malapel 0 Signaler ce message Posté(e) 6 janvier 2013 Bonjour à tous, me revoilà après un petit temps d'absence... Une question me passe par la tête... Un stagiaire BAFA (qui a donc effectué et validé son stage pratique et qui est en stage dans une structure) est il : - Moins payé qu'un animateur BAFA diplomé (ayant effectué et validé sa base, son stage et son appro) - Autant payé qu'un animateur BAFA diplomé (ayant effectué et validé sa base, son stage et son appro) Cordialement Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Olivier 10 Signaler ce message Posté(e) 6 janvier 2013 L'indemnité que perçoit l'animateur, stagiaire ou non, est décidée par son employeur... donc c'est à lui de choisir sa politique ; il n'y a pas de loi, à ma connaissance, qui dit qu'un stagiaire doit être moins payé qu'un titulaire ou l'inverse, même si la JPA émet une grille indicative. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
jean 7 Signaler ce message Posté(e) 6 janvier 2013 Dans la fonction publique territoriale, les stagiaires ne sont pas payés. Ça dépend aussi de l'employeur, ou des relations qu'on a. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Noël Signaler ce message Posté(e) 6 janvier 2013 Lorsqu'il s'agit d'un stage où le stagiaire est en plus des personnels usuels, des effectifs normaux, en double, en observation, et donc sans obligation vis à vis des enfants ni responsabilité, on peut , me semble-t-il, imaginer qu'il ne soit pas payé. On lui permet de faire une expérience et de réaliser le cursus obligatoire. Par contre, si le stage met le stagiaire "en piste", comme les stagiaires pratiques de BAFA qui en général ont rôle et fonction, obligations et responsabilité d'animateurs, alors ils doivent être payés mêmes s'ils retirent de ce stage des avantages en terme d'expérience et de cursus de formation. En pareil cas, la base minimum d'un animateur de même fonction me parait être une référence convenable car ce n'est pas la personne que l'on paye mais la fonction. Une autre vision milite en faveur d'un salaire: que se passe-t-il en cas d'accident ou de mise en cause de sa responsabilité "professionnelle" ? La situation des stagiaires dans le domaine de l'éducation spécialisée est réglée par ce que l'on appelle les "conventions de stage" qui fixent le statut en fonction du type de stage (stage d'observation ou de contact, stage d'accompagnement, grand stage avec mise en situation). Mais d'une manière générale, la situation des salariés est beaucoup plus protégée que celle des stagiaires. A nous d'y pallier. Noël Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
jean 7 Signaler ce message Posté(e) 6 janvier 2013 Je crois que ces fonctionnements ont atteint leurs limites il y a bien longtemps, c'est regrettable. La logique voudrait que chacun (stagiaire, employeur) soit conscient de ses responsabilités pour que ça tourne rond... Mais hélas les contrôles sont quasi inexistants sur la valeur formative des stages et en ce qui concerne le contrôle des contrats, c'est ne néant. D'après ce que je constate tous les jours (un petit coup d'oeil aux offres pôle-emploi c'est vite fait) les contrats aidés sont uniquement utilisés comme aubaine budgétaire par les employeurs. C'est transparent dans les annonces. Ils n'ont pas envie d'avoir des animateurs formés, ils ne recherchent pas la qualité, ni la durabilité. Chez les éducateurs spécialisés, je pense que ça fonctionne mieux que dans l'animation car les réseaux d'éducation spécialisée sont bien implantés. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Invité Signaler ce message Posté(e) 6 janvier 2013 Je rejoins les réponses données plus haut : chaque organisme décide de la politique s'il souhaite adopter. Dans l'association pour laquelle je travaille, l'indemnité que chacun touche dépend de sa fonction et non de ses diplômes. Ainsi, un non-diplômé, un stagiaire BAFA et un animateur BAFA complet touchent la même somme. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites