fred82 0 Signaler ce message Posté(e) 16 juillet 2012 Bonjour, Actuellement sans emploi, je réfléchis à une reconversion. D'après mes envies professionnelles - qui sont notamment motivées par l'échange culturelle entre arts/artistes et public spécifique type handicapés, hospitalisés, détenus, jeunes de foyer éducatif - ma conseillère RSA m'a orienté vers un BPJEPS. D'après mes recherches, il y a deux spécialités qui pourraient de près ou de loin correspondre à un métier dans lequel je pourrais m'épanouir un minimum: LTP et animation culturelle. Mais je patauge un peu pour m'en faire une idée. J'ai un bac SES et j'ai, entre autres expériences professionnelles, enseigné la guitare pendant 3 ans à des particuliers sans pour autant avoir de diplômes dans le domaine. Questions: 1/ Auriez-vous d'autres idées que le BPJEPS? 2/ J'aimerais dans un premier temps faire un stage dans une structure qui me permettrait d'observer la réalité du métier qui est censé déboucher des spécialités pré-citées. Si cela me plait ça fera en plus une première expérience à mettre sur le CV étant donné les pré-requis à la formation en terme d'expérience. Quelles seraient les structures les plus adaptées d'après vous? Et est-ce que le fait que je n'aie aucune expérience en animation est rédhibitoire pour un stage? 3/ Je suis mobile sur toute la France. D'après vous, quelles débouchés pour ces spécialités? Y en a-t-il une mieux servie que l'autre sur le marché de l'emploi? Ça dépend des régions ou c'est homogène? Merci Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Noël Signaler ce message Posté(e) 16 juillet 2012 Tu devrais conseiller à ta conseillère RSA de tenter de comprendre la situation des "publics" handicapés d'une façon ou d'une autre: -soit il s'agit de cette animation qui en fait fait passer le temps et amuse le client, comme ce que font les animateurs de clubs de vacances, par exemple, et alors il faut avoir des connaissances centrées sur l'animation, Là, les handicapés resteront dans leur état et te remercieront de leur avoir fait passer de bons moments... sans évolution. - soit il s'agit de prendre en charge des handicapés et alors la bonne volonté (essentielle) ne suffit pas. Il faut avoir les connaissances des handicaps qui vont permettre de monter des projets visant à sortir du handicap. Ce sont d'autres filières. Pour en faire un métier, ça fait 30 ou 40 ans que nos connaissances ont évolué de façon telle que le dévouement et la gentillesse ne suffisent plus. On a dépassé la charité! Voici ce qui devrait présider au choix de la formation. Noël Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites