Tu n'asvraiment pas de quoi t'inquiéter... Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Kasia Signaler ce message Posté(e) 15 juillet 2008 Bonjour Nico Je ne menais pas d'activité à ce moment là. Je ne suis pas partie en pleine activité (si on peut appeler ça une activité c'était juste du flicage en l'occurrence) j'ai attendu le repas et que le temps calme que j'étais chargée de surveiller (pour changer) soient passés. Je viens de téléphoner à la DDJS et en effet la personne au téléphone m'a dit que je ne risquais rien. Je suis vraiment vraiment soulagée. J'aimerais bien aller expliquer ce qu'il se passe dans cette colo à J&S mais je crains qu'ils ne trouvent rien à en dire. Le directeur est un homme très au courant de tout ce qui est réglementations, lois, etc. Il n'a d'ailleurs que ça à la bouche, ce qui est tout à son honneur certes. Je vais quand même faire un rapide exposé de toutes les raisons qui m'ont poussées à partir. La plupart des animateurs sont des "anciens" à qui le directeur accorde une confiance aveugle. Ces derniers peuvent donc tout se permettre (rester allongés dans l'herbe pendant les activités sur le terrain extérieur, buller pendant les temps de vie quotidienne, se moquer méchamment des enfants (par exemple surnommer un garçon appelé Youssef Youfesse alors que ce dernier lutte pour que ses copains arrêtent de faire ça, dire "mais qu'est ce qu'il est con" en parlant d'un enfant qui l'entend) et ce que j'ai le moins supporté : donner des ordres à leurs collègues et les critiquer devant les enfants (exemple : je fais sortir les enfants de la salle à manger pour que les dames de service puisse mettre la table, une animatrice vient me voir et me crie devant les enfants : et ben pourquoi tu les as fais sortir, ben maintenant tu les surveille hein c'est ton problème!). L'ambiance dans l'équipe d'animation est désastreuse. Au début de la colo les "nouveaux" animateurs se sont séparés en deux clans : ceux qui ont décidé de tout faire pour se faire apprécier du directeur (cela ne consiste pas à élaborer des activités pour les enfants ou à construire une bonne relation avec eux mais à les "tenir" et à les punir à tout bout de champ... dans cette colo un enfant disait un gros mot il était puni d'activité pour la matinée ou l'après-midi ) et ceux qui ont tenté de travailler à leur manière sans se laisser démonter (pour ma part j'ai échoué puisque je suis partie) Il y a aussi de nombreux abus au niveau du partage des tâches. Par exemple certains animateurs s'arrangeaient toujours pour se lever le plus tard possible et être de surveillance le soir pour ne pas assister aux réunions du soir interminables (réunions non pas destinées à préparer un planning d'activité mais à écouter le directeur ou son adjointe parler parler parler) pendant que d'autres sont de lever tous les matins. Il n'y a pas de salle d'activité (les activités intérieures se déroulent dans la salle à manger) ni de salle animateur. Il est donc impossible de préparer une activité à l'avance et très difficile d'avoir accès au rare matériel car l'une des nombreuses règles stipule qu'il faut demander le matériel la veille pour le lendemain. Ceci ajouté au fait que la plus grande partie de l'équipe d'animation n'en fout pas une explique que les enfants s'ennuient lors des activités. Mais le pire est l'attitude du directeur qui se comporte comme un vrai dictateur qui a ses chouchous et sesboucs émissaires (dont je faisais partie donc). Ça a commencé lors du premier repas du soir où il m'a crié dessus devant tout le monde parce qu'une petite fille à ma table avait fait tomber sa serviette de ses genoux. Depuis ce soir là il semble qu'il m'a prise en grippe et il ne faisait que me critiquer la plupart du temps derrière mon dos (j'ai surpris une conversation édifiante entre lui et l'adjointe en attendant devant le bureau pour aller signer mon contrat... justement). C'était la quatrième colo que je faisais et il niait toute mon expérience passée. Lui et son adjointe me traitaient comme une débutante si bien qu'au bout du deuxième jour j'avais perdu toute confiance en moi et demandais l'autorisation pour des tâches aussi banales qu'aller chercher le courrier des enfants ou le linge à la laverie. Par honnêteté je dois quand même préciser que si j'avais modifié mon comportement j'aurais peut être eu la vie moins dure. J'ai remarqué que les nouveaux qui ont dès le début de la colo montré qu'ils ne se laisseraient pas faire s'en sont mieux tirés. J'ai été beaucoup trop naïve, je pensais que si je montrais que je faisais bien mon boulot malgré mes différences (fumer, porter des jeans (car les shorts étaient obligatoires même pour les animateurs, ce que nous les nouveaux ignorions), être « cool » avec les enfants (ceci consistant simplement à avoir des rapports détendus avec eux et ne pas toujours leur crier dessus) il m'intégreraient. Je n'étais pas la seule à être détestée par lui mais moi je ne suis pas parvenue à me dire "je l'emmerde, je fais mon taf point". Je ne peux même pas contacter les autres filles qui voulaient aussi démissionner car je suis partie trop vite et je n'ai pas pris leur coordonnées. J'étais toujours stressée, angoissée et j'ai passé le jour de mon départ au bord des larmes. Je m'accordais 3 x 3 minutes par journée pour fumer une cigarette et même là je n'étais pas tranquille car le coin fumeur était derrière les cuisines et la cuisinière était chargée de surveiller les non fumeurs et de leur faire des remarques du genre : "toujours à fumer toi". Les autres aussi se faisaient reprocher des choses mais ils s'en fichaient alors que moi non. Je trouvais ça injuste. Je pourrais raconter encore des tas de choses du même genre, mais comme celles citées plus haut ce ne sont que des « détails ». Je me vois mal aller raconter ça à la DDJS... Et je précise que cet homme a eu des problèmes de recrutement car l'année dernière il s'est fait diffamé sur un forum internet et que du coup les animateurs ne se sont pas bousculés pour travailler pour lui (en tout cas c'est ce qu'il nous a raconté) Il n'a pas pu faire la fine bouche sur les animateurs qu'il employait ce qui explique peut être le gouffre qui s'est révélé entre ses valeurs et celles des animateurs qu'il a employé. Voilà ce récit ne sert à rien, désolée de polluer votre forum mais j'avais besoin d'en parler^^ En tout cas merci pour vos messages Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
nico 0 Signaler ce message Posté(e) 15 juillet 2008 Un classique du directeur "gourou" quidéveloppe sa cours autour de lui et favorise ses bons sujets en faisant assumer le reste aux "viles manants" qui ne lui ont point promis obéissance et vénération... Il y en a comme ça... ce qui est dommage, c'est qu'ils ont la charge des loulous et que des ronds de cuirs leur font une confiance aveugle sous couvert d'ancienneté. C'est aussi ce genre de kéké que l'on retrouve sévire dans quelques stages de formation pour y faire leurs dents sur de la chair fraiche en situation de fragilité... je pensais que si je montrais que je faisais bien mon boulot malgré mes différences (fumer, porter des jeans (car les shorts étaient obligatoires même pour les animateurs, ce que nous les nouveaux ignorions), C'est quoi ce délire??? Tu as bien fait de partir, c'est franchement ce que tu avais de mieux a faire... Pense a toi a présent et reviens nous dans l'animation avec toute ta confiance... Ce que tu as vécu te donnera certainement des forces pour la suite.. c'est l'expérience qui rentre. En revanche, en parler a JS n'est pas si anodin... car de la situation que tu décris, les enfants peuvent en souffrir et les animateurs aussi. Or JS est la tutelle pour le public reçu et en charge de s'assurer que tout se passe dans des conditions satisfaisantes pour eux, mais aussi de l'encadrement et des conditions d'exercice du métier (formation des stages pratiques, du role de formation continue du directeur etc... Ne pense pas que ça ne les interessera pas, meme si ce n'est pas nécéssairement suivi d'action, c'est ce genre de témoignage qui "accroche des casseroles" et mettent la puce a l'oreille pour la suite... Citer Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites